Il est reproché à l’homme d’affaires écologiste des comportements inappropriés avec des personnes de l’autre sexe. Mais Nicolas a été ministre, sous Macron. C’est embêtant pour la Macronie, qui a fait du quinquennat un truc sur la cause des femmes, les violences, le sexe, tout ça.
16 ans : "Il m’a attrapé par les cheveux et m’a proposé une fellation". Les révélations sur N.Hulot sont effrayantes. Et qd un média a sorti l’info, Schiappa voulait écrire que c’était un "torchon populiste". Les fameuses convictions #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/IGB17qJPh5
— Malik Milka (@abdelmalik92) November 25, 2021
Cette séquence est embêtante pour Marlène Schiappa, alors secrétaire d’État, et féministe de son état. On voit que la solidarité du camp macronien prime les valeurs. Devenue l’adjointe du ministre de l’Intérieur, le petit sarkozyste Darmanin, qui a été accusé de viol mais heureusement blanchi (décidément, Marlène n’a pas de bol dans ses choix de carrière), elle dit désormais des bêtises sur le vaccin et les Français :
Oui mais ils n’avalent pas. https://t.co/xkpkbTf8Fh
— Didier Maïsto - Pdt de PDAtv (@DidierMaisto) November 24, 2021
C’est sûr, tous les Français ont envie de se faire inoculer du Bourla sans sourciller, sans savoir ce qu’il y a dedans, c’est-à-dire des années d’effets secondaires incalculables. Et après on dit que les gens sont lâches ! Mais il faut du courage pour accepter ce changement métabolique et cellulaire ; nous, par exemple, eh bien on est très lâches avec ça. On peut nous traiter de femmelettes.
Restons dans les femmes avec l’affaire Hulot. Plusieurs femmes ont décrit des actes. Sylvia se souvient, avec émotion, de l’instant Hulot :
Sylvia a 16 ans quand elle dit avoir rencontré Nicolas #Hulot.
“Au moment de lui dire au revoir, il me demande de l’embrasser dans le cou.”
Les faits qu’elle décrit se seraient déroulés il y a plus de 30 ans. Ils sont prescrits par la loi.
#MetooPolitique pic.twitter.com/6PtjwFRIxc— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) November 25, 2021
Nous diffusons ces témoignages mais naturellement, nous ne prenons pas parti, c’est à la justice de le faire, même si la justice est déjà passée sur le cas Hulot. Et même si elle n’était pas encore passée, nous ne nous serions pas substitués à elle, tant dans ces affaires intimes il est difficile de distinguer le bien du mal, le bon du mauvais, le plaisir du déplaisir, le forcé du désiré. Mettre le doigt dans cet engrenage, c’est quasiment perdre le doigt, parfois la main, et jusqu’au bras.
Nicolas Hulot quand on lui dit "vous avez forcé une gamine de 16 ans à vous faire un fellation dans un parking", il repond "c'était dans un parking aérien"
Je sais même pas quoi ajouter à ça.
— Mariglouglou (@Mloo1251) November 25, 2021
Les femmes aujourd’hui sont très protégées en France, au point que, parfois, certaines en profitent, faisant passer une engueulade de mari pour un pré-féminicide. Il n’y a plus trop de mesure, les femmes inventant des PN (pervers narcissiques) à tout bout de champ. Et puis la justice, comme beaucoup d’institutions, s’étant féminisée, on tombe souvent sur des juges femmes pour qui les hommes sont presque tous des salauds, sauf les homos et les migrants. On ne devrait pas le dire mais un migrant homosexuel, aujourd’hui, s’il débarque en France, il a droit à tous les égards.
Des petites malignes profitent donc de ce contexte féministe antimasculin pour marquer des points contre les hommes, entérinant en cela la coupure programmée par les mondialistes, qui veulent détruire non pas la société patriarcale, mais l’amour entre les hommes et les femmes, afin de contrôler les individus par le désir.
Du coup, on assiste à des trucs comme ça, et on trouve ça normal :
Prêtes pour accueillir les rappeurs. https://t.co/CnKNedeTM8
— Stéphane Edouard (@HommesInfluence) November 20, 2021
Il devient alors très difficile de se défendre contre une accusation de viol ou d’agression sexuelle – une pleurniche suffisant à faire victime, ce qui enfonce encore plus les vraies victimes de viol – et ce faisant, Nicolas nous fait un petit lapsus :
« Certains esprits malins, alors évidemment à partir de maintenant, vont conforter le doute et voir en moi le monstre que je suis… »
Nicolas Hulot (@N_Hulot) : "Je quitte définitivement la vie publique" pic.twitter.com/oQSzEeUjo3
— BFMTV (@BFMTV) November 24, 2021
Pendant ce temps, les députés, dont on rappelle qu’ils ont tous voté contre nos libertés, enfin, en majorité, et on s’en souviendra, eh bien les députés ont voté une loi pour protéger les animaux, ce qui est bien, mais quid de la maltraitance des hommes par les femmes ?
Le Parlement a définitivement adopté ce jeudi une loi pour lutter contre la maltraitance animale
Que contient ce texte ? ⤵ pic.twitter.com/bQjERxa75B
— BFMTV (@BFMTV) November 18, 2021
Aujourd’hui, être un homme, c’est déjà être à moitié un violeur. Tout est fait pour que les relations sexuelles soient sources de conflits, de négociations, voire de contrats pré-établis, comme aux États-Unis avant une opération chirurgicale, histoire de dédouaner le médecin en cas de pépin, d’effet secondaire...
Les hommes de demain devront-ils faire signer une décharge (oups) à leur future maîtresse (d’un soir ou de plus) pour éviter d’être attaqués en cas d’accouplement un peu, euh, disons, rude, même si madame le demande, au moment de l’acmé, dans un grand éclair blanc, là où on oublie tout et on dit des bêtises qu’on a un peu de mal à assumer ensuite ?
Ou alors faudra-t-il, comme dans les prétoires, filmer les (d)ébats, et faire gaffe au moindre geste, à la moindre parole déplacée ? Traiter une femme de « salope » au lit sera-t-il un jour puni de prison ? Et une femme qui demande à se faire traiter de salope, on fait quoi ? Une qui demande des trucs super cochons (par exemple un doigt dans le four), on fait quoi ?
Tout cela est bien embêtant, et il va falloir, pour survivre au féminisme mondialiste qui s’abat sur notre pays, qui était le pays de l’Amour, que chaque homme s’arme de textes de lois, voire d’une solide formation en droit, et ça tombe bien, on a ce qu’il faut, sur E&R.