En dehors de la sphère géopolitique, et encore, on la retrouve aussi là, nous assistons à une lutte féroce entre progressisme et conservatisme, notoirement aux États-Unis. Ce qui préfigure une aggravation de la guerre sociétale chez nous.
Pour la raison simple du poids démographique, les femmes représentant la moitié de la population, le féminisme est en première ligne de ce conflit, loin devant l’homosexualisme, l’antiracisme ou l’israélisme.
L’idéologie féministe, qui a pénétré la population et changé les mœurs depuis un demi-siècle (1975, loi sur l’avortement), concerne tout un chacun. Et dans le fatras actuel qui bouleverse les lignes politiques, ou qui les remet en ordre, à l’intérieur de la matrice gauchiste les contradictions internes du féminisme éclatent au grand jour.
Les donneuses de leçons devraient regarder un peu dans leur culotte : tout n’est pas très cohérent dans leur idéologie.
Man defends himself after former Howard Stern show writer punches him in the face multiple times… pic.twitter.com/dGnNJwrlWz
— Only Fights (@onlyfights_) March 8, 2025
Le féminisme est une violence
Que disent les féministes des migrants, pas suffisamment civilisés (ou déconstruits), qui agressent ou violent des femmes ?
Que disent les féministes des racailles, pourtant éduqués et protégés par la gauche (notamment par sa justice), qui insultent les profs, en majorité des femmes, la profession ayant été largement féminisée ?
Pas question de faire entrer les flics, ces fascistes, dans les établissements : mieux vaut risquer le couteau, supporter la violence, nier le harcèlement. Rien ne va plus dans la matrice !
Une magistrate minimise un tabassage ultra-violent et demande la levée des gardes à vue : "sur une échelle des violences dans le 93, ce n’est pas si grave, tu vois, mais..."#infrarouge pic.twitter.com/a7YR4F74Ef
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 12, 2025
À force de retirer leur autorité – et donc leur force aux mâles –, revendication numéro un du féminisme, les femmes se retrouvent en première ligne de la guerre sociale, avec des jeunes et une oligarchie qui n’ont plus de limites. Dans les familles, l’inversion des rôles a mené à la tragique théorie du genre.
Alain #Soral dans "C'est mon choix" sur France 3 au sujet du rôle des parents dans l'éducation des enfants.#Soralaraison #visionnaire @er_natio @officielsoral pic.twitter.com/iFcXxogNXe
— E&R Nord-Pas-de-Calais / Picardie (@Picardie_er) March 12, 2025
Beaucoup de femmes qui ont cru à l’idéologie féministe, plutôt faite par et pour des bourgeoises qui avaient les moyens de la vivre, un peu comme la psychanalyse, se sont retrouvées le cul dans l’eau : soit seules avec des gosses – on peut les appeler des SHF, des sans homme fixe –, soit seules sans enfant, donc aussi SHF.
Ne pas avoir d’enfant n’est pas une tare, on peut toujours adopter. Mais certaines n’adoptent pas, parce qu’elles n’ont pas trouvé d’homme fixe. Pourquoi ces hommes ne restent-ils pas ? Le féminisme, qui prône l’insoumission, heurte la nature profonde du rapport homme-femme. Il y a évidemment une dimension de soumission à accepter pour la femme, ce qui ne veut pas dire automatiquement femme au foyer enchaînée à la cuisine et au ménage ! C’est pourtant l’image binaire que les féministes veulent présenter, histoire de grossir leurs rangs. Il y a heureusement des femmes de qualité entre la grosse lesbienne haineuse et la pauvre esclave domestique.
« Je ne suis rien dans cette société, j’ai pas pondu, j’ai même pas réussi à pondre. »
Quant à la sororité, cette pseudo-solidarité des femmes, elle nous fait bien marrer ! Exemple avec une des filles Seigner, victime de la violence d’une sœur célèbre, pourtant élevée au rang de chevalier des Arts et des Lettres par Rachida Dati, ministre de la Culture, c’est-à-dire de rien du tout en Macronie :
« Madame, vous décorez des individus en méconnaissance de leur véritable nature. Certes, ce sont des artistes, mais sachez que ces mêmes personnes ont fait subir à autrui des violences physiques et psychologiques d’une gravité extrême. Une grande partie des violences physiques se produisent au sein du cercle familial. Il n’y a pas que des hommes qui violentent les femmes. Certaines femmes commettent des violences physiques ou psychologiques sur des membres de la famille ».
Dernièrement, pour dire le rapport des femmes, pardon, de certaines femmes à la violence, on a appris que Salah Abdeslam, le seul survivant du commando du 13 Novembre, aurait selon son avocate conçu un enfant en prison.
Après celui de l’ordure Lelandais, protégé par Jakubowicz, ça commence à faire désordre. Faut-il être un salaud pour faire des enfants aux femmes ? Une catégorie de femmes serait-elle fascinée par la violence masculine ? La force est une chose, la violence en est une autre.
Nouveau sketch :"La maman du futur"
@philippedemonts pic.twitter.com/7BVYWZ2ecw— firode laurent (@FirodeLaurent) March 9, 2025
Pour éviter que Carmen Daudet nous gronde à nouveau, on finira sur une touche positive : il y a des féministes intelligentes, c’est-à-dire mâlo-compatibles, et des féministes débiles. Les premières ont évolué, pas les secondes.
Comprendre le féminisme et la féminisation
Faits & Documents inaugure sa série sur la destruction de la famille traditionnelle par ce numéro consacré à la déconstruction de la masculinité par les réseaux néo-féministes et la pression pornographique. Un numéro qui fournira à tous des arguments tangibles pour faire face à l’offensive !
Vous trouverez dans ce numéro :
une enquête statistique sur les rapports homme-femme
une enquête sur un sujet éludé par les féministes : les infanticides
un rappel historique sur les réseaux à l’origine de l’industrie pornographique
quatre pages de brèves d’actualités