L’espèce humaine possède deux sous-espèces : l’homme et la femme. Dans l’espèce femme il y a deux sous-espèces : l’une est la femme, celle qu’on aime, et l’autre la féministe, celle qui ne nous aime pas. Notre point de vue sera celui de l’homme, naturellement.
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— CCTV IDIOTS (@cctvidiots) February 25, 2025
Avant, l’homme ne voulait pas que la femme travaille, parce qu’il avait peur qu’elle couche avec le collègue ou le patron, ce qui est classique chez la femelle, qui a besoin de plaire.
Mais le capitalisme en a décidé autrement : la femme devra travailler, car le salaire de l’homme ne suffira plus pour le foyer.
The Lady of beers !
Unbelievable ! pic.twitter.com/HaDH0pduXs
— The Figen (@TheFigen_) February 24, 2025
« Baisée » par le capitalisme
Malheureusement, le salaire de la femme était petit. Ce n’est qu’après pas mal de temps que la femme a pu gagner plus, mais du coup, elle a découvert un truc étonnant : elle avait moins besoin de son mari pour survivre, alors elle l’a quitté.
Le rapport entre l’homme et la femme change : la femme est moins dépendante de l’homme matériellement parlant, mais pas sentimentalement, ou sexuellement.
Pour son équilibre, elle a besoin d’être prise ou éprise. Elle se rend compte que vivre seule, surtout avec une portée de petits, c’est dur. Elle remet alors en cause le dogme féministe qui lui dit de s’éloigner de l’homme, qui est néfaste pour elle, et pour ses enfants.
Différences et complémentarité des sexes https://t.co/L0p6RoirdC pic.twitter.com/5j8efj1TMw
— Arthur Sapaudia (@ArthurSapaudia) February 23, 2025
Malheureuse, la femme sans homme (fixe) reconsidère donc son féminisme, ou son anti-hommisme, surtout quand elle voit ses copines être heureuses en couple (ces dernières font souvent semblant pour faire chier leurs copines sans homme).
Cependant, dans le tas, certaines deviennent des anti-homme radicales, qui préfèrent vivre seules ou entre elles – on les appelle les lesbiennes – plutôt que de dépendre matériellement ou sexuellement d’un homme. C’est un choix. On remarque quand même que ça les fait débloquer, de la même façon que les hommes sans femmes peuvent devenir fous.
- 80 000 morts
- 400 000 blessés
- 19 000 enfants déportés et "rééduqués" en Russie
- 20% du territoire occupéEt il faudrait lâcher l'Ukraine maintenant ?
3 ans après le début de l'invasion russe, je le redis : nous n'abandonnerons jamais l'Ukraine.Ja-mais. Slava Ukraini
— Marine Tondelier (@marinetondelier) February 24, 2025
Dieu a fait en sorte de rendre dingues ceux qui ne veulent pas de l’autre (sexe), ou dont l’autre sexe ne veut pas. Dieu est aussi taquin : il nous fait différents, donc conflictuels, mais nous lie par un besoin mutuel (amour, payer les factures).
On récapitule : la femme et l’homme sont différents, mais ils ont dramatiquement besoin l’un de l’autre. Ceux qui résistent à ce besoin souffrent. Ceux qui s’y abandonnent souffrent aussi, mais il y a des compensations, notamment matérielles, et sexuelles.
De nombreuses femmes parties en guerre contre les hommes le regrettent, mais elles ne veulent pas trahir leurs « sœurs », ou leurs cheffes, qui leur interdisent de toucher au moindre mec. Elles sont sous emprise.
"On connaît qui est Caroline Fourest, qui la prend au sérieux ? Il n’y a jamais eu aucun procès."
La réaction de @frederictaddei face aux propos de la journaliste @CarolineFourest. #CMediatique tous les dimanches en direct à 12h sur #France5.@melanietaravant pic.twitter.com/Om3cOK6FWX
— CMédiatique (@cmediatique) February 23, 2025
Les femmes indépendantes ont voulu échapper à l’emprise de l’homme, certaines se retrouvent sous l’emprise des féministes, ou des lesbiennes qui se cachent derrière. On appelle ça déshabiller Paul pour habiller Jeanne.
Les femmes ont changé depuis Mai 68 (ou la pilule), mais dans ce changement même, il y a des femmes qui rechangent. On ne dit pas que toutes les ex-féministes vont devenir des tradwives parfaites (la mayonnaise ne rentrera plus dans le tube), mais on sent qu’on va vers un point d’équilibre. Pas forcément par amour, mais par l’effet de la lutte contre un ennemi commun.
Mais non, pas les juifs ! Le capitalisme diviseur, celui qui détruit l’Amour pour vendre l’Autre.