Très bonne l’intervention sur la vision kabbaliste du projet mondialiste, mais il manque cependant un auteur et un texte pour que la boucle soit véritablement bouclée sur cette question : Karl Marx, Sur la question juive.
« Quel est le fond profane du judaïsme ? Le besoin pratique, l’utilité personnelle. Quel est le culte profane du Juif ? Le trafic. Quel est son Dieu profane ? L’argent. »
« Les Juifs se sont émancipés dans la mesure même où les chrétiens sont devenus Juifs. »
Et de quelle façon les chrétiens sont-ils devenus juifs ? La réponse dans ce même texte dans la première partie :
« Aucun des prétendus droits de l’homme ne dépasse donc l’homme égoïste, l’homme en tant que membre de la société bourgeoise, c’est-à-dire un individu séparé de la communauté, replié sur lui-même, uniquement préoccupé de son intérêt personnel et obéissant a son arbitraire privé. »
On a donc aujourd’hui un peuple élu, peuple prêtre du Dieu-argent, qui s’incarne dans le monde de la banque et de la haute finance internationale ; et le reste de l’humanité soumise aux lois noachides, les prosélytes de la porte. Et on le voit bien dans le réel que les lois sont pas les mêmes pour ses gens là que pour nous, ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent en quasi toute impunité. Quand on dialectise les choses de cette façon, on se rend compte que le projet biblique de domination du monde est en fait déjà réalisé. Ils possèdent déjà les milliers d’esclaves qui leur étaient promis, la domination des nations, la Terre promise etc etc...
Lisez et relisez Sur la question juive, c’est un texte incroyable pour qui veut comprendre la réalité du judaïsme, du mondialisme et du capitalisme, qui ne sont en fait qu’une seule et même chose.
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