Dans un monologue filmé de dix-sept minutes, posté le 27 juillet 2019, Juan Branco s’en prenait déjà directement à Benjamin Griveaux.
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Alors qu’il jurait n’être que le conseil de Piotr Pavlenski et avoir « refusé » de participer à son action « choisissant de rester strictement dans mon rôle d’avocat », dans cette vidéo étrangement prémonitoire mise en ligne en juillet dernier, Juan Branco annonçait la chute de Griveaux promettant qu’on le verrait « nu, dans sa laideur. »
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« Dès début janvier, il y a eu cette offensive concertée (…) Une tentative de m’attribuer l’attaque au fenwick d’un couard et d’un lâche, un certain Benjamin Griveaux sur lequel j’avais enquêté et face auquel (...) je m’étais trouvé lorsque son ministère avait vu sa porte (être) défoncé au fenwick par des manifestants qui réclamaient à ce porte-parole du gouvernement de la France le droit à être écouté, et refusé qu’il puisse au nom de notre pays insulter ceux qui tentaient de s’exprimer. »
Plus loin, dans la même vidéo, il déclare :
« La Macronie n’attend qu’une chose, de tout rafler lors des municipales. J’ai volontairement laissé fuiter l’idée qu’une candidature pourrait intervenir et que l’enfant chéri de la Macronie, un certain Benjamin Griveaux, pourrait de ce fait chuter. Car il ne s’agirait pas tant de vaincre que de l’écraser en lui renvoyant sa morgue, son mépris, son incompétence et son inanité. En le forçant à une confrontation qui, au-delà des petits jeux oligarchiques, auxquels se prête avec tant d’entrain Anne Hidalgo, forcerait à le voir nu, dans sa laideur. »
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Le passage sur Griveaux à partir de la onzième minute :