On connaît tous le mage Attali, dit Jacquadit, l’homme qui souffle sa politique à l’oreille des présidents élus par des naïfs. Il aime se poser en prophète, histoire de rentrer dans la Bible ou le Talmud, mais il ne lui reste plus que la menace pour exister. La guerre apocalyptique, c’est son dernier truc.

Il faut réarmer contre la Russie, comme il aurait fallu réarmer contre l’Allemagne en 1936. En réalité, la France – eh oui, la gauche du Front populaire – avait réarmé dès 1936. Le problème, c’était l’état-major et des généraux arriérés, en retard d’une guerre – de positions – et assurés de ne plus être envahis grâce à la ligne Maginot.

Évidemment, tout est tombé par terre par une manœuvre de contournement habile de la Wehrmacht, et l’armée française est tombée, déstabilisée par la percée des chars soutenus par les avions. Une vraie bande d’idiots, alors que dès 1926, l’Union soviétique de Staline avait misé sur une industrialisation forcée, une modernisation de l’appareil militaire et même une attaque allemande ! Aujourd’hui, les leçons du passé n’ont pas été apprises : on est toujours en retard d’une guerre et d’un allié.

Que ceux qui pensent qu’Attali, lié au puissant réseau de la Banque, obtiendra sa guerre malgré les Français, n’ont qu’à pas y aller. GPTV tient son micro-trottoir : demander aux passants s’ils sont prêts à aller mourir pour Jacquadit ou la Banque...

La rencontre entre Trump et Poutine a mis l’Europe au pied du mur : elle veut la guerre, absolument, même si les USA et la Russie trouvent un terrain d’entente, sur le dos, inévitablement, de l’Ukraine. On verra qui osera attaquer la Russie après un cessez-le-feu plus ou moins durable, ou une paix...

La Coalition des cocus de l’histoire

Tout le monde a déjà largement commenté la réunion au sommet, alors que personne n’en connaît les clauses secrètes, ce qui est le vrai trésor diplomatique, qu’on découvre généralement des années plus tard. Les fuites sont souvent organisées par les deux camps, conjointement ou pas, pour embrouiller leurs ennemis. Et en substance, l’ennemi, c’est le combo UE-Ukraine.

N’écoutant que leur courage et les élucubrations de Jacquadit, les membres de la Coalition des volontaires de Zelensky et ses alliés s’est mise en place, aussitôt après la réunion américano-russe. Sauf que ni les Anglais ni les Français ne veulent aller sur le front... Du côté de la maison mère, à savoir l’UE, on a entendu cette bonne vieille pourriture de Leyen en sortir une solide :

« Les frontières internationales ne peuvent en aucun cas être modifiées par la force »

Bien vu de la part de celle qui a validé, au nom de l’UE, la politique colonisatrice et génocidaire des Israéliens. Il n’y a que France Info pour écouter ce tyran comme si c’était la bulle du pape, la réincarnation de la Démocratie.

On est bien sur la ligne Attali avec les frontières de l’Europe qui incluent l’Ukraine, ce pays récent, et les Russes qui ont donc envahi l’Europe. Qu’attendons-nous pour réagir et bouter le Russe hors d’Europe ? Le sentiment national européen serait-il inexistant ?

Décider de la vie et de la mort de 450 millions d’habitants, voilà un rôle à la mesure de cette ordure. Qui prépare le 19e paquet de sanctions contre la Russie pour début septembre. Et vous savez ce que ça signifie pour les administrés du cartel de Bruxelles ? Moins d’argent, plus de difficultés, et moins de libertés. L’Union européenne à la botte des mondialistes est vraiment une grande idée, peut-être même l’idée du siècle.

On a bien rigolé en écoutant la glorieuse réaction du président français, toujours là où ça se passe, comme BHL :

« On ne peut pas être du côté de la reconnaissance de la loi du plus fort », a martelé le chef d’État à Bormes-les-Mimosas. Sans quoi « on ouvrirait un nouvel ordre international, qui n’est plus celui basé sur le droit ». Il s’agit donc de « s’assurer collectivement que l’ordre international est respecté : il en va de la sécurité des Européens, et de la France. » (Le Figaro)

Tiens ? L’ordre international était basé sur le droit ? Ça alors... Depuis quand ? Mais il en a sorti une encore meilleure :

« Il n’y a qu’un État qui propose une paix qui serait une capitulation : la Russie. (...) Si nous sommes faibles avec la Russie aujourd’hui, nous préparons les conflits de demain »

Rectificatif : nous sommes faibles et nous préparons les conflits de demain, sur le modèle de 2014 et la provocation ukrainienne organisée par l’OTAN. C’est exactement ce que veut Jacquadit : le réarmement, l’attaque, le blitz, le Drang nach Moskau, vaincre la Russie en trois mois, avec ce renflement de Bruno Le Maire en chef de char de la 7e Compagnie, tout en évitant l’hiver, qui est souvent pro-russe.

Le mage a fait son temps, et il aimerait bien, au moment de rejoindre l’au-delà, après une noble vie de banquier bien remplie, appuyer sur le bouton atomique, si possible en faisant arriver le machin, le Macha, le Machia’h, d’autant que Macron lui doit tout, ou presque.
Allez, Manu, un petit geste pour ce grand homme qui ne veut pas partir tout seul. Allez, les Français, tous ensemble avec Jacquadit, et en route pour les étoiles !