Laurent Guyénot fait un travail de recherche, de mise en perspective et de pédagogie remarquable et précieux.

La question qui demeure c’est : est ce qu’il suffira de virer Netanyahou pour faire accroire à un nouvel Israël post-Bibi auréolé d’un mea culpa pilpoul et légitimer le recel de 80 ans (au moins) de crimes fondateurs sionistes ?

Tous les présidents depuis Kennedy ont eu accès à la vérité, mais aucun n’a agi.

L’autre question c’est : un système dans lequel les crimes contre la démocratie, et donc contre le peuple, sont acceptables tant que le peuple n’y a pas accès est-il une démocratie ?

Un acteur politique qui s’adresse comme si de rien était à un peuple avec plusieurs couteaux plantés dans le dos, est-il un démocrate ou juste un représentant du Pouvoir ? A quel moment le peuple est souverain dans cette arnaque à la démocratie ?

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Le monde s’éclaircira lorsque l’immense majorité des pleutres ne craindra plus d’être accusé d’antisémitisme dès lors qu’il s’agit d’évoquer les innombrables crimes d’Israel et qu’elle comprendra une fois pour que cette accusation est une arme de destruction massive de la lucidité, de la clairvoyance et du discernement...

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Issraël, même pas 1% de la population mondiale et 100 % d’emmerdes internationales.

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A L. Guyénot sur le film d’Oliver Stone duquel il a parlé brièvement dans un entretien. Le film, produit par un sioniste ami personnel de Netanyahu, fait semblant de traiter le sujet (l’hypothèse Clay Shaw est tout à fait décorative et ne débouche sur rien) mais s’impose toujours comme le produit d’entertainment de référence. La raison d’être de son film est de noyer l’hypothèse Israëlienne et la raison d’être de Stone à Hollywood est de court-circuiter toute tentative de soulever le tapis via le cinéma de grosse consommation.

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