On aurait pu appeler cette étude « les larbins de la République ». Avec un double sens pour République : ce qu’est théoriquement notre système politique, censé être une application de la démocratie, et ce qu’il est devenu, en réalité. L’habillage du noyau dur qui contrôle le pays, qu’on pourrait appeler le parti pro-sioniste de France.
Pourquoi pro-sioniste et pas sioniste, directement ? Parce que dans le tas, tout le monde n’est pas sioniste. Il y a les sionistes de cœur, qui s’en donnent à cœur joie dans leurs paroles ou actions, et les sionistes de raison, ceux qui calculent et composent avec la puissance du jour. Car cette puissance n’est pas éternelle. Elle est actuellement très critiquée. Pas parce qu’elle serait sioniste, mais parce que ses effets sur le peuple et le pays sont néfastes pour le peuple et le pays.
Pour le noyau dur en question, la vie est très agréable. Avec une inquiétude sous-jacente : l’histoire se répète lorsqu’on ne la comprend pas. C’est pourquoi nous nous attachons à comprendre l’histoire profonde, celle qui n’est pas enseignée dans les manuels scolaires, pour petits ou pour grands, cette sous-histoire destinée principalement à justifier le pouvoir profond.
La véritable Histoire ne laisse aucun fait de côté. En attendant la fission de ce noyau dur, dont la France pâtit chaque jour que Dieu fait, voici une photographie de ceux qui ont fait allégeance au parti pro-sioniste de France.
Tous ceux qui ne boycottent pas Haziza sont complices d’Haziza. Avec les incroyables sorties antifrançaises de cet agent israélien placé à la tête d’une émission télé de service public, le doute n’est pas permis. Ceux qui vont manger dans sa main se coupent automatiquement du peuple français et de ses intérêts. Il faudrait donc faire la liste – chacun sa liste – de ceux qui ne vont pas chez Haziza picorer la graine de l’extrême droite israélienne.
Belkacem, à la limite, vu ses limites conceptuelles, on peut lui pardonner son « choix ». Utilisée par le président pour exciter les véritables opposants au socialo-sionisme dont le programme consiste à affaiblir notre pays, par l’abaissement du niveau intellectuel de nos enfants, elle est loin de piger, tout à sa joie d’être ministre, la big picture et l’ingénierie qui opère à travers elle. Mais elle ne renonce pas au pouvoir de Judas qu’on lui tend.
Même si notre cynique président fait semblant de faire son devoir de mémoire (la pensée profonde de chacun demeure pour l’instant invérifiable), il n’en reste pas moins qu’il obéit à l’injonction shoahtique. La symbolique du lieu est tout sauf neutre : elle se matérialise en une politique étrangère désastreuse, qui entraîne la France à la remorque d’Israël et des États-Unis, les deux pays les plus détestés du monde. En 50 ans, le parti unique de la fausse alternance gauche-droite aura réussi a retourner l’opinion mondiale contre la France. Hollande n’est que le dernier agent en date de ce retournement.
Avec Christophe Barbier, on passe du politique lourd au culturo-mondain. En soi, ce n’est pas aussi grave que d’armer l’Arabie saoudite contre les Yéménites, mais cela participe de la même pliure. Encenser Attali, l’homme-orchestre du lobby sioniste français, qui travaille pour faire de Jérusalem la capitale d’un monde sionisé, cela fait sens. La preuve que Barbier est un produit de l’élite et non du peuple, c’est que zappé par le public en presse ou en télé, il revient toujours. La marque des « protégés » du lobby.
Il y a mille moyens de montrer son allégeance et de faire un gros clin d’œil au noyau dur (... avec les vrais opposants) qui dirige le pays en douce. Par exemple, inaugurer une Place de la Souffrance Juive, une avenue Simone Veil, ou une impasse Netanyahou. Non, mauvaise idée. Un jour, on débaptisera l’aéroport Charles de Gaulle pour le renommer aéroport de l’Amitié franco-israélienne. Tout est possible.
Il est une allégeance plus fine, qui inclut une critique – acceptable –, c’est celle que pratique Natacha Polony. Quand on invite des faucons pro-israéliens pour parler de l’islam, tout est dit. C’est comme si on invitait Haziza pour parler de E&R. L’intelligence est là pour masquer la collusion, brouiller les pistes. Il y a donc une échelle de soumission. Elle est plus ou moins visible, plus ou moins grotesque.
Avec Coco tkt, l’allégeance verse dans le clownesque. Le criminel sorti de taule pour faire le job de Job, il n’y a que des abrutis pour penser que ça va marcher. Avant, au XIXe siècle, le sioniste était intelligent. Il avait un idéal de gauche, Israël et son pouvoir militaire d’extrême droite n’existait pas encore. Aujourd’hui, les ingénieurs sociaux du lobby produisent de la connerie à la tonne, avec un effet boomerang tout à fait prévisible. Le lobby se tire une balle dans le pied, et ça remonte doucement vers le haut.
Exemple de cette « préférence » nationale pour le sionisme, l’incroyable protection privée dont bénéficie la communauté de Lumière au détriment de la population française, pourtant ultra majoritaire (99% contre 1%), mais minoritaire en termes de privilèges. La moindre association de quartier bidon (mais subventionnée) bénéficie de trois à cinq militaires à temps complet, sur le sol français, une décision des « autorités » françaises, qui sont évidemment aux ordres du noyau dur. Que ceux qui ont des yeux voient !
Comment qualifier nos derniers ministres de l’Intérieur ? Larbins ? Employés ? Laquais ? Tous les synonymes ont été utilisés, mais ça ne change rien au fond. Le poste stratégique de premier défenseur des citoyens a été détourné au profit de la communauté dominante, sous prétexte de se protéger contre l’antisémitisme, l’antisionisme et autres variantes. En réalité, il n’est question que de confiscation du pouvoir par une minorité, contre les intérêts du plus grand nombre. C’est la définition de l’oligarchie. Le pseudo antisémitisme est un piège syntaxique destiné à terroriser les trouillards et les soumis. Une terreur qui produit de l’allégeance, c’est tout bénef !
Au niveau inférieur, parmi les « petits » politiques, moins exposés médiatiquement, la soumission peut s’exprimer dans toute la splendeur du fayotage décomplexé. Elle consiste à envoyer un message au pouvoir central, à tendre une perche qui permettra de monter en grade. En général, le lobby utilise ces clampins prêts à vendre leur famille (politique) pour trois privilèges : un chauffeur, des voyages gratuits, et une exposition média qui fait vendre des livres. Ou pas, car BHL ne vend plus rien depuis perpète. À la fin, les « montés en grade de Tsahal » (utilisés comme des miliciens contre les vrais résistants), une fois démasqués ou affaiblis, sont balancés à la poubelle, ou à la vindicte populaire. Ça permet de calmer la foule. Un temps.
Le meilleur marqueur de l’allégeance reste l’équivalence réelle. C’est quoi l’équivalence réelle ? C’est une personnalité lambda (sans carte physique, mais dotée d’une carte virtuelle, un coupe-queue social diablement efficace) qui n’a l’air de rien, et qui se retrouve au même niveau qu’un hiérarque politique théoriquement supérieur. Exemple avec le président de la République qui va voir l’exposition du frère d’un médiocre écrivain artificiellement élevé par le système médiatico-politique, autrement dit le mécanisme agissant du lobby, qui élève ou qui rabaisse, au gré de ses intérêts.
Ce dispositif d’élévation (dit aussi ascenseur social sioniste) fonctionne selon le principe de la cooptation et de l’adoubement. Qui nie les valeurs de travail, de création de richesse (intellectuelle ou autre), de patience, et bien sûr de compétence. Concrètement, celui qui a vendu son âme au noyau dur peut profiter de la protection oligarchique et d’un booster social qui ne respecte aucune des règles établies pour les autres, les perdants. C’est le cas de la gauchiste Le Goïc, qui pose ici avec le révolutionnaire qui dispose d’enfants pour lui actionner la braguette. Vaste est le champ de l’antimorale. Impunité, quand tu nous tiens…
Portrait type du promu par le noyau dur : personnalité fragile, envieuse, prête à tout pour obtenir un pouvoir qu’elle n’aurait pas eu sinon, dans une République authentique. Une personne dont le désir de revanche sociale va servir les objectifs du lobby. Ses officiers traitants manipulent l’intelligence (réelle) de Caroline Fourest par le moyen de sa haine (tout aussi réelle). La haine est une faiblesse absolue dont se sert l’adversaire. On sert alors ce qu’on croit desservir, et l’on dessert ce qu’on croit servir.
Le diable est malin. Mais ça, on le savait déjà !