En lisant l’article sur l’historien Bruttmann (voir par ailleurs sur le site), j’ai tout de suite pensé à cette vidéo qui a pourtant 16 ans.
Le discours ne laisse la place à aucun doute, les zyvas et Soral, c’est pas des amis, donc encore moins les dingues qui se font sauter au nom de cette religion qu’ils fantasment et ne respectent pas, pour preuve on voit que plusieurs des profils dévoilent des consommateurs d’alcool en grande quantité, de la cocaïne.
Donc Bruttmann est soit un imbécile qui ne se donne pas le mal de se documenter et de fournir des analyses sensées, ce qui est un peu handicapant pour un historien, soit il ment à dessein.
J’ajoute que A. Soral n’est pas antisémite en 2 points :
La première fois que je me suis rendu à une ses conférences en 2007 ou 2008 je sais plus (en tout cas c’était au tout début de Flash puisqu’il était en vente, disposé sur des tables), j’ai quand même voulu m’interroger sur l’environnement dans lequel j’étais.
Donc j’ai discuté avec plusieurs groupes après la conférence (ça venait de Rouen, de Paris, de Caen...) et j’ai introduit des questions, non pas insidieuses mais discrètes on va dire, et je peux assurer qu’il n’y a pas un seul antisémite dans les conférences (je suis allé à plusieurs).
La ligne, ce serait plutôt des mecs qui sont inquiets pour le petit juif du coin qui se retrouve amalgamé par ceux qui le "représentent" et qui font tout pour se faire haïr.
Nous sommes allé dîner ensuite, à une vingtaine (c’était l’époque de Marc George et Sébastien Derouen), je ne suis même pas sûr qu’on ait évoqué une seule fois le judaïsme dans les discussions.On avait surtout parlé horizontalité/verticalité des luttes, et par déclinaison, de ce qu’on appelle aujourd’hui* l’ingénierie sociale, bien popularisée en tout cas par Lucien Cerise.
Les médias sous perfusion publique mentionnent invariablement les condamnations de Soral incitation à la haine (...), déjà il ne parlent jamais des relaxes, ce qui mettrait en lumières l’acharnement absolu et total dont il est l’objet.
Ensuite, les lois Fabius, Gayssot, etc... (on ne les comptent plus) sont des violons sur lesquels un coup tu pisses dedans un autre tu pisses à côté.
À voir les cas Valls et ses histoires de "blancos" et Dieudo avec "je me sens Charlie Coulibaly".
Donc M Bruttmann, travaillez ou taisez-vous.
*Je sais que c’est pas d’aujourd’hui mais plutôt du début du XX° et E. Bernays mais bon, on va dire merci, entre autres, à Lucien.
Répondre à ce message