Escada oublie Buzyn en tant que relais de la Fake news de la pitié.
Buzyn, mariée en premières noces avec un des fils de Simone Veil dont les lois éponymes sont consubstantielles au déficit budgétaire croissant de la France, tout sauf un hasard.
Mensonges d’état à tous les niveaux, manipulations à 360° (lois d’exceptions pour la reconstruction de Notre Dame avec les marchés juteux de l’ile de la cité dans le viseur, ces derniers étant potentiellement dans les mains des gros donateurs de la première heure suite à l’incendie), les dénoncer n’est clairement plus suffisant, même si nécessaire pour tenter de casser cette crédulité qui caractérise les gentils complètement manipulés par les médias.
Tout l’appareil d’état est noyauté et ce dernier n’avance même plus masqué, la fake news de Castaner en est l’illustration parfaite.
Il faudra le répéter, mais le marché et ses soutiens sont très en avance dans leur entreprise de démolition des démocraties locales, les religions sont des épines dans le pied des progressistes, échardes à retirer d’urgence afin de soutenir la volonté de croissance du marché qui entraine les peuples vers un chaos générateur d’un N.O.M.
Car la suprême perversité des progressistes est de nous vendre un monde de paix dans lequel l’altruisme serait roi, alors qu’ils recherchent le chaos capable de créer un nouvel ordre marchand propice à l’expansion illimitée du marché.
Et pour ceci, il leur faut remplacer les religions par la laïcité, circonscrire les besoins individuels au plaisir de consommation, le tout dans une impression de sécurité, cela passe donc par le métissage des peuples, le nomadisme salarial, le transhumanisme, acter politiquement l’effondrement des états nations dont ils auront soigneusement planifié afin d’y installer un totalitarisme climatique en substitution, d’ou le GIEC, d’ou Greta Thunberg.
Totalitarisme amplifiant les migrations, donc se substituant à la faillite organisée des démocraties locales parce que le marché a besoin d’un substrat idéologique pour s’accroitre, si ce n’est pas la démocratie, alors ce sera le totalitarisme climatique et si ce n’est pas ce dernier alors ce sera la guerre.
Le marché dicte sa loi, le marché ne veut plus de frontières ni de résistance nationalistes, souverainistes ou religieuses, le marché veut une démocratie mondiale pour le légitimer et s’il faut une troisième guerre mondiale pour y parvenir, alors il y aura une suite à la crise de 29 et à WWII.
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