Si on n’était pas début 2021, après une année 2020 surréaliste, on n’aurait pas cru ce titre de L’Opinion du 5 janvier, dans une rubrique au titre malheureux...
C’est pourtant vrai et c’est même pire : le quotidien néolibéral nous apprend que l’ex-ministre de la Santé, qui a démissionné opportunément avant l’ouragan Covid-19, que les complotistes soupçonnent d’avoir été produit dans le laboratoire P4 de Wuhan que les autorités sanitaires françaises connaissaient très bien (pour l’avoir inauguré) [1]], bref, celle qui a laissé le bébé au pauvre Véran va s’occuper des « affaires multilatérales » au sein du cabinet de Tedros Ghebreyesus, l’escroc éthiopien devenu, par la magie de la fondation Bill & Melinda Gates, le porte-parole du milliardaire américain proche de Jeffrey Epstein.
Voilà pour le tableau principal, qui donne à voir quelques noms de l’hyperclasse mondialiste, une caste qui n’abandonne jamais les siens. L’Opinion délaisse le côté sombre de l’affaire (Wuhan, P4 et compagnie) pour centrer son article sur l’incroyable générosité de la dame, qui a tout donné pour la France, ses malades et l’information. « Transparente et sincère », c’est ainsi qu’elle se présente :
Agnès n’est donc ni obscure ni menteuse. Qu’on se le dise.
Une pleine page lui est consacrée, montrant son infatigable combat contre le mal et pour les soignants. Elle qui aurait averti l’exécutif du danger de ce nouveau virus aura démissionné avant de pouvoir faire profiter les Français de ses immenses talents de guérisseuse.
Lancée dans la campagne LREM pour Paris, elle devra abandonner la lutte après avoir tout donné pour Benjamin Griveaux, et laisser Hidalgo, la femme de paille du lobby socialo-sioniste, regagner la première mairie de France.
On apprend en passant que c’est Agnès qui a fait nommer Jérôme Salomon au poste de directeur de la Santé, ce qui précise un peu plus l’organigramme de la santé publique française, cet axe Lévy-Buzyn-Hirsch-Salomon, ensuite ça descend de Véran en Lacombe en passant par Delfraissy, dont on n’a plus de nouvelles.
Finalement, pour qui ne connaîtrait pas le pedigree réel de la dame, l’article de L’Opinion sonnerait comme le panégyrique d’une personnalité dévouée à la France et victime de la méchanceté des hommes.
Pourtant, son recasage chez Bill Gates – car l’OMS n’est que la chambre d’enregistrement des délires du milliardaire corrupteur (il achète médias et hommes politiques indifféremment) –, en plein cœur de la nébuleuse mondialiste (elle devient ambassadeur de Tedros auprès du G7, de l’ONU et donc de la fondation Gates), pose question.
Un homme, fût-il « philanthrope » si l’on en croit Le Monde (qui a reçu des millions de dollars du milliardaire), connecté à la sphère pédocriminelle Epstein, est-il encore recommandable, malgré l’adoubement du rabbin Menachem Mendel Schneerson ? Diable, nous posons la question.
Bonus : la plainte contre Buzyn
Après cette plainte qui date du 20 mars 2020, un autre nuage plane sur la tête de Buzyn soupçonnée de vouloir se planquer à l’étranger, une information relayée par Gala :
Agnès Buzyn voudrait-elle se lancer en politique à l’étranger ? Dans son édition parue ce lundi 21 décembre, L’Opinion consacre une page aux actions intentées en justice à l’encontre de personnalités politiques, et surtout pour leur gestion de la crise sanitaire en France. Parmi les personnes citées : Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé, qui a quitté son poste pour se lancer dans les municipales suite à l’abandon de Benjamin Griveaux, rattrapé par des affaires privées.
Dans le journal en kiosque ce jour, l’avocat Fabrice Di Vizio a lâché : "J’apprends qu’Agnès Buzyn songe à s’établir à l’étranger ? Pas question ! Je vais saisir la commission d’instruction pour qu’elle lui interdise de quitter le territoire, qu’elle auditionne au plus vite et qu’elle la place sous contrôle judiciaire." Mais pourquoi celle qui a été remplacée par Olivier Véran se retrouve attaquée de la sorte ? Après la plainte d’une élue de Montpellier.
Cette élue est, d’après nos confrères, persuadée d’avoir attrapé le coronavirus en allant voter au premier tour des élections municipales le 16 mars dernier, soit deux jours avant le confinement. Cette femme aurait transmis la maladie à son père qui est ensuite décédé. Autre accusation, le Samu ferait un tri entre les patients, selon leur âges, pour les transférer à l’hôpital. C’est pour ces différents motifs que l’avocat souhaite qu’Agnès Buzyn ne parte pas à l’étranger pour ses ambitions politiques, et qu’elle s’explique devant la justice.