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Affaire Epstein : une ancienne mannequin décrit l’organisation sur "l’île du vice"

Elle a séjourné cinq fois sur Little Saint James, « l’île du vice » de Jeffrey Epstein. Après le suicide du millionnaire à la tête d’un trafic présumé de mineures et de top models, Sarah Ransome, l’une de ses accusatrices, s’est confiée à Complément d’enquête. Dans cet extrait, elle décrit un système mis en place par Epstein et sa « garde rapprochée », où les filles auraient été utilisées comme esclaves sexuelles.

 

Pendant dix ans, Sarah Ransome s’est tue, terrorisée à l’idée de témoigner contre celui qu’elle accuse aujourd’hui de viol. Deux mois après le suicide de Jeffrey Epstein, le millionnaire à la tête d’un trafic présumé de mineures et de top models, elle a raconté son histoire à Complément d’enquête.

En 2006, Sarah a 22 ans et rêve de devenir mannequin. Dans une boîte de nuit new-yorkaise, elle croise très vite la route de celui qu’on lui présente comme « un riche philanthrope »... Elle finit par être invitée sur son île privée, Little Saint James, au large de Porto Rico. Un paradis pour ses invités de marque, un enfer selon ses accusatrices.

Voici le récit de Sarah :

 

 

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50 Commentaires

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  • #2316954
    Le 8 novembre 2019 à 13:32 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Affaire Epstein : une ancienne mannequin décrit l’organisation sur "l’île du (...)

    5 fois,
    pour moi,
    c’est pas une victime,
    mais une complice, au moins...

    déjà, la 2ème fois ?
    mais ici, 3,
    4,
    5 ?

    nan, t’es une pute
    ou alors, ils t’attachaient, ils te maintenaient ?

    et si t’étais droguée,
    tu ne te souviendrais pas du nombre de fois :
    donc, y’a un problème dans ton discours
    il y a quelque chose d’autre

    peut-être une part de vérité,
    mais y’a aussi du mensonge, du fantasme

    lol, Jeffrey,
    c’est probablement un salopard,
    mais on peut pas tout lui mettre sur le dos, non plus

     

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  • Pour moi c’est clairement une fausse déclaration qu’elle y sois aller ou non.

    1/ pour mettre l’accent sur le fait qu’elle avait dépassé la majorité, un témoignage mettant la pédophilie a la trappe.

    2/faire comprendre qu’elle y est retourné plusieurs fois pour faire penser a la prostitution... d’une majeure

    3/ pour nous mettre en erreur sur ce qu’il se passait la bas reellement... elle y est aller plusieurs fois, les choses se passaient ainsi, on connait la vérité toute la vérité, plus besoin de se poser de questions.

    Pour ces trois éléments je me dit que cela sort pour écarter les gens de la vérité, une belle manip sous un déguisement de « révélations chocs ».

     

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  • #2317065

    Si on faisait exploser l’île d’Epstein, il y aurait une pluie d’ossements qui retomberaient dans la mer des Caraïbes .

     

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  • Pourquoi, ils n’organisent pas une confrontation entre cette fille et Brunel ? Ont-ils fouillé l’ile de fond en comble ? .
    En tout cas cette affaire reste muette en France, certainement parce que les personnes concernées doivent avoir le slip qui colle au fion

     

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  • Je suis d’accord avec ceux qui considèrent que le témoignage de cette jeune femme est une manipulation grossière.
    La vérité est ailleurs.
    On voudrait savoir par exemple comment se fait-il que Jean-Luc Brunel, allias Benchamoul se balade apparemment encore libre comme le vent quand en France tu peux te retrouver en prison uniquement parce qu’un jour tu as dit une phrase malheureuse politiquement incorrecte, ou même un seul mot (je pense à "la fournée") de Jean-Marie Le Pen. Par ailleurs, on se demande où est la Justice française pour délivrer un mandat d’arrêt international contre cette ordure et, de toute évidence cet espion au profit du Mossad. Il est bien clair que l’autre ayant été "suicidé", il faut se rabattre sur Benchamoul et lui soutirer toute l’information importante, à savoir qui ont été les "personnalités" en vue pour lesquels Epstein possédait du matériel compromettant (matériel pour permettre le chantage et qui, de toute évidence est désormais entre les mains du Mossad et peut-être de la CIA).
    Quant aux médias, leur silence radio sur cette affaire devient assourdissant.

     

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  • Témoignage bidon pour un reportage bidon. On nous manipule encore pour normaliser un scandale qui devrait exclusivement se centrer sur l’horreur du trafic humain, des sacrifices rituels d’enfants et de l’implication de l’état profond et des services secrets comme le Mossad et la CIA. Un reportage sérieux devrait expliquer le combat mené aujourd’hui par Trump et QAnon qui font tomber les têtes de ces Lucifériens. Probablement que trop de personnalités en France sont compromises donc les merdias ont pour consigne de faire profil bas. Quant au mac, il n’est pas près de réapparaitre au grand jour, son patron exfiltré passant pour « suicider » il ne doit pas avoir envie que lui arrive la même chose. La fille Maxwell a du fortement lui conseiller de faire comme elle, disparaitre. En tous cas, bon débarras !

     

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    • #2317459

      Bien d’accord. La nana qui croit en rajouter sur le cauchemar en disant que les filles n’avaient pas le droit de boire ni de fumer, ou qu’on les forçait à porter de la lingerie Victoria’s Secret (pourquoi d’ailleurs ce placement, ou anti-placement, de produit dans l’interview ?), ça fait franchement pas crédible. Je ne dis pas qu’il ne lui est rien arrivé mais, comme vous dites, on enfume le populo avec l’histoire d’une demie mondaine pour ne pas parler des vraies horreurs.

       
    • Le problème c’est que pour un epstiiiiine devenu trop visible qui disparait, il y a deux inconnus qui reprennent le boulot à la place.

       
    • @mondialisto

      Cette marque de lingerie Victoria est citée car le ou la propriétaire de cette marque est complice de Epstein et donc que leurs produits servaient à ces jeunes mannequins.
      On est bien servi par soi-même dit le proverbe.

      Il est étonnant que personne ne demande le boycott de cette marque Victoria Secret, complice de l esclavagisme de ces filles et parfois de leur mort.

       
  • D’accord Epstein était un prédateur sexuel mais toutes ces jeunes beautés avides de célébrité et de fortune se sont quand même rendues de leur plein gré ou avec la participation de quelques rabatteurs sur cette ile qui n’est ni Koh Lanta, ni l’ile aux enfants.. Saint James est certes une ile paradisiaque qui appartient à un riche et prétendu philanthrope, le rêve pour toutes les bimbos en quête d’un prince beau comme crésus. Un challenge pour elles en vue de décrocher le jackpot face à une concurrence nombreuse de prétendantes habitées par une même ambition : être la plus belle, la plus riche, la gagnante... Mais le riche Philanthrope n’était pas guidé par les mêmes intentions que son gibier préféré, le prédateur jouait sur du velours tenant bon nombre de puissants dans le creux de sa main qu’il faisait miroiter aux jeunes colombes comme d’accessibles nouveaux amis influents qui pourraient booster leur carrière, il les tenait en haleine, les entretenait dans la chimère , attisait leur arrivisme pour les consommer rapidement, avant qu’elles ne découvrent la tromperie, il fallait parfois forcer la décision, avec roublardise et parfois brusquerie..les colombes une fois consommées et revenues à la réalité jurent à présent, mais un peu tard qu’on ne les y reprendra plus.. Tout flatteur vit aux dépens de celles qui les écoutent, cette leçon vaut bien un fromage afin que le prédateur finisse à son tour comme proie avec le concours zélé de tous les médias autrefois complaisants et désormais invités d’honneur au banquet des charognards.

     

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    • Est-ce à dire que, parce qu’une mineure serait vénale ou duplice, comme le sont nombre de ses sœurs que nous connaissons plus matures, il est possible de la violer, voire plus si affinités avec les adorateurs de la Géhenne ?
      C’est un peu le même discours que ceux qui disent à celles qui se font insulter, pire violer : « Il ne fallait pas qu’elle(s) s’habille(nt) comme cela... »
      Ou cet autre qui dit, « Crève, c’était écrit dans mon bouquin que ce coin soit le mien ».

      Parallèlement, nous connaissons nombre de types prêts à suivre la première greluche venue qui arbore un décolleté « d’Enfer » : et cela, après l’écoute, c’est le deuxième fer de lance des services secrets pour coincer les Pierpoljack qui suivent le bout de leurs pulsions : les coincer jusqu’à les compromettre. Reste que, cet aspect du « collé-sucré » est volontaire pour celle (ou celui, plus rare) qui se colle à la mission : ici il y a fraude à minima...

       
    • Sedetiam@ le petit chaperon rouge aussi était mineure , mais cette fois le grand méchant loup n’était pas déguisé en grand mère , mais en riche philanthrope et là on n’est plus chez Charles Perrault mais chez Tex Avery...Il y a le Loup, mais aussi la Pin-up..

       
    • @ quidam,

      Cela ne répond toujours pas au « droit à violer », pinup ou pas pinup en cosplay de chaperon rouge, quand bien même la « grand-mère » serait complice, comme la mère de vouloir « le bien » de sa fille.
      La problématique des fables, c’est qu’elles ne se limitent qu’à la morale, laquelle (lesquelles) nous l’avons vu, est ou sont à géométrie variable selon les période de l’Histoire.
      Tandis que les vertus... une fois acquises.

       
    • sedetiam@ Je ne crois pas avoir tenté de valider le viol sous quelque forme que ce soit, je me suis limité à décrire un contexte très répandu dans nos sociétés contemporaines qui place la richesse matérielle au dessus de toutes les valeurs morales.. un leurre qui sert d’appât pour attirer des femmes vénales dans les pièges décrits , Bon nombre de jeunes femmes sont aujourd’hui motivées par l’argent, les apparences et la superficialité, des motivations qui peut les conduire à certains risques pour lesquels elles ont parfois une part non négligeable de responsabilité.. c’est mon avis.

       
  • Dans le reportage on voit une séquence qui explique que des messages codés étaient laissés aux invités aux portes des villas de l’île.

    Et on voit comment un "fille de -18 ans." deviens "fille -18 ans- " (le MOINS est flagrant et c’est passé pour deux tirets). Et aussi "2x8 ans" pour dire que c’est 18 ans… MDR j’ai ri

     

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  • On peut aussi voir les choses un peu autrement :
    Selon la mentalité prostituée, elles étaient de pauvres filles torturées. En effet elles n’avaient ni le droit de fumer (c’est inhumain), ni le droit de boire (de l’alcool). De plus, elles étaient sur une île paradisiaque, mais réservée égoïstement au seul propriétaire et à ses amis, sans jeunes touristes à draguer. La demeure était un somptueux palais privé, sans égards pour leur sensibilité de prolétaires besogneuses, qui ne peuvent pas se payer la même chose. Sur la plage privée, elles n’avaient pas le droit de choisir leurs tenues de bain et de farniente permanent et devaient utiliser les tenues (gratuites) « Victoria’s secret », même si elles n’aimaient pas cette marque. Pourtant, pas de beaux maîtres-nageurs coquins en vue. Le soir, elles dormaient dans des lits à une place, c’est tout dire. De façon à entretenir leur masochisme maladif, on les laissait même perfidement revenir souvent sur cette île en Boing privé, puis hélicoptère (voir la situation géographique de l’île Little Saint James sur Google Earth).
    C’est de la barbarie.

     

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  • Pour ceux que ça intéresse ou qui comme moi n’ont pas de tv --- reportage du 7.11 "Complément d’enquête". Epstein : la traque des mannequins :
    https://www.francetvinfo.fr/replay-...




    Puis ici, l’affaire Jacques HEUSELE assassiné en 2009, crime bien sûr non élucidé, où Clinton est nommé dans un de ses carnets, Michel Sardou, et... une agence de mannequins en Belgique, fm etc. ... un lien à faire ?
    https://youtu.be/pmfNiju_6GY

     

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    • #2322925
      Le Novembre 2019 à 14:09 par SOS Vieux Zizi pour l’Amour des petites Bêtes
      Affaire Epstein : une ancienne mannequin décrit l’organisation sur "l’île du (...)

      Michel Sardou, “la vielle botoxée” qui ronchonne contre les interdits ?

      Par contre, les vielles du système, très peu GJ...



      « Le téléphone portable, je hais ça, les réseaux sociaux, n’en parlons pas, et les Gilets jaunes, et les Gilets rouges, et les Gilets bleus, et les Gilets verts... Et merde, ça va. La seule politique que je pratique c’est que je fais partie du Parti animaliste, je défends les petites bêtes »,



      Parti animaliste, les petites bêtes ? Mon cul aussi :

      - les petites chattes surtout...

       
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