Elle a séjourné cinq fois sur Little Saint James, « l’île du vice » de Jeffrey Epstein. Après le suicide du millionnaire à la tête d’un trafic présumé de mineures et de top models, Sarah Ransome, l’une de ses accusatrices, s’est confiée à Complément d’enquête. Dans cet extrait, elle décrit un système mis en place par Epstein et sa « garde rapprochée », où les filles auraient été utilisées comme esclaves sexuelles.
Pendant dix ans, Sarah Ransome s’est tue, terrorisée à l’idée de témoigner contre celui qu’elle accuse aujourd’hui de viol. Deux mois après le suicide de Jeffrey Epstein, le millionnaire à la tête d’un trafic présumé de mineures et de top models, elle a raconté son histoire à Complément d’enquête.
En 2006, Sarah a 22 ans et rêve de devenir mannequin. Dans une boîte de nuit new-yorkaise, elle croise très vite la route de celui qu’on lui présente comme « un riche philanthrope »... Elle finit par être invitée sur son île privée, Little Saint James, au large de Porto Rico. Un paradis pour ses invités de marque, un enfer selon ses accusatrices.
Voici le récit de Sarah :