Il ne s’agit pas de remplacer Boeing ou Airbus par des constructeurs asiatiques, mais de liquider l’avaiation civile occidentale dans le cadre des objectifs de l’Agenda 2030 et de la lutte contre le réchauffement climatique causé par le dioxide de carbone. Dans ce contexte, les ingénieurs aéronautiques seraient bien inspirés de prévoir une changement radical de carrière, type planteurs de fraises à Carpentras comme le suggérait le consultant vert de la Commission, Jancovici, pendant la crise Covid. Le transport aérien de masse, c’est du passé. Bientôt, il faudra des autorisations spéciales et des droits spéciaux à polluer pour pouvoir prendre l’avion. Que le candidat passager moyen se rassure : il pourra bientôt racheter des droits à polluer à des gros comptes disposant de réserves de points carbone, qui souhaitent en vendre à des usagers occasionnels, qui seraient arrivés au bout de leurs autorisations. Des plateformes de trading des points carbone vont être ainsi ouvertes aux particuliers. Munis de vos nouveaux droits à prendre l’avion, vous pourrez ainsi avoir accès à des aéronefs VIP d’origine russe ou chinoise. La Commission a donc décidé de rétropédaler, en qui concerne l’usage des aéroports qu’elle s’était pourtant plu à multiplier dans toute l’Europe, en prévoyant maintenant de fermer les infrastructures aériennes pourtant financées aux frais du contribuable et du consommateur européens. Le chaos entretenu à dessein dans les aéroports au moment des grands départs en vacance est destiné à préparer psychologiquement les masses à ce changement de régime, auquel travaille Franz Zimmerman, le commissaire vert est-allemand de la Commission prêté par Mme Merkel, qui vous prépare un avenir écolo et socialiste respectueux de l’environnement mis aux normes du NOM 2.0.
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