- COMMUNIQUÉ - 50 000 personnes à la Marche Pour La Vie à Paris !#MPLV2019 pic.twitter.com/m9BvWDjy3t
— Marche Pour La Vie (@MarchePourLaVie) 20 janvier 2019
Le débat sur l’IVG est toujours quasiment interdit dans les médias mainstream (il y a même une loi qui sanctionne l’opposition publique à l’avortement) : on ne remet pas aussi facilement en question un des dogmes principaux du progressisme libéral, même s’il est meurtrier. Cyril Hanouna s’y s’est essayé dans son émission Balance ton post ! et aussitôt, tous les chiens de garde de l’avortementisme lui sont tombés dessus.
La couverture presse de la 13e Marche pour la Vie du 20 janvier, qui a vu 50 000 personnes manifester à Paris (7 600 selon la police) a été très ténue. Peu de sujets, quasiment pas de vidéos, des commentaires laconiques, alors que le débat engage notre futur et notre civilisation.
Si l’avortement n’était plus autorisé en France, aurait-on besoin d’une immigration de masse ? Chaque année 250 000 embryons sont éliminés, tandis que 250 000 migrants débarquent.
La manif du 20 janvier avait pour but de défendre l’objection de conscience des médecins qui refusent de pratiquer l’IVG. Il y avait donc une délégation de professionnels de santé, comme le souligne le quotidien 20 Minutes.
Outre les professionnels de santé (venus à l’appel de l’association Nos mains ne tueront pas), beaucoup de jeunes étaient présents, ce qui signifie que le combat contre l’avortement a de l’avenir, n’en déplaise à Laurence Rossignol, la sénatrice socialiste pour qui « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ». Un aveu qui disait tout le dangereux programme libéral qui se profile derrière les lois sur la bioéthique, en passant par la PMA et l’immonde GPA.
Les jeunes se sentent concernés par ce débat, et les garçons aussi :
Martin et Etienne ont 18 ans et ils marchent pour la vie. #MPLV2019 pic.twitter.com/tnTZhBpWqL
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Pierre, 31 ans marche pour la vie ! #MPLV2019 pic.twitter.com/da4F6eckmZ
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Il y a des Français plus lucides que d’autres qui ont compris ce qui se cache derrière le progressisme. Jean-Marie Le Méné, le président de la fondation Jérôme Lejeune, considère que la PMA pour toutes (elle vient d’être autorisée aux couples de lesbiennes, donc aux familles sans pères), « c’est l’arbre qui cache la forêt ».
Selon lui, cité par 20 Minutes, des choses « beaucoup plus graves » figurent dans le projet de révision. Il estime que le gouvernement envisage « le traitement des gamètes » et « l’utilisation de l’embryon dans la recherche ».