Il n’était pas parfait, mais on doit lui reconnaître une chose, surtout en regardant Macron ramper aujourd’hui : Chirac n’était pas l’ami et encore moins l’obligé de Netanyahou ni de Sharon, les deux bouchers du Proche-Orient.
Archives (2006)
« On peut se demander s’il n’y a pas, aujourd’hui, une volonté [] de détruire le #Liban : ses équipements, ses routes…Le est un pays avec lequel la entretient depuis très longtemps des relations d’amitié, de solidarité. »
— Jacques Chirac pic.twitter.com/zqipH4NiUt
— Philippe Grenier (@grenier_actu) September 28, 2024
Près de 20 ans plus tard, celui qui était son ministre des Affaires étrangères en 2003, quand la France eut son dernier sursaut de souveraineté, tire à boulets rouges sur Netanyahou et son gouvernement sanguinaire, mû par un rêve – celui du Grand Israël – qui s’est transformé en cauchemar pour ses voisins.