Oui. Dans un monde organique, Bardèche serait obligatoire et les Sartre-Camus-Malraux seraient lus comme des divertissements intellectuels. On ne lirait pas les grandes autrices Duras, de Beauvoir and Co également.
Bardèche a été parfaitement mis sous le boisseau. Je vous défends de rencontrer un prof de français capable de vous en parler. Alors qu’il a produit des études méjeures sur Céline, Proust, Balzac entre autre. Il devait pantoufler entre l’Académie et la Sorbonne pendant 60 ans, il a préféré Suzanne et le taudis, dans lequel il a agréablement vécu après guerre avec se 5 enfants.
Dans Bardèche, les 4 livres K-K sont des coups de points. Nuremberg le chef d’oeuvre évidemment numéro 1. Puis ce qu’on peut appeler le dyptique sur le fascisme et Sparte et les Sudistes, où la nécessité de la force pour pouvoir survivre à la subvertion. Anectode, quand il demanda au fils de Pierre-Antoine Cousteau s’il avait compris le fascisme après lecture, celui dit oui. Bardèche répondit, bah moi pas encore.
D’un point de vue hégélien, on peut le caractériser comme une résistance forte aux influences trotskystes...
Sa somme sur les femmes est incontournable de l’antiquité à nos jours. Où l’on comprend que l’on vit une époque de dégénérée. Partout la femme a eu du pouvoir, toujours elle pu être légère et dominatrice. Le féminisme généralisé est la cancer moderne, de la femme à chats à 40 ans et de l’homme dépressif.
Mais tout est bon dans le Bardèche. Mon préféré est ses Souvenirs. Qui explique, si cela à un sens, dans un style d’une pureté rousseauiste, comment il s’est transformé d’enfant de la République à fasciste.
S’il ne devait en rester qu’un, ça serait peut-être lui dirait une autre paire d’acier trempée en titane, Vincent Reynouard. Bien au-delà du bien et du mal. Dans le sublime !