C’est moi ou tous ces jeunes sont mous ? Même la diction est molle, hésitante. Les idoles sont américaines. L’échantillon est médiocre, je suis né dans cette période et non le niveau intellectuel ne paraît pas du tout élevé. Etre poli n’est pas un signe d’intelligence, même si l’on ne peut devenir intelligent sans devenir poli. Même si ce niveau médiocre est le nôtre, ou du moins celui que nous avons majoritairement en partage aujourd’hui parmi la gente adulte, il faut tout de même faire preuve de sincérité et le reconnaître, il n’y a pas de quoi s’extasier.
Ce furent d’ailleurs les premières générations à accéder à des études de plus en plus longues, et de plus en plus médiocres, avec des "idoles" de plus en plus ringardes, des idoles de consommateurs de musiques, de joints et de gauchisme, de libéral-libertaires.
Rien que la question est déjà bête : pourquoi parler d’idole ? Pourquoi ne pas parler de gens que l’on admire ? Rien que le terme idole dans une nation catholique devrait faire tilter, même si l’on n’est pas un croyant fervent, juste par culture : il n’y a aucune idole qu’il soit tolérer de vénérer car Dieu doit régner en ce pays.
Je suis navré si je me trompe lourdement, mais rien ne me donne envie dans la mentalité de ces jeunes, car je suis leur héritier, je les ai fréquenté et je n’ai rien retenu qui aurait été exclusivement d’eux qui ne soit une mauvaise voie à suivre. Les seules choses bonnes venaient de leurs aïeux - et par extension civilisationnelle, les nôtres -, mais d’eux, rien.
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