Keynes était libéral. Il a simplement compris que le marché pouvait être défaillant et qu’en situation de crise, il était incapable de s’en sortir à cause des anticipations rationnelles.
Le qualifier de socialiste démontre une méconnaissance de l’économie, du keynésianisme, et du socialisme.

Keynes était un socialiste fabien.
Libéral signifie la non-intervention de l’Etat dans l’économie.

Quand on a accès à internet, il est préférable de vérifier ses informations avant de traiter les autres d’ignorant.

Libéral ne signifie pas du tout que l’État n’intervient pas. C’est du libertarianisme dans ce cas.
Le libéralisme consacre la liberté individuelle, la propriété privée et la limitation du rôle de l’État dans les marchés, même si son intervention est essentielle rien que pour en dessiner les contours et s’occuper du régalien au minimum.
Keynes préconisait une intervention étatique pour corriger les défaillances du marché, comme par exemple les externalités négatives ou l’impossibilité de relancer l’économie en cas de crise de confiance.

Il y a une différence entre les faits et l’idéologie.
"son intervention est essentielle rien que pour en dessiner les contour(s des marchés)", "les défaillances du marché"
Ca, ce sont des postulats idéologique. Ce ne sont pas des faits.
Les marchés existaient bien avant l’Etat et leurs soi-disant défaillances ne sont qu’un argument pour justifier l’intervention de l’Etat.

Aux yeux de l’école autrichienne et des néolibéraux, le keynésianisme implique un essor de l’Etat non seulement dommageable au libre fonctionnement du marché, donc selon eux source d’inefficacités économiques, mais aussi annonciateur d’un système totalitaire, que ce soit via le socialisme, le communisme ou le fascisme : il engagerait la société sur « la route vers la servitude ».

Pour en revenir aux faits, la France est une économie dirigée (fixation des taux d’intérêts) qui après 60 ans de keynésianisme est tellement endettée qu’elle va passée sous la coupe du FMI comme le Royaume-Uni il y a 30 ans. Une fois de plus, on accusera les libéraux.

Les banquiers sont actuellement en position de domination réelle, avant c’était dans la forme vis-à-vis de l’industriel.
Les banquiers sont en train de faire de l’abus de pouvoir, ce sont eux qui sont derrière toutes les âneries wokistes, rechauffistes, guerrières...Ils sont hors-sol, sans racines et vont bientôt crever de leur démesure, ouvrir aux consciences que l’avoir n’est pas un but. Permettant ainsi un ad-venir sans argent, ni salariat, ni état.
Mais mettez de côté votre impatience narcissique, car c’est le temps long qui nous emmènera à l’après-capitalisme.
Tout changement se fait par étape. ..discrètement.

Cette émission a été tournée lors de mon dernier passage à Moscou, mais elle n’a étrangement toujours pas été diffusée...
AS.

@Kal

En effet, vous aurez noté qu’il s’exprime dans un français approximatif ce qui est surprenant pour un général de surcroît Chef des Armées !

Xavier a relevé ses erreurs ou dogmes les plus flagrants. Le sommet de sa stupidité est lorsqu’il évoque les morts. Lors du dernier échange de cadavres les Ukrainiens ont rendu 27 corps russes et les les Russes 1212 corps ukrainiens !

Burkhart est un russophobe primaire donc un con ! Il ne faut jamais sous-estimer son adversaire et le mépriser car l’émotionnel engendre des erreurs de jugement graves ! Putain, Saint-Cyr n’est plus ce qu’elle était !

Comment ce bourrin a t-il pu devenir général et CEMA ? Il n’y a qu’une explication, c’est Macron qui l’a choisi sur des critères personnels... c’est tout dire !