La camarilla féministe fait invinciblement penser à une pauvre gâteuse dépassée par les événements, qui n’a plus rien à dire mais qui radote continuellement. Leurs campagnes obscènes puent l’artifice. Elles concernent un monde qui n’existe pas. Ou plus.
Pauvres dindes sans imagination qui jouent à imiter leur mères, déjà grotesques Personne n’ose s’esclaffer devant le ridicule achevé de la dernière campagne de ces pauvres gougnottes tarées : Osez le clito !
On se pince le berlingot !
Summum d’inconvenance vultueuse puisque les pouvoirs publics vont laisser afficher partout des vulves béant leurs clitoris géants.
Retour sur un petit pénis inabouti.
Le clitoris -que certaines Africaines s’excisent joyeusement les unes les autres, est un reste de notre androgynie originelle- ultime trace de l’Homme dans la Femme.
Le prépuce - circoncis chez les juifs et les musulmans - est la trace infime de la Femme dans l’Homme !
Spirituellement, l’archétype du mâle total, asséché de la moindre goutte de féminité intérieure, c’est le satyre du Sofitel, bestial dans la réalité, et féministe dans l’idéal. Il fut ministre du gouvernement de la Gauche Plurielle, le plus féministe de l’histoire.
Les idéologies suprémacistes élues et les féministes sont contemporaines. Elles sont organiquement liées, homogènes.
La femelle clitoridienne est la contrefaçon de la femme ultime.
Les premières vont perdre leur féminité, les seconde l’intensifier. Celles là vont trouver leur forme d’intelligence propre, intuitive et globale, par la montée spirituelle de la polarité masculine en elles.
Les autres vont se fixer matériellement sur la caricature chthonienne du phallus ; soit l’exaltation ridicule du clitoris, de la clitoridienne, la femme intellectuelle, le bas bleu, la tête chercheuse (jamais trouvère) en science sociale, bavarde. La femme sadique/exhibitionniste, les valeurs féminines inverties, l’accablante secte écrivaine, etc., tout le fatras de la gynécocratie.
Viriloïdes, elles imitent l’intelligence de l’homme mais haïssent la virilité.
À priori, la satire de ce nouveau ridicule gynoïde devrait être dévolu à la partie femelle de la comédie humaine et non à quelques hommes courageux. Force est de constater que, à l’instar de l’injonction du métissage laïque et obligatoire, les femmes se montrent collectivement incapables d’aller à l’encontre des inepties véhiculées par leur presse spécifique.
Leur passivité mentale manifeste, dans un monde qui fait sans cesse l’apologie de leur supériorité intellectuelle méconnue, a force de loi.
N’est pas Colette qui veut, qui écrivit : « Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l’homme. Une femme intelligente y renonce. »
Félix Niesche