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Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat franco-britannique sont lancées

Lors du sommet de Brize-Norton, en janvier, le Royaume-Uni et la France avaient pris l’engagement de développer en commun un drone aérien de combat.

Ce projet, appelé Système de Combat Aérien Futur (SCAF), avait fait l’objet d’une lettre d’intention signée en 2012 par les deux pays, avec des études préliminaires confiées à BAE Systems et Dassault Aviation pour une enveloppe de 13 millions d’euros. Cette phase visait à identifier les technologies susceptibles d’être utilisées pour ce programme.

Le SCAF (ou FCAS pour les Britanniques) vient de franchir une nouvelle étape, ce 5 novembre. En effet, le Délégué général pour l’armement Laurent Collet-Billon, et son homologue britannique, le Chief of Defence Materiel Bernard Gray, ont remis aux industriels concernés les « contrats d’études de la phase de faisabilité ».

« Nous sommes ravis d’entamer cette nouvelle phase qui préparera le futur des systèmes aériens de combat, avec et sans pilote. Elle assure aux entreprises Françaises et Britanniques de conserver leur excellence technologique qui est vitale pour leur compétitivité dans un environnement concurrentiel mondialisé. Elle montre surtout l’attachement de la France et de la Grande-Bretagne à leur ambition de rester des puissances aéronautiques de premier plan », a commenté Éric Trappier, le Pdg de Dassault Aviation.

« L’engagement conjoint, d’un montant de 150M€ également répartis entre les partenaires, est complété par des études nationales lancées en parallèle, pour un montant d’environ 50 millions d’euros par pays », a indiqué la DGA, qui précise que cette phase de « faisabilité conjointe de deux ans (…) portera plus particulièrement sur les architectures de drones de combat, sur certaines technologies-clés et sur la définition des moyens de simulation destinés à valider les choix techniques et les concepts d’emplois ». Un démonstrateur est attendu pour 2017.

Outre Dassault Aviation et BAE Systems, qui s’appuieront sur l’expérience acquise respectivement avec les démonstrateurs nEUROn et Taranis, ce programme réunit également Rolls Royce, Safran, Thales et Selex ES.

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13 Commentaires

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  • #1022309

    Le cauchemar intégral ces s.loperies...ça nous laisse encore quelques temps pour apprendre à dresser les aigles et les faucons,si quelqu’un a un contact...Féthi

     

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  • #1022311

    Israel est le premier exportateur de drones, loin devant les US . Le Congrès Mondial Juif a probablement interdit à la plupart des pays du monde de développer des drones, pour le réserver à Israel et aux USA, on ne peut expliquer autrement l’incroyable RETARD pris par les Français , Allemands, Rosbifs, Russes, Chinois et autres, dans ce domaine qui est l’avenir de l’aviation .

     

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    • #1022377
      Le Novembre 2014 à 13:28 par Pierre Lagaillarde & son orchestre
      Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

      C’est peut-être qu’à la différence d’Israël, les autres marchands d’armes en question ont déjà des avions de chasse à vendre à l’export et que le drone de combat est un concurrent moins rentable pour eux sur le même segment de marché...

       
  • #1022313
    Le 6 novembre 2014 à 11:33 par la bonne lorraine
    Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

    Collaborer avec les Rosbifs, c’est collaborer avec des faux-jetons qui vont bien évidemment essayer de nous "baiser" .

     

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  • #1022369
    Le 6 novembre 2014 à 13:17 par Heureux qui, comme Ulysse...
    Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

    Après les drones civils de transport qui tombent en Ukraine, les drones militaires de combat pour les pilotes rétifs aux massacres dans le réel !
    Drone d’époque, merde, quand même !

     

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  • #1022630

    A ceux qui voient du complot de partout, il y a eu deux collaborations fantastiques entre les deux pays : le Concorde qui reste aujourd’hui encore une prouesse et le tunnel sous la Manche.

     

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    • #1022852
      Le Novembre 2014 à 21:08 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

      @ deff

      Tout dépend de ce qu’on appelle collaboration...
      Lorsqu’elle est à ce point déséquilibrée, on parle plutôt de sodomie en règle.
      Pour votre gouverne (oui je sais, c’est plus fort que moi), le Concorde est une réalisation techniquement française, l’apport industrieux de nos voisins est plus que symbolique...
      Pour le Tunnel, on peut sans risque parler d’entubage (ça me reprend), les petits épargnants Français ayant été tondus par les FM de la manière la plus radicale et au grand profit des banksters anglais !

       
    • #1023356

      Certaines études démontrent que le tunnel sous la Manche profite surtout à l’économie britannique .

       
    • #1023415

      Dire que l’apport britannique est symbolique est profondément risible et montre que tu ne maîtrises pas le sujet. Séparément, le projet n’aurait pas vu le jour. Je rappelle que le turboréacteur du Concorde est anglais ... c’est symbolique, oui, oui !

       
    • #1024459
      Le Novembre 2014 à 18:06 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

      @ deff

      Parce que pour vous le choix POLITIQUE qui a conduit à ce que les anglo-saxons détiennent aujourd’hui le marché des "turbofan" (un tiers du prix d’un liner aujourd’hui) est une "preuve" de leur supériorité technique ! Au passage aussi, la SNECMA ( Société Nationale d’Etude et de Construction de Moteurs d’Aviation) était donc britannique pour vous... curieux !
      Allez, retournez à votre littérature "wikipédiesque" et évitez de venir me faire la leçon en ce domaine, vous allez vous ridiculiser.
      Si la France n’avait pas été "invitée" à ne pas poursuivre ses recherches dans le domaine aéronautique, elle serait avec les Russes au sommet de cette discipline et produirait en série des aéronefs utilisant la MHD !

       
  • #1023362
    Le 7 novembre 2014 à 13:26 par cinquième colonne
    Les études industrielles pour le futur drone aérien de combat (...)

    La collaboration franco-allemande a conduit au triomphe d’Airbus, il eu mieux valu pour les français que nous collaborions avec les allemands pour le drone de combat, ce sont des gens plus sérieux et plus fiables que les rosbifs . Seulement les sionistes ont du faire les gros yeux à l’idée que l’Allemagne puisse retrouver son autonomie en matière d’aéronefs militaires .

     

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