Il n’y a plus de mots pour décrire le Macron en matière de politique extérieure. Toutes les erreurs, il les fait. Tous les pièges, il tombe dedans. Toutes les mines, il marche dessus.

Reclus dans le camp des pro-guerre, alors que les deux Grands sont en train de faire la paix, il tente, à coups d’envolées ridicules, de peser sur un match dans lequel il n’est ni arbitre ni joueur, mais simple spectateur, et encore, en tribune populaire, tout en haut du virage, là où l’on ne voit rien.

C’est la punition du sous-Bonaparte de l’Élysée, qui n’a jamais eu d’envergure. La France n’est pas une scène de théâtre pour ado qui joue au Cercle des poètes disparus. Macron a enchaîné toutes les cagades, aujourd’hui il a réussi à effacer la France du théâtre mondial. Peut-être était-ce le plan des forces occultes qui tiennent les ficelles de ce pantin.

Macron est tout simplement le Zelensky français, c’est pour ça que ces deux bouffons s’apprécient tant. Malheureusement, cette amitié stellaire nous a coûté de l’argent et du niveau de vie. La crise arrive, et elle sera énorme, car l’UE, et la France à l’intérieur, seront punies comme il se doit. Et on ne dit pas ça par masochisme : les deux Grands, avec la Chine en plus et le reste du monde libre (la liberté a choisi son camp, le non occidental) feront des affaires sur notre dos.

D’humiliation en humiliation

Un jour, Macron veut aller au combat derrière les Anglais, le lendemain, après un coup de fil de Trump, il rabaisse son caquet et annonce qu’il n’y aura pas de soldats français au sol, en Ukraine. Une force d’interposition, peut-être, pour faire le triste boulot de tampon entre Russes et otanistes, à la limite. Mais là encore, les Américains ont haussé un sourcil, et Macron a couru dans sa niche. L’image de la honte et de la velléité.

Le pire, ou le meilleur, dans cette affaire, c’est l’affaissement moral définitif de la presse de soumission : songez que le journal modèle Le Monde, qui a choisi le camp de la guerre à tout prix, a contaminé Libé, qui veut résister à... la paix. On aura tous compris que l’Europe, comme le soutenaient justement Simone Veil et Daniel Cohn-Bendit, c’était bien la paix...

La cerise sur le gâteau à la farine d’insectes, c’est Macron qui convoque lundi les principaux dirigeants de l’UE pour faire la guerre tout seuls à la Russie (avec Meloni qui l’envoie paître), et qui le lendemain se fait tancer par les dirigeants de seconde zone de l’UE. Un nouveau cas de pays-qui-ne-sont-rien... Loser éternel, absolu...

Alors, face à la « menace existentielle » que représente la Russie, pour se rattraper aux branches, il convoque, en grand chef de guerre, les représentants des groupes parlementaires, qui n’ont aucun poids dans la balance nationale ; alors internationale... On s’attend jeudi à la réunion des assistants parlementaires.

Dans une annonce qui sent la levée en masse, il rappelle ce en quoi consiste le danger russe chez nous (évidemment très loin devant le danger macroniste) :

Dans une interview à la presse quotidienne régionale ce mardi 18 février, Emmanuel Macron a mis en avant « la menace existentielle pour l’Europe » que représente la Russie. En guise d’exemples, le président français a listé « les cyberattaques, les tentatives de manipulations électorales, les actes antisémites très graves dans notre pays organisées par les Russes, comme les pressions migratoires en Pologne ». « Ne pensez pas que l’impensable ne peut pas arriver y compris le pire », a indiqué le président de la République. (BFM TV)

Le pire ? Mais qu’il ouvre les yeux, le pire c’est lui et sa bande de baltringues corrompus protégés par la justice.