C’est l’article intitulé En Israël, la chute de la fertilité masculine est un enjeu de société, publié sur le site jeudi 23 août, et que vous voudrez bien relire, qui m’a dicté ce travail.
Je me sens d’autant plus fondé à le risquer que mon dernier petit ouvrage intitulé Fragrans Feminae s’ouvre précisément sur ces considérations.
Il s’agit d’une effroyable catastrophe planétaire, qui est loin de concerner uniquement l’Israël. Nous noterons cependant que seul l’Israël temporel possède encore cette prérogative, devenue son privilège exclusif, préoccupation saine et légitime, qui devrait être le devoir de tous les Etats, de se soucier de la virilité et de la vigueur génésique de son peuple.
Cependant que leurs coreligionnaires d’Hollywood (l’Israël Éternel ?) font l’apologie de la Nana, prédatrice, supérieure, salvatrice, baiseuse et débrouillarde, faite pour montrer leur chemin aux benêts blancs, pleurnichards et semi-pédérastes qui sont là pour les mettre….en valeur.
Ce fléau capital ne concerne nullement que l’humaine espèce seule, puisque dans la faune, on a remarqué que près les lacs et estuaires où se déversent nos eaux usées, la plupart des animaux connaissent une baisse de la fertilité et les mâles adoptent des comportements dévolus aux femelles.
Quoi qu’il en soit, chez Homo sapiens, on a d’ores et déjà fait état (et publié dans des revues scientifiques confidentielles) :
D’une baisse générale de la fertilité (diminution de 50 % du nombre de spermatozoïdes actifs en cinquante ans).
De malformations génitales exponentielles : « à Montpellier, le Pr Charles Sultan, pédiatre endocrinologue, estime que le nombre de garçons qui ont un micropénis et d’autres malformations de l’appareil génital comme la descente incomplète des testicules (cryptorchidie) a été multiplié par trois en vingt ans. Le ratio de natalité fille/garçon, traditionnellement favorable aux garçons, s’est inversé. » [1]
D’explosion des cancers du testicule (multipliés par quatre en cinquante ans).
En outre, la longueur périnéale chez les nouveau-nés, diminue. La longueur périnéale est la distance des testicules à l’anus.
Responsable de cette dévirilisation planétaire la marée d’œstrogènes contenues dans les pilules contraceptives et quotidiennement rejetées dans les eaux usées des sanitaires, quantités phénoménales et phéromonales, fatales au sexe masculin.
Des éléments scientifiques indiscutables mais dissimulés, montrent la coïncidence parfaite de la féminisation physique et idéologique. Le flot monstrueux d’œstrogènes rejeté dans les nappes phréatiques étant le versant organique de la submersion du principe viril par les eaux corrosives amazoniennes.
Or donc à la fin, Y, se révèlera plus vulnérable que X.
Cette cause scientifiquement reconnue, sera soigneusement tue, ou plus exactement noyée dans un ensemble d’autres substances, pêle-mêle incriminées. Les « perturbateurs endocriniens omniprésents dans les plastiques », « le port des téléphones mobiles dans les poches de pantalon » « les hormones femelles dans l’eau potable recyclée », les « pesticides par l’agriculture intensive », « la concentration élevée d’œstrogène, une hormone femelle, dans les produits laitiers. »
C’est noyer le poison dans la foison.
En réalité les chercheurs savent parfaitement que la responsable absolu de cette dévirilisation planétaire est la marée d’œstrogènes des pilules contraceptives. Les autres substances ne viennent que s’ajouter, ne font que renchérir sur ce fléau en tant qu’adjuvants, si l’on veut, puisque l’on sait que tous ces dérivés de la pétrochimie, ainsi que les gaz d’échappement et autres composés chimiques, en quelque sorte miment les effets des œstrogènes naturels. Les savants d’ailleurs les nomment les œstrogène-like, car ils présentent les mêmes propriétés, mais atténuées, que les œstrogènes.
Pour tous les chercheurs qui ont étudié de cette dévirilisation planétaire, citons ceux de l’Institut Armand-Frappier, d’Environnement Canada, de Pêches et Océans Canada, etc., toutes leurs études ont montré le rôle irréfutable et prépondérant : « des œstrogènes hormonaux et médicamenteux, provenant des pilules contraceptives consommées par des dizaines de millions ou peut-être même de centaines de millions de femmes dans le monde, et quotidiennement rejetées via les urines dans les eaux usées des sanitaires et non traitées en stations d’épuration. » [2]
Seuls les eunuques spirituels et ils sont légions, ne ressentent pas la prise massive de la pilule comme une destruction de la féminité originelle au profit d’un type de néo-féménité moderne, sa contrefaçon viriloïde.
Ne voient pas la coïncidence absolue de la dévirilisation physique et psychologique avec la féminisation métaphysique, entre la marée d’œstrogène et la submersion de la polarité masculine par les eaux corrosives du Kali Yuga.
à suivre....
Félix Niesche
N.B : Les aimables commentateurs stylés me feront, une fois n’est pas coutume, grâce de leurs remarques sur mon « style », ici seul le sujet importe, je ne l’ai pas payé de mots.
Ceux qui le regretteront, pourront se consoler par la lecture de Fragrans Feminae