Le scrutin du 23 mars par l’Abstention record, atteignant parfois plus de 60 % dans les quartiers populaires, marque l’effondrement électoral du PS.
Ce dernier ne maintient des scores décents, hélas, que dans les banlieues à forte concentration immigrée et les quartiers bobos des centres villes.
Cependant les résultats globaux de ces élections municipales marquent quand même ! un rejet clair et net des politiques de putréfaction morale, de misère sociale et de destruction de la Nation mises en œuvre par cet infect gouvernement Fabius-Peillon-Taubira-Belkacem, gouvernement qui n’est qu’un conglomérat de laquais sordides du sionisme et du capital financier.
Il s’agit d’un désaveu cinglant qui retire toute légitimité à ce gouvernement pourri ainsi qu’aux institutions qu’il sert : le FMI et l’Union américaine, dite “européenne”.
Un pas supplémentaire dans la crise du régime a été franchi. Approfondissant la crise des institutions parfaitement antidémocratiques de la Cinquième République, à la date de péremption largement dépassée et qui n’a plus de république que le nom.
Toute la représentation politique est touchée. La droite gauchie comme la gauche adroite.
Dans les sommets du PS, devenus littéralement un monticule de décharge municipale, les canailles tremblantes et haineuses ne savent plus dissimuler que cet événement politique de force 4, prélude pour eux à un désastre.
Pourtant, en bons laquais serviles, au mépris de la décence, au mépris de l’avis et de la vie du peuple, ce gouvernement failli affirme qu’il poursuivra coûte que coûte l’application du Pacte de responsabilité, de la Réforme territoriale, de l’acte III de la décentralisation, ainsi que des projets Peillon et Belkacem qui ne sont que l’organisation délibérée du pourrissement de l’enfance et de la jeunesse scolarisée.
Le Front National nationalement récolte 4,7 % [1] des suffrages, mais en tête dans 17 villes de plus de 10.00 habitants , car les électeurs FN mobilisés ne s’abstiennent pas, au contraire des autres. Le media aux ordres monte en épingle et exagère ce gain relatif pour faire peur aux jeunes téléspectatrices et téléspectateurs.
Pourtant ce parti n’est en aucune manière responsable des politiques qui ont mis la France en faillite et à genoux. Il les a au contraire constamment combattu. La haine que la camarilla lui porte est le plus sûr garant de son honneur.
Ainsi comme en 2002 on cherche à rejouer la pantomime de la lutte contre le fascisme dont Jospin avait pourtant avoué sur “France Sous-culture” que « c’était du théâtre » !
Culpabiliser les électeurs qui ont refusé d’apporter leurs suffrages aux candidats soutenant le gouvernement Hollande, et les faire marcher demain au secours du même gouvernement Hollande devant une menace anachronique, tel est le fin mot de la comédie. Ce qui n’était en 2002 que du théâtre de rue devient en 2014 une sinistre plaisanterie. Un gouvernement qui salue comme étant une révolution démocratique un coup d’Etat mené en Ukraine par de vrais fascistes en état de marche et en exercice, qui appuie des assassins-cannibales en Syrie, appelle à l’Union Sacrée contre le fascisme pour se sauver de la chute finale.
Car il n’est pas tout à fait à terre. Trop de notables PS bougent encore. Mais le vrai pouvoir est un Janus bifrons, il peut alterner avec de l’alter ego, avec de l’UMP, du Copé !
Remplacer Belkacem par Bachelot ? Pour quoi faire ? Du gender au cochon ?
Très peu pour nous.
Tout cela prouve que le suffrage universel est biaisé, qui laisse intacte la vermine accrochée aux ors de la république française comme des sangsues publiques buvant le sang de la nation.
Dimanche, par l’abstention révolutionnaire ou le vote National, nous continuerons de solder nos comptes avec ce gouvernement "socialiste". Afin qu’il soit un jour récompensé comme il le mérite et comme les Ben Ali et autre Papandréou, qui rappelons le étaient des membres très honorables et très honorés de l’internationale socialiste.
Félix Niesche pour E&R