Le centre de détention provisoire où étaient regroupés 193 prisonniers du régiment Azov a été la cible d’un bombardement ukrainien à l’aide d’obus MLRS et HIMARS, tuant ou mutilant la plupart des prisonniers. Ce sont les Russes qui sauvèrent les quelques survivants en leur administrant les soins nécessaires. L’objectif de ce bombardement est d’éviter tout futur procès de Nuremberg qui exploiterait les témoignages des militaires du régiment Azov.
Pendant ce temps la France livre ses Caesars qui, comme le matériel américain sus-nommé, vont bombarder civils ukrainiens prorusses et militaires russes, entraînant de facto notre pays dans une situation de cobelligérance très dangereuse, comme l’analyse ici François Asselineau :