Pourquoi la démocratie ne fait plus rêver ?
Mardi à 7h40 dans Les Matins, Guillaume Erner reçoit Yascha Mounk, professeur de théorie politique à Harvard et auteur de : « Le peuple contre la démocratie ». pic.twitter.com/JTrR8L64xg— Matins FranceCulture (@Lesmatinsfcult) 3 septembre 2018
Certes, c’est le grand penseur avec sa tétine dans la bouche Yascha Mounk qui explique ça à Guillaume Erner, champion du monde de Bien-pensance 2018, mais France Culture passe toujours le même genre de daubes pro-Système alors ça commence à bien faire, il fallait qu’on réagisse.
Écoutez la présentation du livre de Mounk :
« Dans la version originale, il y a un sous-titre : “Pourquoi notre liberté est-elle en danger, et comment la sauver”. Tout le projet du livre est là. Yasha Mounk part du constat de la rencontre entre la montée du populisme, et une forme de sécession des élites libérales qui affaiblit l’attachement à la démocratie, jusqu’à mettre celle-ci en danger de mort. »
Merde, là ça commence à gaver grave ces bouffons qui pensent penser et qui nous donnent des leçons, et des leçons mensongères ! Si encore ces intellos-Système nous infligeaient de temps en temps quelques trucs justes, on aurait un peu honte mais on finirait par acquiescer... Là c’est tout le contraire : non seulement ils occupent le terrain, saturent notre espace médiatique, mais en plus c’est avec un flot de conneries sans nom !
« Sa thèse est assez simple et elle est assez catastrophiste, il prend acte de ce qu’il appelle la décomposition des démocraties [...] Cet effondrement que l’on constate dans le monde entier Yasha Mounk estime que ce n’est pas seulement un moment populiste, il fait l’hypothèse que ce moment va se pérenniser et qu’on va assister à l’effondrement de notre système démocratique libéral. » (Jean-Marie Durand)
Franchement, voici un penseur, de métier, qui fait un livre dont la thèse, qu’on a résumée dans le pitch précédent, est fausse de A à Z ! Non mais on va où là ? On va se calmer et vous expliquer pourquoi, même si tout le monde a déjà compris.
Ce qu’il se passe sur le Net depuis quelques années, c’est justement la montée de la DÉMOCRATIE, que ces inverseurs appellent populisme. La démocratie, depuis l’avènement de la contre-information sur le Net, ne s’est jamais aussi bien portée ! Elle est en pleine forme, elle est vivace, on en est la preuve vivante. On peut enfin respirer autrement que par le trou du cul de toute la bande des imposteurs qui pensent à notre place. Ce sont ces fourbes aux commandes qui voient le pouvoir leur échapper, sable qui file entre les doigts, et qui essayent de retourner le truc pour nous faire culpabiliser !
Macron, fils de Soros
Le peuple contre la démocratie, a-t-on déjà entendu saloperie pareille ? C’est l’oligarchie qui est par définition contre la démocratie, même si elle fait semblant d’en être à l’origine, alors qu’elle la tient prisonnière. Toutes ces définitions simples sont à apprendre par cœur, évidemment.
Pour bien comprendre l’inversion abjecte dans la thèse de Mounk, il suffit d’inverser les items pour remettre les choses à l’endroit. Ainsi, la vraie démocratie est ce que ces traîtres appellent le populisme, et ce qu’ils appellent démocratie n’est que le masque de l’oligarchie, cette hideuse oligarchie magnifiquement incarnée par Soros et son visage d’ange déchu. Pour résumer, Macron est le masque de Soros.
Dire qu’on finance ce « service » public avec nos 130 euros par an, c’est pas dieu croyab’. On paye ces fumiers pour qu’ils nous enfument la gueule avec un shit storm permanent. Ce sont eux les nauséabonds, les fascistes, les fabricants d’obscurité et d’obscurantisme, les diviseurs et les salauds. Ce sont eux qui produisent par leur perversité ce monde violent et dégueulasse. Qu’ils crèvent (et nous avec) ! Vive la bombe atomique !
Le calmar tient la corde
Comme de toute façon il y a mille fois plus d’inconscients que d’humains conscients sur cette Terre, une apocalypse nucléaire ne peut pas vraiment faire de mal. Bonne chance aux animaux mutants qui nous survivront.
On parle des cafards, mais plus sûrement des calmars, ces petits êtres qui ne payent pas de mine mais qui ne sont pas cons du tout. On vous refile le bébé, l’Évolution, bonne chance les calmars, nous les humains on a eu notre chance et on l’a un peu piétinée. À vous de jouer !