#YannMoix sera-t-il à l’antenne sur Paris Première ?
"Je crois que son émission ne perdurera pas sur Paris Première"
@ndetavernost, président du directoire du groupe @M6, sur #Europe1. pic.twitter.com/qC0F8IwXll
— Culture Medias - Europe 1 (@E1CultureMedias) September 6, 2019
« Le contexte aujourd’hui fait que c’est très difficile de confier une émission dont il est l’animateur principal avec les invités dans les circonstances actuelles »
En dégageant Chez Moix pour d’obscures raisons d’antisémitisme, le patron du groupe M6 Tavernost fait d’une pierre deux coups : il nettoie la chaîne Paris Première d’un boulet qui ne marchait pas, et il passe pour un grand défenseur de la démocratie. Pourtant, une nouvelle saison de cette émission avec plus de participants que de téléspectateurs avait été signée. Les réseaux, ça sert, surtout quand on est mauvais !
Voyons ce que le grand public français a perdu avec cette émission phare de la culture :
Le sionisme ne paie pas
Thierry Ardisson aura au moins laissé des émissions cultes, comme Jean-Edern Hallier. Moix, trop mytho et imbu de lui-même, ne laissera pas de trace à la télé. Le coup n’est pas trop dur pour Barma, qui gère la société de production TSE (Tout sur l’écran), qui ramasse dans les 10 millions par an grâce, entre autres, à la production d’ONPC sur France 2 dont Ruquier est l’animateur inamovible. Ruquier est un petit Havrais très moche devenu beau et riche grâce à des jeux de mots et, surtout, une courbure d’échine qui lui permet de se soumettre aux autorités sionistes de la télé française.
Laurent a défendu Moix (Laurent déteste Moix mais les ordres sont les ordres, surtout quand ils émanent de BHL) mais les sous c’est les sous. Voici le message de TSE au HuffPost :
« Nous partageons en effet l’analyse selon laquelle les conditions sereines pour produire et diffuser ce programme ne sont plus réunies »
- BHL t’en a acheté combien avec sa fortune ? Allo ? Yann ?
C’est la cata pour Yann, qui en plus fait face à des ventes d’Orléans, son dernier livre, qui ne décollent pas : les stats donnent 4 452 exemplaires vendus en semaine 34 (c’est comme ça qu’on dit dans le métier, 34 sur les 52 d’une année donc), juste avant que Yann ne vienne pleurnicher sa race chez Tata Ruquier, et après l’émission, en semaine 35, il n’a vendu que 200 exemplaires de plus.
Traduction : la publicité négative autour de son négationnisme (malgré sa conversion au BHLisme) lui fait mal au tiroir-caisse. Espérons que son mentor, le ministre de la Guerre israélienne BHL, saura l’employer dans son palace de Tanger : il y a la piscine à nettoyer et Arielle à occuper.
Ah, pardon, Arielle a plus de 50 ans, c’est pas dans les âges pour Yann. Il préfère le corps des femmes de 25 ans. Qu’il se méfie, ce sont les femmes de 50 ans qui achètent les livres... Ou comment balancer une grosse couille dans le potage de l’édition.
Voilà une des dernières émissions sur Paris Première de Yann. On fait ça pour lui, un geste chrétien, lui qui est devenu juif par la grâce de BHL (perso on n’a pas regardé, on a autre chose à faire). Le thème était « les jeunes vont-ils sauver la planète ? ». Ça donne envie de regarder, n’est-ce pas ?