Ayant côtoyé la quasi totalité d’entre eux au fil des années, l’honneur et la dignité, pas plus que l’excellence, n’ont jamais fait partie de leurs qualités premières ... contrairement à de nombreux autres, la grande majorité de mon point de vue et si je m’appuie sur cette même expérience qui, j’en conviens, est forcément personnelle. Ces nombreux autres qui ne seront donc jamais sollicités pour proposer leurs analyses ! Ceci expliquant cela !

Pas d’accord,

La Seconde Guerre Mondiale est parfaitement éclairante sur la façon qu’ont les Russes de faire la guerre d’une manière générale.

Ensuite parce que la 2nde GM est une guerre au 4/5 à l’Est avec un apport maritime de l’Ouest non négligeable.

La guerre en Ukraine reprend les mêmes matériels modernisés auxquels il faut bien sûr rajouter les drones. Mais par exemple, l’artillerie est toujours la reine des batailles côté russe.

Je dirai même que la guerre en Ukraine marque le retour de la guerre de la quantité sur la qualité. Un retour vers le futur en quelque sorte !

@#3494023Le 15 février à 08:54 par Kal
"La Seconde Guerre Mondiale est parfaitement éclairante sur la façon qu’ont les Russes de faire la guerre d’une manière générale."
Rien à voir ! Durant la 2nde GM la Russie était alliée aux USA et bénéficiait de son aide massive (plan Roosevelt).

Anonyme : ce n’est pas identique sur le plan politique, mais c’est éclairant sur certains points.

Les lieux sont exactement les mêmes, donc à part les drones qui sont nouveaux on retrouve des similitudes de stratégie, tactique, armement, matériel, etc. Les batailles ont lieu aux mêmes endroits en raison de la topographie.

Côté mentalité on retrouve un complexe de supériorité occidental et une propension à mépriser de dénigrer la Russie, ce qui amène des erreurs similaires. Coté russe on retrouve un même manque de préparation, un certain bordélisme, puis une capacité d’adaptation, un sens du courage et du collectif qui les amène à retourner les situations.

C’est sûr que l’Ukraine bandériste n’est pas l’Allemagne hitlérienne. Mais au final l’Ukraine ne compte pas, c’est toutes deux une guerre de l’occident contre la Russie, on le voit maintenant que les USA retirent leurs billes, ce sont les Européens sont les plus hystériques contre la paix.

Donc une guerre différente avec beaucoup de similarités.

nenni... en conservant un semblant de pouvoir français, Hitler faisait au contraire une très bonne affaire... l’armée nazie aurait facilement pu envahir toute la métropole... mais alors l’empire aurait pu continuer la guerre, avec la flotte. C’eut été une victoire à la Pyrrhus. Il était bien plus habile de la part d’Hitler de signer une paix avec "le vainqueur de Verdun" afin de neutraliser toutes les élites françaises et surtout tout l’empire. Et cela avec un minimum de soldats. Et Pétain s’est prêté à ce jeu en parfaite connaissance de cause.

Quant aux Américains, ils ont voulu suivre exactement la même logique que les Allemands... A savoir "neutraliser" la France. C’est pour cela qu’ils se sont opposés à De Gaulle et qu’ils ont traité en permanence avec Pétain. Ils ont exigé par exemple que Saint-Pierre-et-Miquelon soit neutralisée ; ce que De Gaulle a refusé. C’eut été en effet acter le fait que la France n’était plus en guerre mais une sorte d’acteur neutre et passif, attendant de passer du maître allemand à l’hégémon américain.

D’ailleurs, les Américains voulaient rétablir Pétain, Laval et Herriot à la Libération... ce qui refroidira l’enthousiasme de certains pétainistes. La fille de Laval était mariée au neveu de Roosevelt (l’internationale socialiste). Pétain était un athée républicain.

C’est la popularité de De Gaulle aussi bien en France qu’auprès du petit peuple Américain, ainsi évidement que sa stratégie de "la France combattante" qui a forcé les Américains en novembre 1944 a finir par le reconnaître.

De Gaulle a approuvé l’attaque terroriste de Churchill à mers el kebir où 1500 marins français ont été brûlés vifs et notre flotte anéantie ! Notre " pearl Harbor", totalement escamoté et oublié !

@ Anonyme
Pour comprendre le drame de Mers El Kébir, il faut Impérativement se mettre dans la tête des dirigeants britanniques de l’époque... pour qui notre flotte représentait une menace trop importante si elle tombait dans les mains de l’Axe !

L’amiral Gensoul était sans doute bon marin, mais piètre patriote... l’honneur commandait de poursuivre la lutte auprès de seuls qui combattaient encore les nazis (et les fascistes) en juillet 1940

C’est déjà le cas depuis. Pas longtemps après son arrivée zelensky a vendu 30% des terres agricoles aux géants de l’agro-business.

@Elias
Je vais aller plus loin dans l’analyse...
Dans le personnel politique, médiatique, militaire : où sont les Dupont(d), Durand... serait-ce la promotion post-dreyfusarde ?
Pour être autorisé à avoir un avis sur la France, il faut soit être juif soit, à minima, ne pas être français de souche (c’est à peine réducteur) !
C’est peut-être pas là où vous vouliez aller mais un constat est un constat !

Les médias sont en grande partie détenus par l’industrie de l’armement. Goya est ĺà pour vende des armes...

@Jean : Et soudain, tout devient tellement plus clair !

Bien évidemment, ces différents Gamelin ne sont pas juste des imbéciles ! Pour des raisons qui, parfois NOUS dépassent, ces spécialistes militaires font semblant de croire à des scenarii complètement invraisemblables, qui, tous, pointent dans une direction : il ne faut surtout pas arrêter cette guerre !!!

Il s’agit exactement du même schéma que celui des "pontes" de la santé, abonnés aux mêmes plateaux télé à l’époque, pour promouvoir infatigablement 1) les "vaccins" qui ne stoppaient en rien la "pandémie", et 2) l’interdiction de médicaments comme l’Ivermectine et d’autres, qui avaient prouvé (en Inde notamment) leur efficacité pour neutraliser le virus...

Dans les deux cas, cela s’appelle des conflits d’intérêt. Très graves dans un cas comme dans l’autre, mais que voulez-vous, il faut bien vivre !