« Quelle malédiction a frappé l’Occident pour qu’au terme de son essor il ne produise que ces hommes d’affaires, ces épiciers, ces combinards aux regards nuls et aux sourires atrophiés, que l’on rencontre partout, en Italie comme en France, en Angleterre de même qu’en Allemagne ? Est-ce à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate, aussi complexe ? Peut-être fallait-il en passer par là, par l’abjection, pour pouvoir imaginer un autre genre d’hommes. »
La vulgarité évolue avec les époques. La démocratie étant par définition une vulgarisation de la monarchie, les préceptes mercantiles sont portés au pinacle par une bourgeoisie triomphante, du coup on nage dans un océan de vulgarité. Pourtant, même dans un tel environnement de rabaissement moral, on trouve des choses écœurantes. C’est le prix de notre liberté, qui est effectivement champ des possibles : l’homme peut monter très haut, mais aussi descendre très bas.
Nicki Minaj, reine de la souillure
- Composée majoritairement de plastique,
Nicki craint la chaleur
Même la dernière des putes de Barbès accro à NRJ12 n’oserait pas s’habiller comme ça. Sanglée dans une tenue cuir à faire vomir le marquis de Sade, ce trumeau qui n’assume pas sa peau tente tristement de devenir blonde nazie. Le problème de la chirurgie, même massive, c’est qu’elle ne peut rien contre l’arriération mentale, dont on peut lire quelques stigmates sur le visage de la chanteuse. Quelle détresse ! On comprend mieux quand on découvre qu’elle est « influencée par Madonna », la sorcière du showbiz. Qu’elle ait gagné 100 millions de dollars avec ses chansons qui sont autant d’appels au viol prouve que le système encourage les jeunes à se débarrasser de leur pudeur pour 30 deniers.
Charlotte Gainsbourg traumatise ses enfants
- Le viol est un droit. DAV, droit au viol !
Sosie d’Iggy Pop dans Nymphomaniac, la dernière provo antibourgeoise de Lars von Tripette, Charlotte, traumatisée par un père qui l’a forcée à tourner très jeune dans des rôles douteux pour des réalisateurs pervers, traumatise à son tour ses enfants avec un porno psychanalytique. Pour Lars, il fallait bien rembourser la socioculture en conformisme sexuel depuis sa sortie glandilleuse sur Hitler. La pauvre Charlotte, elle, continue à payer de sa personne sa participation au programme de déstructuration de la morale publique, récompensé en prestige par la même socioculture. D’autres, comme la dynastie des proxos Dorcel, font ça de loin, sans se salir, mais tout près de la caisse enregistreuse. Des alchimistes qui savent changer l’intimité en argent. Or, l’intimité, c’est de l’or !
Bon courage aux futurs enfants d’Inna & Caro
- Nous avons préféré vous montrer ça.
Effet Kiss Cool de la politique antifamiliale socialiste ? Les Françaises commencent à faire moins d’enfants. Heureusement, nos 7 000 nouveaux couples homosexuels, sur des centaines de milliers illégitimes – ce sont leurs associations qui le disent – vont faire un paquet d’enfants. Enfin, acheter. On compte donc entre autres sur Shevchenko et Fourest pour repeupler la France à coups de GPA, car sinon faut faire le truc dégoûtant avec un salopard d’hétéro. Adopter c’est bien, mais c’est risqué : et si elles adoptent une fille qui devient une Nabilla hétéro ? Imaginez… Les deux mamans militantes obligées de recevoir un jeune musulman fan de foot à la maison qui vient chercher sa meuf pour aller à un concert de Booba ! Autant dire un genre d’échec, ou un échec de genre.
Catherine Millet exhibe son enfance
- Malgré le poids des ans,
Catherine est restée très désirable
Un chef d’œuvre. C’est ainsi que commence dans Le Monde des livres (auquel elle collabore) la « critique » du dernier livre de la scandaleuse Millet, l’ectoplasme qui racontait ses scènes de sexe collectif en regardant le plafond. Un machin écrit avec les pieds, ceux d’une gourgandine de la gauche culturelle partouzarde soixante-huitarde (ouh l’enfilade de pléonasmes), et qui faisait bailler dès la troisième page.
Mais laissons la place aux professionnels de la lèche corporate :
« À partir d’une expérience singulière, corps familier (les yeux du père, les seins de la mère) ou objet vécu (une chaussette sur un pied blessé), l’auteure fait rayonner une lumière qui éclaire l’existence de tous et de chacun. »
Cet assemblage de mots sans queue ni tête est signé Jean Birnbaum, le sergent chef du Monde des livres, sorte de Dustan sans le souffre, ou de BHL sans la guerre. Une chaussette sur un pied blessé… Ça sent la Littérature grandiose, le style considérable. Céline et Rimbaud, ces deux clodos, peuvent aller se rhabiller. On croyait s’être débarrassés définitivement de la terrifiante Savigneau, et voilà qu’elle revient dans le corps de Birnbaum. Au fait, chapeau, on n’a pas prononcé une fois l’expression interdite « lobby juif ». Ah merde ! À la dernière minute, comme le but de Demba Ba à Chelsea !
Brigitte Lahaie, sexploiteuse
- Je peux regarder ?
Plus inutile que la énième resucée du Gendarme de Saint-Tropez, tu meurs dans le slip kangourou XXL du président de la république. C’est pourtant l’exploit réalisé par la dame pipi de RMC (Regarde Mon Cul). Son expertise unique permet aux losers du sexe de découvrir le territoire inexploré du continent oublié des positions amoureuses. Les handicapés du désir pourront relancer leur mariage pour 10 jours au moins. On aurait préféré le livre des « 100 recettes à poil » de Gigitte, où tous les plats classiques sont réalisés à poil. Au lieu de ça, un ouvrage de première année de kiné avec un humour digne des cartes postales coquines des années 50. Vous avez envie de rire méchant ? Rendez-vous sur le site de Brigitte, avec les icônes des « nouveaux membres » sur la colonne de droite. Un concentré de mendicité sexuelle qui ne demande qu’à être exploitée. Ah, la phrase du jour sur l’horoscope sexuel : « Grâce à ses prévisions, vous serez mieux préparer pour vivre vos amours ou vos désamours… » Brigitte, au conseil amoureux ce que Maïté est au fitness.
L’encule en bateau
Leonid Kameneff, ou les illusions criminelles de la bourgeoisie soixante-huitarde. Des dizaines d’enfants de gauchistes sont partis durant des décennies (de 1969 à 1992) à bord de « l’école en bateau » de Kameneff et ses subsides, certains pendant des années. Au programme : nudité, caresses et viols. Les enfants étaient sélectionnés sur leur beauté et leur soumission, avant le départ. Aujourd’hui, le pédophile végète en taule, où il doit vivre le karma de ses petites victimes... Cette ordure sortira dans 12 ans. Un braqueur pro prend entre 10 et 15 ans pour une attaque à main armée (17 pour le récidiviste Lalouel), sans blesser personne, à part l’employé de banque qui chie dans son froc. Personnellement, dans l’échelle des vices, contrairement à la justice, on préfère le braqueur au violeur d’enfants. Le pédophile des mers a eu de la chance : les enfants qui n’ont pas parlé pendant 20 ans ont permis à d’autres de tomber dans son piège. C’est pour ça qu’il faut toujours dire la vérité sur les pourritures, quoi qu’il en coûte : car il y en a qui continuent à se faire baiser. C’est pareil en politique. Le pire, c’est que tout était écrit, noir sur blanc, dans Écoliers sans tablier, publié en 1979 (disponible sur Amazon), qui fait l’apologie de la « sodomisation » « acceptée par ce garçon ». Conclusion : lisez les livres !
Nabilla revient
- Nabilla se promène avec sa réserve d’organes
La fêlée réalité revient avec un projet de film réalisé par Liza Azuelos (la fille de Marie Laforêt qui a fait jouer la Julie du président dans un clip anticatholique sur les mariages forcés), et une ligne de vêtements. Sales ? Nabilla, récemment larguée par un prince au QI de singe, est en train de nous refaire le chemin de Loana, bonne cliente télé devenue bonne cliente des HP. Ce qui n’est pas si éloigné : la télé est la première (in)activité des pensionnaires de nos asiles. Vision soudaine de Loana, changée par la fée Déglingos en dugong à médocs, devant le poste, au milieu des schizophrènes lourds, qui regardent dans le vide… Une Loana en train de regarder Nabilla à la télé, qui va bientôt la rejoindre. Choc mental entre celle qui ne sait plus et celle qui ne sait pas encore… qu’elle ne saura plus. Les mass media produisent de l’ignorance, et détruisent le peu de connaissance que les moins cultivés peuvent avoir. Celui qui a aura, et celui qui n’a pas, même ce qu’il a lui sera enlevé !
Agression d’une femme par toute une rame
- Où sont les hommes,
avec leurs gestes pleins de charme ?
Après avoir viré les milices anti-racailles du métro de Lille, qui venaient fliquer un peu le truc, voilà qu’une femme se fait agresser pendant 20 minutes, comme le titre du journal, sans que personne n’intervienne (on espère que c’est pas un coup de pub des Identitaires, hein). Société du spectacle ! Plus sérieusement, quand on a retiré aux mâles leur fierté, qu’on les a infantilisés, féminisés, quand on a traité leur colère par les voies médicamenteuses, juridiques ou policières, qu’on les a culpabilisés, qu’on a brouillé leur lucidité, coupé leurs antennes, après on doit s’étonner qu’ils ne soient pas capables d’intervenir comme des hommes ? Seuls les individus lucides, au fait de la violence sociale, entretenus physiquement, sont encore capables d’intervenir. Mais eux, on les traite en général de « fascistes ». Il faut passer outre, et défendre la veuve, l’orphelin, et tout le reste du corps social… à son corps défendant ! Sociale ingratitude…
Viols en série dans le showbiz
Filles manipulées, forcées dans les chiottes, droguées au GHB, puis balancées comme des merdes. Ça va sortir, c’est très chaud, surtout pour ces personnalités du showbiz qui ont l’habitude de confondre les femmes avec des préservatifs jetables. Le must de la perversité : participer à la campagne pour la défense des femmes (« Mettez du rouge »), ET participer à des viols collectifs. L’amour ET la guerre. Chez un chanteur célèbre, et ses amis « comiques », toujours fourrés ensemble dans les soirées hot, ça sent le roussi. Ça sent même la brutale fin de carrière. Leurs rabatteurs, eux, sont déjà sous le coup d’accusations graves et étayées de viols avec violences. Les bénéficiaires de ces rabattages sont hélas plus malins, plus prudents, plus lâches : ils héritent d’un gibier déjà brisé, moralement et physiquement, et n’ont qu’à se servir. Malgré leurs défenseurs et dénégations, leur image positive bidon, construite sur le mensonge et la propagande, va s’effondrer comme mur à Berlin. Et même si rien ne passe, si les médias officiels bloquent la vérité, la rumeur persistante les rongera comme un acide.
Le Net, parfois, ça sert à accélérer un peu la justice, qui prend son temps. Celui des victimes.