Kadyrov, avec le président philippin Duterte, c’est la bête noire des progressistes. Les hurlements de ces derniers à chaque sortie de l’homme fort de Tchétchénie sont des perles de bonheur. Nous ne défendons pas Kadyrov, nous nous moquons des donneurs de leçons démocratiques, qui ne valent pas mieux, tant ils sont rongés d’hypocrisies.
Tchétchénie : un Etat dans l’Etat. Poutine a placé Ramzan Kadyrov à la tête de la région en 2007. Il est devenu son soldat à raison d'un soutien d'un milliard d’euros par an en moyenne. Avec l'islam comme instrument politique de contrôle de la société.https://t.co/6QGjyoo2nn pic.twitter.com/Qy0qzBjm3U
— Rédac France Culture (@FC_actu) June 20, 2020
Le président Kadyrov défend les actes « corrects » des Tchétchènes à #Dijon .
Décidément en 2020, la réalité dépasse la friction ...https://t.co/WO9IsvoWNs— Mace-Scaron Joseph (@MaceScaron) June 20, 2020
Après les différentes réactions provoquées par le déchaînement de violences survenues à Dijon, la semaine dernière, il en est une que l’on attendait pas forcément, celle du dirigeant de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov. Ce vendredi 19 juin, il a défendu les actes des membres de la communauté tchétchène en France en les qualifiant de « corrects », sur son compte Telegram, la messagerie cryptée.
« C’est mon opinion personnelle : je pense que les actes des Tchétchènes ont été corrects ! », a écrit Ramzan Kadyrov sur son compte. Il a argué que les membres de la communauté tchétchène avaient agi de cette manière puisque « les autorités locales n’ont pas pu mettre de l’ordre » elles-mêmes.
La semaine dernière, des membres de la communauté tchétchène avaient lancé des représailles pour se venger de l’agression d’un jeune par, selon eux, des habitants du quartier sensible des Grésilles.
[...]
De nombreux renforts de police avaient été dépêchés à Dijon et une enquête a été ouverte par le Parquet. Ce jeudi 18 juin, six Tchétchènes ont été interpellés dans le cadre de celle-ci. Ramzan Kadyrov, ancien séparatiste devenu fidèle du Kremlin, dirige d’une main de fer la Tchétchénie, région du Caucase russe en majorité peuplée de musulmans, depuis 2007. Il est notamment accusé par des ONG de réprimer impitoyablement ses détracteurs.
Lire l’article entier sur lci.fr
Le portrait de Ramzan en 2012 par France 2 :
La dénonciation en 2018 d’un leader homophobe :