On a été chercher une bouteille de champagne chez Lidl, dont le flacon a reçu une excellente note (14,5) pour un prix accessible aux pauvres, 17 euros. Un nez fin et gourmand, des arômes de cake au citron ont séduit le jury dans une dégustation à l’aveugle (évidemment). Et pourquoi la Rédaction aurait-elle droit à une roteuse ?
Parce que le narratif antivax, qui nous doit beaucoup (et aussi à FranceSoir) a superbement contré le narratif officiel provax, car dominer n’est pas gagner, on l’a vu avec la chute de l’Espagne devant le Maroc, une Espagne qui pensait jouer à la barcelonaise selon le concept phare de Johan Cruyff : quand tu tiens le ballon, tu ne risques rien.
Dans ce match historique, la stratégie des Marocains a été efficace : attendre les Espagnols dans leur camp, très bas, les laisser faire leurs 1000 passes de handball par match, des passes généralement latérales (en attendant la faille qui s’ouvre dans un intervalle), et fermer toutes les issues dans les 30 derniers mètres.
À l’arrivée, ce sont les contres marocains qui ont été les plus générateurs d’occasions. Il est vrai qu’à la dernière seconde, la reprise de volée d’un Espagnol se cogne un poteau, mais que voulez-vous, c’est le destin. Autrement dit, c’était écrit, Dieu était avec les Marocains.
Faudrait pas non plus que les camarades d’Hakimi laissent Dieu jouer tout seul le quart de finale qui se profile, il faudra qu’ils s’aident pour que le Ciel les aide. Et les équipes qui restent en lice sont de très gros clients.
Hakimi superstar
Eh bien nous sommes les « Marocains » du match entre les puissances du mal – le gouvernement, les médias mainstream, le Big Pharma et son injection dangereuse – et celles du bien qui associent les sites de résistance et les relais du monde médical qui ont conservé toute leur tête, toute leur honnêteté, tout leur talent et toute leur foi. Sur le papier, nous ne pouvions que perdre, mais notre stratégie de défense active a porté ses fruits : seuls 10 % des plus de 60 ans ont accepté de retourner, la mort dans l’âme, se faire injecter un produit dont personne ne connaît les effets à long terme. Grâce à tout le travail d’explication, de vérification et de diffusion de données objectives qui vont dans le sens de l’intérêt des gens, pas des multinationales de Bancel ou Bourla.
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
La presse, nous disions, peu avant Noël, fait le forcing pour envoyer les Français à l’abattoir ARN messager. Ce qui veut dire, objectivement, que cette presse, de manière suicidaire, n’est plus crédible pour 90 % des Français. Autant dire qu’en poussant les Français à l’injection, la presse s’injecte sa propre dose de rivotril.
L’argument du Parisien, c’est allez vous faire vacciner pour sauver Noël. Ce n’est même plus un argument scientifique parce que sur ce terrain, le narratif officiel n’a plus d’arguments.
Du côté du JDD, on incrimine le manque de communication du gouvernement, le manque de marketing, le manque de volonté, jusqu’au Président qui n’a pas fait de sortie en ce sens, comme il l’a fait à l’approche de Noël 2021. Dans ce journal à 100 % sur la ligne oligarchique, on n’ose même pas évoquer le travail de fond des forces antivax, qui ont lutté pied à pied, en infériorité numérique, avec un arbitre corrompu, contre un adversaire multimilliardaire qui avait acheté tout le monde, public compris. C’est l’histoire du Petit Poucet qui abat un ogre en Coupe de France. Car évoquer ce travail, ce serait reconnaître une défaite à la fois du gouvernement et de sa presse subventionnée qui ne vend plus rien. Quand on lie un journal à une injection, et que les gens refusent cette injection, alors le journal est lui aussi rejeté.
Du côté du Monde, on cherche les raisons non pas d’un échec, mais de cette « démotivation ». Naturellement, il n’est jamais question des mensonges du couple gouvernement-médias, et encore moins des multinationales qui ont menti sur l’effet nul de leurs pseudo-vaccins sur la transmission. On en reste toujours à la faute des gens, à leur bêtise foncière et à leur culpabilisation. Que voulez-vous, le peuple se relâche, madame...
Mais la faible couverture vaccinale en rappel ne peut s’expliquer par la seule démotivation. « On a simplement très peu expliqué à la population la distinction entre protection contre les formes graves et protection contre l’infection, et peu ont compris qu’au bout de quelques mois ils sont moins protégés et protègent moins leurs proches, estime, de son côté, Mélanie Heard, responsable du pôle santé du centre de réflexion Terra Nova. Comment leur faire porter, ensuite, la responsabilité de ce choix complexe ? » D’après la vingtaine d’études menées sur la baisse de l’efficacité des vaccins, on passe environ de 85 % à 65 % d’efficacité contre les formes graves au bout de six mois, après avoir reçu trois doses.
Il reste une dernière chance pour l’oligarchie et son narratif, pourtant troué de toutes parts : mobiliser les pharmaciens pour entuber les naïfs. Une solution prônée par une prof d’infectiologie à l’hôtal Saint-Louis (Paris Xe) :
Anne-Claude Crémieux propose un message simple : « Les pharmaciens devraient proposer la vaccination contre le Covid-19 systématiquement aux personnes demandant le vaccin contre la grippe. » Les deux vaccins concernent la même population. Plus de 330 000 personnes ont déjà procédé à cette double injection, une dans chaque bras.
Comme le loup se déguise en mouton dans la fable, il faut habiller le covid en grippe pour shooter les gens dans le dos. C’est ce que dénonçait justement le Pr Perronne.
Les labos développent un vax grippe+covid, soit le mélange de 2 produits à l'efficacité jamais démontrée mais pire, ils veulent ajouter leur vax ARN aux vaccins obligatoires des enfants !
C'est stupéfiant que personne n'arrête ces expériences illégales qui violent la Constitution pic.twitter.com/L7l2tRP4vX— patricia chaibriant (@PChaibriant) November 23, 2022
Plus on s’enfonce dans le mensonge, plus il devient difficile de s’en sortir. Le mensonge, c’est comme les sables mouvants. Pour nous, il faudra tenir sous les coups jusqu’aux penaltys. Mais on pourra dire qu’on a sauvé des gens.