De partout bruissent – sur ordre, car l’unanimité des médias mainstream démontre sans ambiguïté l’existence d’ordres supérieurs et d’un Ordre supérieur – des rumeurs sur la pénurie alimentaire qui vient. Déjà, l’année dernière, avec un vice consommé, au cours du 2e confinement, Le Monde avait sorti un article sur cette possibilité qui fait trembler les Français : au pays de la bonne bouffe, de la gastronomie, de la suffisance alimentaire, du goût, des 2000 hypermarchés et des 10 000 supermarchés, sans oublier les 10 000 marchés tout simples qui regorgent de produits frais, donc dans ce pays de cocagne, ce paradis terrestre, on risquerait de manquer à manger, d’avoir faim, à cause du covid ?
Chacun sait désormais que le nom covid recouvre l’agression mondialiste contre les pays non alignés sur cette idéologie néolibérale mortifère. Et on souligne mortifère car s’il s’agit de lancer des conflits entre pays (le choc migratoire contre les pays jugés encore trop nationalistes), des maladies non soignées, c’est-à-dire une guerre bactériologique (tout a été fait pour qu’un nombre surnuméraire de Terriens décède de la grippe wuhanaise que les médecins avaient interdiction de soigner normalement), les mondialistes incarnés par l’axe Gates-Soros-Macron-Attali-Trudeau ne reculent devant rien. Et s’il faut sortir un virus un peu plus méchant que le Covid-19 des laboratoires, ils le feront. Mais comme l’opération covid a bien marché, pour l’instant, pas besoin : les bovins se sont précipités en masse dans les enclos prévus à leur effet.
Dans les enseignes de meubles ou de bricolage, le désordre de la reprise mondiale conjugué à la course aux conteneurs génère de plus en plus de ruptures de stocks. Les professionnels ne paniquent pas, mais ils estiment que le phénomène durera encore une année et qu’il tirera les prix à la hausse. (Les Échos)
Et que découvre-t-on, donc, un an après la menace du Monde, ce journal des Marchés et des Lobbies ? Qu’on se dirige peut-être vers une pénurie alimentaire, alors que la pénurie de matières premières est bien là, qui se répercute par exemple sur les prix des matériaux du bâtiment. Les biens de consommation deviennent plus chers, l’inflation est là (regardez le niveau historique des prix des carburants), qui va faire rentrer encore plus de taxes dans les États soi-disant généreux avec leurs concitoyens lors de l’année 2020. La France a lâché des centaines de milliards de fausse monnaie dans l’activité, ou plutôt dans le ralentissement de l’activité, il s’agit maintenant de se rembourser, comme le souligne Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, qui prête à hauteur de 20 % à l’État, ou qui compte pour 20 % dans la dette de l’État.
Remboursez !
Le moment est donc venu de rembourser l’opération covid en France, et comme de plus en plus de Français comprennent que le vaccin est inutile, ou en tout cas inefficace, en plus d’être dangereux, ils se demandent s’ils ne font pas l’objet d’une intoxication. Pour le coup non alimentaire, mais politico-médiatico-médicale. Et comme l’exemple mondialiste vient toujours de nos voisins anglo-saxons, c’est au Royaume-Uni que se lance l’opération covid-pénurie. Le quotidien Sud-Ouest titre :
Tout change, mais rien ne change : l’oligarchie gouverne toujours par la peur, elle change parfois de curseur, tout simplement. Elle dispose, pour terroriser « ses » habitants, du curseur terrorisme, du curseur chômage, du curseur guerre, du curseur pandémie, et du curseur pénurie, qui peut avoir des répercussions inattendues, un effet rétroactif assez violent (émeutes dites de la faim). Les ingénieurs sociaux et apprentis sorciers du mondialisme s’en donnent malgré tout à cœur joie, avec un public à la fois captif et totalement désorienté. C’est la fête chez Minc-Attali et consorts !
Derrière lui, sa petite échoppe aligne des rayons à moitié vide. « La semaine dernière je n’avais plus de Coca Cola. Je n’ai plus de grandes bouteilles d’Évian depuis trois semaines », énumère-t-il. « Sans marchandises, il n’y a pas de commerce. Avec des étagères vides comme celles-ci, personne ne va venir dans le magasin. » (Sud-Ouest)
C’est le moment qu’ont choisi les grandes enseignes (de supers et d’hypers) pour lancer leur abonnement.
Comme dévoilé lundi 6 septembre par le spécialiste de la grande distribution Olivier Dauvers dans un tweet, c’est enfin au tour du distributeur Carrefour de proposer en test à certains de ses clients la possibilité de bénéficier de réductions sur leurs courses en échange d’un abonnement. Contre 5,99 euros par mois, ils pourront ainsi profiter de remises de 15 % sur 7 000 produits vendus sous marque de distributeur par Carrefour. (businessinsider.fr )
Monoprix va encore plus loin, avec un abonnement mensuel (dégressif, ouf) à presque 10 euros ! Mais que de réductions, d’avantages, de bénéfices pour le client ! Il s’agit de fidéliser ceux qui ne le sont pas, et qui désertent de plus en plus les grandes enseignes, alors que la France est le pays historique des hypers, qui ont symbolisé la fringale de consommation des années 60-70. Un demi-siècle plus tard, les mêmes hypers ferment les uns après les autres. Et le confinement (24 % de baisse de CA pour ces géants) a accéléré une tendance : les Français boudent les grandes surfaces pour trouver leurs produits à côté de chez eux.
Nous ne nous inquiétons pas pour ces géants de la distribution et des faux bas prix, plutôt pour les Français qui ne comprennent globalement toujours pas à quelle sauce ils sont en train d’être mangés par l’ogre mondialiste.
France 24, en bonne fille de cette idéologie macabre, en mai 2020, évoque déjà la pénurie alimentaire :
On aura bien compris que le covid n’est pas une crise sanitaire tombée du ciel, mais bien une crise économique provoquée, une guerre mondiale contre les lois du travail (uberisation forcenée), contre la démocratie (lois d’exception provisoires qui durent), contre les libertés (pass, surveillance), contre le vivre-ensemble (distanciation), contre les services publics (école et hôpital déstructurés), et in fine contre les gens (mortalité provoquée), le tout au profit des nouvelles entités politico-économiques que sont le Big Pharma, le Big Tech et la sempiternelle haute Banque qui profite du chaos et de l’endettement.
Moralité : il faudra au Français dit moyen plus de lucidité, donc plus de conscience politique, pour sortir par le haut de ce piège diabolique. Et nous, on est là pour ça, dans la mesure de nos moyens. Car il n’est pas d’action efficace sans connaissance, sinon cela donne les Gilets jaunes récupérés par le gauchisme, Mai 68 qui finit en pornographie d’État, ou le syndicalisme qui finit par trahir les travailleurs. Les pièges à cons sont partout, la politique est un slalom.
Ironie : la très néolibérale Union européenne, qui produit du chômage massif au profit des multinationales et qui importe de la misère massive avec l’immigration, alerte sur la pauvreté et la faim qui augmentent en Europe...