Et surtout ce que les Merdias oublient de signaler, son troisième nom : Radonski ( Tiens, tiens, je me demande dans quels pays on trouve des noms qui finissent par I ou Ski ???... )

Bien sur, ce cher Capriles Radonski est bien entendu soutenu par les Etats-Unies !

Bref, comme le dirait Dieudonné : " C’est Signe ! "

" La Vérité est la Première Victime de la Guerre. " R.Kipling
" Seuls les Morts ont Vu la Fin de la Guerre. " Platon
" Je ne suis qu’un Humble Ouvrier, un Humble Serviteur de l’Inde et de l’Humanité. " M.K Gandhi
Tenno Heika Banzai !
La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons !
Hugo Rafael Chávez Frias ( 1954 - 2013 )

Henrique Capriles Radonski est l’homme des américains qui a pour mission de "déchaveziser" le Vénézuela et de le remettre dans l’axe Washington-Tel-Aviv. Un type aux origines juives (Wikipédia anglais) et à l’orientation sodomite qui voue une haine religieuse à l’endroit du Commandante. Il fait partie de la grande bourgeoisie apatride qui l’a mandaté pour vendre le pays à l’Oncle Sam(uel). En somme, c’est un type qui se lève tous les matins pour un Etat pas très catholique.

Quand tu dis que les pires salopards viendront de l’intérieur, j’espère que tu fais référence à Henrique Capriles Radonski, l’élu de l’étranger et non à Nicolas Maduro, l’homme que Hugo Chavez a choisi pour lui succéder, n’est-ce pas ? Sache que notre regretté Hugo décrit Nico comme : " un révolutionnaire à part entière. Avec sa main ferme, avec sa vision, avec son cœur d’homme du peuple, avec son talent avec les gens, avec la reconnaissance internationale qu’il s’est acquise, c’est l’un des jeunes dirigeants ayant les meilleures capacités". Un mot sur Nicolas Maduro, l’ami du Commandante, qui en dit long sur le personnage. Lors de la tentative de coup d’Etat orchestré par l’élite mondialiste (l’homme d’affaires Pedro Carmona succédera brièvement à Chavez qui reprendra le pouvoir quelques jours plus tard) le 12 avril 2002, Nicolas Maduro, l’ancien chauffeur de bus, l’homme du peuple est resté fidèle au Commandante. S’il avait voulu le trahir, il l’aurait trahi à ce moment propice. Par conséquent, un peu d’optimisme l’ami quant à la continuité du processus révolutionnaire initié par Chavez.

Quand de Gaulle est mort il n’était plus président depuis plus d’un an.
Pompidou n’a jamais été président par intérim.

En revanche, Alain Poher, en tant que président du Sénat, a assuré la fonction de président de la République par intérim à deux reprises (cf. Wikipedia) :
 du 28 avril au 20 juin 1969, entre la démission de de Gaulle et l’élection de Pompidou
 du 2 avril au 27 mai 1974, entre la mort de Pompidou et l’élection de Giscard d’Estaing

Mais dans la tête de Radonski et de sa mafia, il y a de toute évidence le bon intérim et le mauvais intérim... c’est un peu comme les jihadistes ou les vrai-faux "rebelles" (artistes, politiques, etc.), tout dépend du sponsor en coulisses et de ses projets !

Alain Poher a assuré la présidence par intérim quand Pompidou est mort, plutôt.

Malheureusement c’est inévitable.

Les médias se sont empressés de faire le parallèle avec le jour de la mort de Staline. Mais ce qui aurait été plus pertinent aurait été de faire le parallèle avec la mort de Nasser. Le chef égyptien est lui aussi mort à la cinquantaine. Son socialisme arabe était similaire au bolivarisme.

Si on regarde ce qui s’est passé après la mort de Nasser, et ayant en compte le manque de charisme de Nicolas, on peut facilement imaginer que le Venezuela au mains des atlanto-sioniste (en effet capriles est d’origine juive et soutenu par wall street) et il nous reste plus qu’à prier pour que le peuple Vénézuelien réaffirme son attachement à l’indépendence et la souveraineté du pays.