Les vertus incroyables de l’inconfort
L’hiver approche, l’oligarchie nous a préparé une nouvelle répression, ce coup-ci énergétique. On a connu la répression terroriste, la répression policière, la répression sanitaire, voici venu le temps du froid et de la faim. Oh, pas comme en URSS dans les années 30 (attention, bientôt il faudra spécifier années 30 du XXe siècle, ou alors années 1930), mais suffisamment pour mettre à mal notre confort de vie, le french ouais of life. Avec l’inflation qui vient, la baisse du chauffage et la hausse du coût de l’énergie (carburant, électricité), ceux qui étaient déjà ras-la-touffe vont finir à poil. Il y a une bonne tranche de Français en mini-jupe sociale (10 millions de pauvres), et ceux qui sont en jupe vont passer en mini. C’est l’immeuble français qui s’enfonce doucement en terre, étage par étage.
Comme les trois petits cochons, chez E&R, et chez vous lecteurs, on ne se paye pas de mots, on ne croit pas aux balivernes gouvernementales ou oligarchiques (l’oligarchie est au-dessus du gouv, qui lui obéit, les ministres sont les larbins du pouvoir profond), du coup on a construit notre maison en briques. La plupart des Français ont une maison de paille, mentalement, elle sera vite soufflée par le grand méchant loup, qui ne vient pas du Froid, de Moscou, mais bien de l’Élysée, de ses dépendances et de sa maison-mère, que nous ne citerons pas, par respect pour la Banque.
Gaël Giraud, économiste, spécialiste en économie mathématique, directeur de recherche au CNRS :
"Macron est sous la coupe de David de Rothschild, il est son porte-flingue et exécute un programme dicté qui est la privatisation du monde et la destruction de l'état social " pic.twitter.com/1yAVCOIwNg— A__SAMEDI (@_samedi_) October 29, 2022
C’est pas qu’on est plus intelligents que les autres, mais on est moins crédules : sur les « vaccins », sur le masque, sur l’Union européenne, faut pas nous la faire à l’envers.
Nous plaignons donc ceux, et les plus pauvres d’entre eux, qui ont cru au narratif officiel, largement déployé dans les médias carpettes. Pour eux, la chute sera très dure.
Gallia delenda est
La chute ? Moins d’argent, moins d’activité, moins de bouffe, moins de chaleur. L’oligarchie, le cul bien au chaud quoiqu’il arrive, s’attaque à notre confort, c’est-à-dire à ce que les Français ont bâti en 1000 ans pour faire de la France un des pays, sinon le pays le plus agréable à vivre au monde. Ce modèle est en passe d’être détruit, à une vitesse supersonique, par Macron et ses donneurs d’ordres. Il s’agit d’imposer le modèle anglo-saxon, fait d’injustice sociale et de domination économique sans partage.
Le capitalisme économique n’est pas mauvais en soi, il tire un pays de la misère à vitesse grand V, mais il ne doit pas être utilisé au-delà, car ensuite, si on lui laisse la bride, il détruit tout pour se sauvegarder, il sacrifie tout au dieu Profit. Or, la France, cette fille aînée de l’Église, ne vit pas que pour le profit. C’est pourquoi Gallia delenda est.
La masse de Français consciente de cette destruction annoncée (en plus !), et en cours, n’est pas encore critique : les Français doivent encore souffrir pour admettre la réalité de ce programme dérangeant. Justement, la souffrance arrive, par le froid et par la faim, et des fois on se demande si nos SDF ne sont pas plus armés pour la survie que bien de nos concitoyens crédules, intoxiqués, systémisés.
La classe dite inférieure – oh, ce langage sociologique – va morfler, la classe moyenne va voir décrocher sa partie inférieure (28 % des Français appartiennent aux catégories dites modestes), il va falloir redécouvrir les vertus du froid et de la faim. Or, c’est justement là où on voulait en arriver : le froid et la faim sont nos amis. On s’explique.
Depuis longtemps, les lecteurs d’E&R ont compris les vertus de la diète. On ne reviendra pas sur tout ce qu’elle apporte, physiquement, métaboliquement et spirituellement. Disons que grâce à elle, on mange moins, moins souvent et moins régulièrement. Et on remarque qu’on retrouve une sacrée vitalité selon la loi rappelée par Béa Bach : vitalité = énergie – obstructions. Ce qui permet à des gens, même pauvres, de continuer à bien s’alimenter, en pleine dystopie, avec de maigres revenus. Mais pour ça faut savoir faire à manger, acheter des produits sains au marché, limiter la viande, trouver des sources de protéines végétales, se mettre aux fruits frais et secs, sans oublier les compléments alimentaires, sels minéraux et compagnie. Vous connaissez la musique.
Donc, la faim, pas un problème. Et le froid ? Pareil. On peut s’habituer très facilement au froid, vivre à 17 degrés chez soi, même 19 c’est trop : vous voyez, on a des standards plus bas que les injonctions gouvernementales. Oui mais tu fais quoi s’il fait 3 degrés dehors et 16 chez toi, et que tu cailles ? Le matin, tu prends deux poids de 1, 2 ou 3 kilos, et tu fais 20, 30, 50, 100 levées. En trois minutes, tu auras chaud, on te le promet. Tu recommences, plusieurs fois par jour, et chaque jour.
Au bout du compte, en sortant dehors, le différentiel de température sera limité au maximum et tu ne subiras pas de choc thermique, comme ceux qui se chauffent à 24 degrés et qui sortent à zéro degré emmitouflés comme pour le Nanga Parbat.
Et ceux qui ont des bébés, et les vieux qui grelottent ? À toute règle il y a des exceptions.
L’adage paysan dit qu’il faut toujours se coucher en ayant un peu faim et se réveiller en étant un peu fatigué. Traduction : manger peu le soir et ne pas dormir trop. On rajoutera : en ayant un peu froid. Le froid s’apprivoise, et les Occidentaux sont devenus trop douillets. Cela ne veut pas dire qu’on doit tous devenir des Spartiates, mais que chacun peut faire un effort, pas pour l’oligarchie, mais pour sa propre immunité. Car le froid et la faim sont deux excellents remonteurs d’immunité.
Message aux Spartiates (les autres peuvent lâcher la lecture)
Si vous avez du mal avec le remonteur d’immunité qu’est le sel de nigari (chlorure de magnésium) de Béa, vous pouvez goûter aux joies de l’eau froide. Là, deux solutions : soit vous avez un plan d’eau près de chez vous, soit vous prenez une douche froide. Vous n’êtes pas obligés de commencer à 6 degrés, mais vous pouvez apprivoiser cet élément, graduellement.
Les piscines ont une eau comprise entre 28 et 24 degrés, ce qui est trop. On dirait de la soupe de nouilles tiède. La bonne température de nage oscille entre 18 et 20. Donc exit la pistoche. Poutine se plonge dans l’eau froide chaque épiphanie (début janvier), c’est un bon exemple pour les Occidentaux.
Pas la peine d’être riche ou de se défoncer à la coke : le froid, que ce soit par l’air ou par l’eau, donne un mental d’acier trempé.