Nicolas Dupont-Aignan est l’invité de la matinale de France Inter le 17 décembre 2020. Il est question de vaccin. Le président de Debout la France est pour le moins sceptique sur la solution vaccinale avancée par Jean Castex. Il n’est pas contre le vaccin, il est pour la prudence quand on parle de vacciner des millions, voire des dizaines de millions de Français avec un produit pas vraiment au point...
« On ne sait pas si ce vaccin va empêcher d’être porteur, on ne sait pas si ce vaccin empêche de transmettre, et on ne connaît pas les effets secondaires au point d’ailleurs qu’hier le Premier ministre a annoncé qu’il y aurait un suivi renforcé des personnes qui se font vacciner. Et je me dis avec bon sens, surtout pour le vaccin ARN et adénovirus, l’autre qui d’ailleurs n’est pas prêt, le vaccin traditionnel, je dis, moi, j’estime que le principe de précaution, de bon sens, veut qu’on ait un peu plus de recul, qu’on a été trop vite, et en tout cas à titre personnel et en tant que responsable politique, moi je ne lancerais pas la vaccination de 14 millions de personnes avant l’été, sans avoir plus de recul. »
La réplique de l’agent oligarchique placé sur cette case stratégique du service public audiovisuel (la matinale radio) est foudroyante, on dirait que Léa va gifler son invité :
« Pas avant l’été alors que pardon, les États-unis ont commencé la vaccination, le Royaume-Uni aussi, même le très trumpiste vice-président américain Mike Pence va se faire vacciner tout à l’heure en public pour dire “on n’a que le vaccin pour lutter contre cette maladie” ! »
Le rôle du journaliste en interview, nous a-t-il semblé, est de poser des questions si possible sensées pour extraire de l’information de son invité. Là, madame Glucksmann est en train de défendre le parti du Président, qui est aligné sur le Parti mondialiste, qui n’existe pas sous cette forme mais qui fonctionne comme un parti avec une force de persuasion extrêmement puissante. Il s’appuie pour cela sur la Banque, les multinationales de la communication et les médias qui leur sont absolument soumis.
Malheureusement, le Parti mondialiste a un défaut dans la cuirasse : il impose un mensonge, son mensonge, le mensonge. C’est pourquoi la moindre résistance à ses décisions ou propositions est ressentie comme une agression, une insolence, une déviance, et on sait à quel point la vérité peut être destructrice pour les constructions et artifices oligarchiques.
La vérité peut être blessante, Léa en est la preuve organique avec son système nerveux qui dysfonctionne en cas de contrariété par rapport au programme vaccinal massif et à la dictature du camp du Bien. Le vaccin est devenu le pivot de la lutte entre les peuples et les élites mondialistes, là où toutes les forces contraires se rencontrent.
NDA, qui passe outre la violence de son interlocutrice, propose – l’inconscient ! – de « soigner les gens, notamment à l’hydroxychloroquine, au lieu de lutter contre elle ». Il n’en fallait pas plus pour faire sortir Salamé-Glucksmann de ses gonds et les yeux de sa tête. Comme défense, elle cite le plus grand prof de philo de terminale de tous les temps (sur LCI et CNews) :
« Ah bon, vous continuez de penser qu’il faut utiliser l’hydroxychloroquine, même Michel Onfray ne l’a pas pris hein ! »
Citer le phraseur Onfray, qui dit n’importe quoi du moment qu’on l’écoute, qui divague de plus en plus en direct, rendu ivre par sa soudaine hypermédiatisation au bénéfice des nationaux-sionistes (il en représente l’aile « gauche »)... C’est vraiment du grand journulisme !