Les juifs américains ou français – les deux gros bataillons de la diaspora – qui ont voulu il y a trois ans faire leur aliyah pour découvrir le plus beau pays du monde, ce paradis sur Terre avec coulées de miel et fleuves de lait, en sont pour leurs frais : cette entité née par la force et la ruse en 1948, qui était déjà une dictature militaire tournée contre les Arabes de l’extérieur et les Palestiniens de l’intérieur, est devenue en deux ans à peine une dictature pour ses propres citoyens, malgré les lois racistes et raciales qui avantagent les juifs sur les Arabes. Là-bas, c’est Vichy tous les jours, avec la piqûre éternelle en plus. Et là-bas comme chez nous, la dictature avance en parallèle du progressisme, c’est-à-dire des injonctions calculées de la tribu mondialiste. Et on ne parle même pas du terrorisme préventif, de la corruption endémique au sommet de l’État, des viols successifs du droit international... Finalement, la GPA colle bien dans ce tableau désastreux.
Alors que le sionisme était il y a un siècle de gauche, et de gauche pure, après transformation par le talmudisme, il est aujourd’hui une dictature militaire couplée à un progressisme qui fait croire aux minorités à l’égalité, et à la majorité à la démocratie. Les avancées micro-communautaires ne sont en fait que les petits espaces de « liberté » accordés par la dictature à ses soutiens idéologiques. Car on peut tout à fait accepter la persécution des Palestiniens et profiter de la GPA, quand on est un couple homosexuel, mieux – ou pire –, quand on est un homme seul.
On ne vous fait pas le schéma à risque : un pédophile pourra tranquillement acheter un enfant, oh, pas en Israël, mais dans les pays nécessiteux, crise mondialiste oblige, par exemple la Grèce, où des étudiantes louent leur ventre pour 30 000 euros, trois fois moins qu’aux États-Unis. En 2014 déjà, la Grèce comptait 60 cliniques de fertilité. Rappel : en 2014, selon Le Figaro :
Une donneuse d’ovocytes peut recevoir jusqu’à 1 000 euros, et une mère porteuse, 10 000 euros. Dans un pays qui compte plus de 27 % de chômeurs et où le salaire moyen est de 817 euros par mois. (…)
En sélectionnant la donneuse, la « fée » considérera ses principaux phénotypes : « cheveux, yeux, taille, poids, on essaie de se rapprocher au maximum de la mère d’intention, indique-t-elle. On tiendra compte également de l’un des deux groupes sanguins, car beaucoup de couples ne voudront pas révéler à leur enfant le secret de sa naissance ». Piercings sur le nez et ongles rose fluo, Hélène, 26 ans, est secrétaire à mi-temps dans une école. Elle a déjà donné deux fois, et est prête à le faire encore, jusqu’à atteindre les « neuf couples maximum ». « Ce n’est pas tabou, explique cette jeune divorcée mère d’un enfant. Je n’ai rien ressenti et je ne veux pas savoir si mon don a débouché sur une grossesse. Je suis simplement heureuse de pouvoir soutenir ainsi mes amies infertiles. »
La générosité humaine, y a que ça de vrai.
Organes, bébés : on comprend pourquoi l’Ukraine intéresse Israël !
Désormais, la destination à la mode pour le tourisme de la location de ventre est l’Ukraine. Théoriquement, la « médecine reproductive y est autorisée depuis 2002 pour les hétéros mariés ayant fait la preuve de leur infertilité », écrit Le Figaro. Pour 50 000 dollars, on « fait » un gosse. On apprécie l’élément de langage du « père » :
Autre avantage non négligeable, son coût, beaucoup moins onéreux qu’en Amérique. Le couple franco-australien a déboursé au total 50 000 euros en Ukraine contre 100 000 à 150 000 dollars aux USA. Émil, le père d’Arsène, déplore les raccourcis des détracteurs sur ce montant colossal. « On n’achète pas un enfant », insiste-t-il. Ce dernier préfère parler d’un « contre-don essentiel face à la gratitude de notre gestatrice »
On a vu la même chose, avec d’autres donneurs d’autres pays, pour le trafic d’organes, pardon, pour le don d’organes aux hôpitaux israéliens. Normalement, une société avancée ne devrait pas prendre le risque de laisser un bébé dans les bras d’un pédophile, et devrait surveiller l’évolution psychologique d’un bébé dans une famille homosexuelle, ou d’un transgenre.
Car oui, les transgenres, depuis le 11 janvier 2022, ont droit à la GPA en Israël. Les Palestiniens n’ont quasiment aucun droit, les Arabes israéliens en ont peu, mais les transgenres ont le droit d’acheter un enfant. Et grandir dans le foyer d’un transgenre, même si le trans en question est un bon parent, cela peut déglinguer l’œdipe... Fortes perturbations à prévoir vers l’adolescence.
« En tant que ministre gay – bien conscient de l’exclusion humiliante à notre égard au fil des ans – la lutte pour l’égalité est ma vision du monde politique, c’est ma lutte personnelle, c’est ce qui m’a guidé toute ma vie. »
Mais pour le ministre israélien de la Santé, en charge notamment des confinements et reconfinements, Nitzan Horowitz, qui balaye les problèmes de l’enfant (bien oublié, dans cette histoire) d’un revers de manche, il s’agit d’une avancée de l’égalité.
« C’est un jour historique pour la lutte LGBT en Israël, la longue lutte pour l’égalité, un jour historique pour la société israélienne dans son ensemble – mettant fin à des années d’injustice et de discrimination. » (i24news)
On a cru une seconde qu’il incluait les Palestiniens dans sa lutte pour l’égalité. Ouf ! C’est donc une excellente nouvelle pour les pédophiles israéliens, dommage qu’Epstein nous ait quittés, cela lui aurait rendu le sourire, ainsi qu’à sa veuve.