On voit à quel point la pandémie mondialiste du Covid-19 a permis au pouvoir médical, fortement remis en question par l’automédication et la nouvelle alimentation (la contre-alimentation), de se remettre en selle.
Ici, un médecin suisse menace tout simplement le grand sportif serbe, qu’il considère au demeurant comme un mal-pensant, ce qui signe un jugement politique et non scientifique, de le rayer des cadres des grands tournois s’il refuse le futur vaccin de Bill Gates, puisque c’est l’objectif du milliardaire et de ses sponsors.
Sans parler du respect de la liberté individuelle et de la liberté d’expression de chacun. Ce que ce médecin n’a pas encore compris, parce qu’il se croit toujours dans le monde d’hier, c’est qu’un nombre grandissant de citoyens a déjà remis en cause le système politique, le système médiatique et le système médical, qui ont fait beaucoup de mal aux peuples. Remis en cause, pour ne pas dire mis à bas...
Les représentants de ce Système global vont avoir un déconfinement et un réveil douloureux.
Le sujet est délicat. Novak Djokovic, le No 1 mondial, a cru bon de se projeter, faisant publiquement état, sur Facebook notamment, de ses positions possiblement antivaccin. Dans un sens large, comme dans celui, particulier, où un vaccin contre le coronavirus, qui aurait vu le jour, serait une condition pour voyager et participer aux tournois de tennis. « Moi, personnellement, je ne suis pas pour les vaccins. Je n’aimerais pas que quelqu’un m’oblige à me faire vacciner pour voyager », à lancé le Serbe en début de semaine. Liberté individuelle contre responsabilité collective ?
Le docteur Boris Gojanovic, médecin du sport à l’Hôpital de La Tour, membre de la Société Suisse de Médecine du Sport, a réagi aussitôt aux propos du tennisman. Dans un tweet qui laisse clairement comprendre combien cette prise de position du joueur le heurte. Nous l’avons contacté.
Novak Djokovic comes out as anti-vaxxer and 'opposes' coronavirus vaccination.
Things are gonna get ugly.... https://t.co/ObSexrUYwU— @DrSportSante) April 20, 2020
« C’est problématique, explique-t-il. Novak Djokovic a une audience considérable et ses opinions sur la question de la vaccination sont pour le moins controversées. Il tient des propos dangereux et aurait mieux fait de se taire. Il peut potentiellement induire des comportements. Je crois qu’il devrait faire preuve de retenue, parce que ce qu’il dit peut avoir une incidence sur la santé publique. Et c’est donc dur à accepter. J’espère que le public, au sens large, va se rendre compte de l’aspect inadéquat de ce genre de propos, de leur caractère absurde en pleine pandémie, alors qu’un vaccin contre le Covid-19 n’existe d’ailleurs même pas. »
Induire des comportements. Une autre manière de souligner que les déclarations de Djokovic influencent potentiellement beaucoup de personnes. Le Serbe est très suivi sur les réseaux sociaux : 8,7 millions de followers sur Twitter, 7,7 millions sur Facebook, 7,1 millions sur Instagram.
[...]
Dans l’absolu, si un vaccin était trouvé et que pour contenir l’épidémie il devenait obligatoire pour ceux qui voyagent ou pour participer à un tournoi de tennis, que faudrait-il faire si Novak Djokovic refusait de se faire vacciner ? L’interdire de compétition ?
« Absolument, tranche Boris Gojanovic. On ne peut pas l’obliger à se faire vacciner, il faut le respecter. Mais si cela devient une condition sanitaire pour que la pandémie soit éradiquée et qu’il s’y oppose, alors sa participation aux tournois devrait être reconsidérée. »
Lire l’article entier sur tdg.ch