« Un homme de 19 ans a été tué samedi après-midi 31 août au cours d’une agression au couteau à Villeurbanne dans le Rhône. Huit autres personnes ont été blessées, dont au moins trois se trouveraient en urgence absolue, et cinq moins gravement blessées. Vingt personnes en état de choc ont également été prises en charge par les pompiers. Un suspect a été arrêté. » (Le Figaro)
Loup solitaire ? Gibier de psychiatrie ? Individu rendu fou par la guerre dans son pays ? Pour l’instant, les autorités écartent la piste terroriste. Mais cela ne change rien pour les victimes et leurs familles.
« “Il y avait un monsieur à l’arrêt du 57 (un bus, NDLR) et qui s’est mis à mettre des coups de couteau dans tous les sens”, a témoigné auprès de l’AFP une jeune fille au débardeur taché de sang. “Il a réussi à toucher, à ouvrir le ventre d’une personne. Il a mis un coup de couteau dans la tête à un mec, il a ouvert l’oreille à une dame sur l’arrêt du bus”, a-t-elle rapporté des sanglots dans la voix. »
Témoignage important qui nous plonge dans la réalité et l'atrocité effroyable du massacre de #Villeurbanne !
"Il a réussi à ouvrir le ventre d'une personne, Il a ouvert l'oreille à une dame, et la dame était en train de crever sur l'arrêt de bus..."
Il y'a eu 2 assaillants ! pic.twitter.com/k4eEqMbzef
— En Cause (@EnCausee) August 31, 2019
Ce genre d’événement, heureusement très rare, ravive le débat sur l’immigration incontrôlée, ou au contraire très contrôlée dans le sens de l’ouverture. Les partisans de la fermeture des frontières y trouveront un argument de poids, d’autres n’y verront qu’une malheureuse coïncidence. Effectivement, quelle différence entre être tué par un Français ou un Afghan ?
L'attaque de #Villeurbanne clôture un été durant lequel se sont multipliés en Europe meurtres, viols et agressions impliquant des migrants.
La rentrée est chargée, mais Macron ne pourra pas éviter la question de l'ensauvagement, et sa cause majeure : la submersion migratoire.
— Jordan Bardella (@J_Bardella) August 31, 2019
Ce n'est pas ni le RAID ni la police française qui ont neutralisé le déséquilibré afghan de #Villeurbanne mais des Français immigrés maghrébins de culture musulmane.
C'est très important de le garder à l'esprit dans l'analyse.
— Olivier Rimmel (@OlivierRimmel) August 31, 2019
#Lyon : vidéo de l’interpellation du suspect par des passants (devant l’ascenseur) #Villeurbanne pic.twitter.com/GQRAtEQHha
— Damien Rieu (@DamienRieu) August 31, 2019
Dans cette affaire dramatique, ce sont les passants « qui ont pris leurs responsabilités », comme le souligne le maire (PS) de Villeurbanne. Ils sont intervenus et ont neutralisé le meurtrier. C’est la petite goutte d’espoir dans ce fait divers qui est pour le coup la conséquence du terrorisme migratoire. Le terrorisme migratoire est l’agression calculée d’un pays et de sa culture par un flot d’étrangers poussés par les forces mondialistes.
L’ex-ministre de l’Intérieur va-t-il accuser indirectement Castaner comme il l’a fait pour l’attentat manqué de Lyon en juin dernier ? La pression de la droite nationale monte, mais ne menace pas l’équilibre des forces politiques à Lyon.
De nationalité afghane, l'un des suspects de l'attaque au couteau de #Villeurbanne est par ailleurs selon @BFMTV un... demandeur d'asile.
La naïveté et le laxisme de notre politique migratoire menacent gravement la sécurité des Français ! MLP
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) August 31, 2019
J'apprends que l'auteur de l'attaque au couteau à Villeurbanne est un demandeur d'asile afghan.
Combien de temps les Francais devront-ils encore supporter le laxisme migratoire du Gouvernement ? https://t.co/atjwdkozCL
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) August 31, 2019
Valeurs actuelles confirme la nationalité de l’agresseur présumé, qui s’appelle Sultan Marmed Niazi et « tiendrait devant les enquêteurs des propos confus ».
On le voit, dans une France chauffée à blanc par les problèmes sociaux et une immigration volontairement incontrôlée par les autorités politiques, le moindre drame peut mettre le feu aux esprits. Les mêmes propos et les mêmes réactions émanent des deux camps, qui semblent irréconciliables, les immigrationnistes et les anti-immigrationnistes. C’est bien une troisième voie qui peut réconcilier les Français, celle qui consiste à couper le robinet à clandestins, migrants ou demandeurs d’asile et à assimiler ceux qui peuvent l’être à l’intérieur de nos frontières.
Un gros boulot d’éducation véritablement nationale à venir, mais sans l’angélisme pervers du gauchisme...