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À revoir :
la bande-annonce de Confession d’un dragueur, le film d’Alain Soral
ERFM | Mars 2020 |14 | SociétéSociologie |
La Libre Antenne est une émission d’ERFM désormais animée par Alex et Béa. Elle donne la parole aux militants, adhérents et sympathisants d’Égalité & Réconciliation. Pour ce quinzième numéro consacré à la drague, Alex recevait Fred, Quentin-Marie et Jean. 00’40 : Présentations 04’34 : La première fois 05’53 : Les techniques 09’48 : Les profils 11’22 : Les lieux 15’46 : Les « faibles » 20’10 : (...)
RDP | Mars 2019 |16 | Société |
Un sujet d’Antenne 2 du 8 décembre 1976. À revoir : Alain Soral présente son film Confession d’un dragueur
#NIPNIC | Mai 2016 | Alain Soral |53 | Sociologie |
#NIPNIC revient avec une émission estivale idéale pour les célibataires ! La drague est-elle un art ? Est-elle différente de la séduction ? Quels sont les codes français dans cet exercice social ? L’amour a-t-il sa place dans cette quête sexuelle ? Alain Soral, auteur du seul livre sociologique sur le sujet, paru en 1995, répond à nos questions. Réagissez sur Twitter avec le hashtag #NipNic ! (...)
RDP | Juin 2017 | Alain Soral |32 | SociétéSociologie |
Retour en 1996 dans les rues de Paris pour un petit exposé sur la drague avec Alain Soral.
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Leo je l’ai connu personnellement. Il mise trop sur la psychologie. Je lui ai dit que ça ne sert à rien car la seule chose qui intéresse les filles occidentales c’est le statut social, au point de negliger la virilité. Suffit de voir les couples en soirées/dans la rue. Suite à ça il m’a répondu "non tu as un raisonnement trop soralien".
Apparemment il a enfin compris. D’ailleurs dans une de ses vidéos il dit " je ne fait pas de la drague" donc voilà. C’est plus un genre de coaching en développement personnel dont sa clientèle se situe entre 18 et 25 ans donc des enfants. Et malheureusement quand il "drague" il n’a pas un charme de fou mais il est rattrapé par son physique.
De toute évidence, la vrai drague comme celle de Soral, c’est une question d’état d’esprit. Pour draguer en masse comme lui, il faut avoir obligatoirement des pathologies à savoir le manque de mère, le père naze, la violence sociale et la pratique. Et surtout, le vice
" la seule chose qui intéresse les filles occidentales, c’est le statut social", pour avoir voyagé un peu partout dans le monde, Maghreb, Afrique subsaharienne, Amerique du Sud et Asie, je peux dire que le statut social comme vous dites, n’intéresse pas que la femme occidentale, et c’est même le contraire, et c’est un peu compréhensible, le statut social est d’autant plus important si la femme ne travaille pas et si le mariage est organisé ! La femme occidentale, dite " libérée " se moque beaucoup plus du statut social du dragueur, d’ailleurs le mot dragueur et drague à mon avis datent d’une époque qui, malheureusement ou heureusement selon l’opinion est révolue !
@Athena
Vous mélangez un peu tout car une personne socialement + élevé que la fille n’a pas besoin de draguer. A la limite il lui suffit d’avoir un minimum de courage et la fille se charge du reste. Donc la notion de drague n’existe pas pour lui.
La drague concerne surtout des mecs qui ont un niveau social extrêmement bas voire inexistant. D’où la condition ultra nécessaire de subir le rejet social pour pratiquer la vraie drague de rue. Il faut avoir une certaine haine car la drague de rue est très violente psychologiquement. La succession de rejets peut t’anéantir donc une personne doté d’un niveau social relativement normal ne fera pas long feu dans la rue.
@Machiste : +1.
je l’ai souvent dis, ce type a un physique très avantageux et ses interactions sont très "low energy", il ne fait que badiner de façon normal.. les nanas restent scotchés parce qu’il a un visage beau et captivant. ravi pour lui, sauf que ce n’est pas transposable. les mecs pensent qu’en faisant pareil ils arriveront aux mêmes résultats, ce qui est une aberration et génère beaucoup de malentendu.
le problème du mec qui attire naturellement les femmes est son incapacité à transmettre, il vaut mieux s’adresser à un mec moche qui a réussit.. dans ce cas précis, je peux vous garantir qu’il ne fait de la rue, il va miser plus sur des stratégies de status social et jouer à l’Iceberg Slim des clubs (en saluant tout le monde, étant bien entouré, connaissant le barman, ayant un carré VIP..etc). là les femmes seront intriguées et potentiellement intéressées.. mais ca demande un travail énorme sur plusieurs années pour arriver à se transformer en une personne extravertie (souvent au prix de certains substances..).. et bien sur, personne ne dit ca aux mecs qui se lancent la-dedans.
>> citer * <<
j’ai 32 ans et je me suis beaucoup faite aborder plus jeune, et je considérais la plupart des hommes comme des mecs étranges. Un type séduisant n’a pas besoin d’aller arpenter Paris + aborder une multitude de femmes pour attirer et créer des liens. Rien de pire pour une femme que de se sentir « une parmi d’autre » et non l’unique (même si on sait toutes qu’il y a toujours beaucoup mieux que nous, on a toujours l’espoir d’être la plus belle aux yeux de l’homme). Et sans parler de statut social ou de critères matériels rassurants (j’ai épousé un charmeur viril mais aux origines sociales bien différentes des miennes, sans maison / compte en banque blindé ni carrière prometteuse).
faites vous des amis et rencontrez les amis de vos amis, rendez service dans votre quartier et dans votre église, et fréquentez des lieux qui vous ressemblent. Ainsi vous serez touchés / vous toucherez des cœurs qui vous ressemblent. Mais tout dépend ce que vous cherchez :-) je reconnais malgré tout que c’est la plupart du temps très agréable qu’un homme nous porte de l’intérêt (encore plus s’il ressemble Alain Soral !)
Simple, clair et net, merci à vous. Je vous rejoins sur le fait que les hommes qui en arrivent à aborder des inconnues dans la rue doivent sérieusement avoir quelques problèmes psychologiques ou être d’une confiance/naïveté excessive. D’ailleurs, pourquoi en arriver à sacraliser les femmes et le sexe de cette manière ? C’est quelque chose que j’ai beaucoup de mal à comprendre. Au pire, si ça démange trop au niveau de l’appareil génital, les péripatéticiennes sont là pour ça.
@Hams : Soral l’a fait de façon systématique et industrielle.. il n’avait pas de problème psychologique et n’était ni timide ni nolife (il avait une vie à Paris, des copains..).
ca dépend de la sensibilité de chacun, certains peuvent s’émouvoir à la vue d’une certaine carnation, d’un déhanché, d’un type de coiffure, de jambes.. on ne peut pas dire que les Françaises soient les plus moches. alors ils y vont, tout en sachant que ca ne marchera pas dans 99% des cas. juste pour se débarrasser du fameux "si seulement j’avais..".
d’autres sont moins sensibles, plus pragmatiques et stratèges, ils misent sur des stratégies sociales et de status. notamment la majorité des femmes : elles ne veulent pas se faire aborder parce que, comme vous le soulignez, elles ont comprit que l’homme de la rue n’a pas trop les moyens d’organiser une soirée dans un appart centré avec une terrasse et 50 personnes.. en quelques sortes, elles veulent se faire aborder par des hommes qui n’ont aucun besoin d’aborder (toujours cette contradiction dans le cerveau féminin).
mais bon, la "bonne nouvelle" c’est que les hommes aussi ont en marre, ils comprennent que la Française c’est devenue un sport extreme et désertent massivement le game (le nombre impressionnant des sites de coachings qui ont fermés ces dernières années est édifiant..).. ils tracent leurs route armés eux aussi d’un casque, d’un livre et ne regardent plus les nanas. chacun dans son monde.. ils essaye de trouver leurs moitiés dans un autre pays (Amérique Latine, Europe de l’Est..etc).
@lecteur soralien
cher monsieur, je ne saisis pas si vous vous appuyez sur mes propos ou sur ceux d’Hams lorsque vous dites que la majorité des femmes ne veulent pas se faire aborder parce qu’elles ont compris qu’un homme de la rue n’a pas les moyens etc...
S’il s’agissait des miens, je crois ne pas m’être faite comprendre : je disais que cela ne m’inspirais aucune confiance. Je trouvais cela plaisant et amusant mais cela introduisait d’emblée des doutes quant au sérieux du type. S’il m’aborde il en aborde d’autres, un peu comme sortir avec un homme marié (sans parler de l’atrocité morale, et l’immense blessure faite au couple en participant à l’adultère) : s’il est capable de tromper sa femme, il sera capable de me tromper. Dans mon cas qui me semble être la majorité (contrairement à ce que vous semblez avoir expérimenté ou observé ?) une jeune femme plutôt correcte physiquement (qui plaît partout et tout type d’homme) a certes le choix, mais n’est pas du tout dirigée par des projets triviaux et d’ascension sociale. J’ai épousé un homme issu de la classe ouvrière et moi bourgeoisie / aristocratie, lui avec une grande intelligence + virilité + conversion tardive au catholiscisme qui lui a fait comprendre pas mal de choses notamment sur les femmes. J’étais sorti assez chastement (pas avant le mariage pour moi) avant avec beaucoup d’hommes aux profils tous tellement différents. Oiseaux de nuit et mauvais garçons, athées ou fervents catholiques, gendres idéaux, etc
Tout ce qui comptait pour moi c’était l’harmonie de la relation et pour les tous premiers contacts, on ne sait pas du tout d’où vient l’homme, ce qu’il possède (ou ses parents...) etc.
Les miens m’avaient pourtant à moitié renié donc je n’avais rien d’eux et devais travailler nuits et WE pendant mes études, ce qui aurait pu générer une inquiétude matérielle mais non ! Confiance en moi et surtout en Dieu qui m’a largement exaucée et s’est débrouillé pour me présenter l’homme de ma vie. Meilleur mari amant père et qui m’a fait connaître ER !
Je vous sens désabusé et j’ai peur qu’a vouloir trop conceptualiser l’homme/ la femme vous vous enfermiez dans ces concepts
Je ne sais pas ce que vous avez vécu mais ma vision globale est vraiment différente, réjouissez vous !
@Cligo : votre histoire présente sans doute une singularité, mais ca reste l’exception. l’objectif n’est pas d’avoir "raison" mais d’avoir une stratégie fiable et permet une compréhension efficace du monde (dont font partie les rapports hommes / femmes). Les dynamiques sociales obéissent à des règles précises, notamment l’attirance des femmes pour les hommes de status élevé ou doté d’un bon physique (taille + beau visage) .. et 98%m des cas ou l’homme échoue à séduire une femme rentrent dans l’une de ces deux cases : pas le bon physique ou pas le bon status. le reste c’est de l’eau tiède.
Si le mec est validé, la femme mettra en scène la partie "sensiblerie" avec une réecriture des évenements, elle se mettra à observer le gars avec plus d’attention et trouvera certaines choses charmantes.. pas de soucis à ce niveau là, nous faisons aussi la meme chose quand une femme nous plait.
il n’y rien de plus sérieux que le sexe et la reproduciton, malgré la frivolité d’apparence. c’est implaccable, ca va très vite et ca obéis à des lois précises. les comprendre est salutaire (surtout dans notre monde).
@lecteur soralien
@lecteur soralien
Merci pour votre réponse.
je comprends bien ce que vous dites. Mon histoire influence certainement beaucoup ma vision des choses, mais je trouve cela dangereux de trop rationaliser - justement - ces dynamiques homme/femme.
c’est comme trop tout « psychologiser », le mystère de la Création est plus grand que nous et il faut parfois se remettre (dans le sens de s’abandonner) à celui qui nous a créé sans trop forcer les choses. Cela se passe souvent beaucoup mieux. Et aborder des femmes dans la rue à la pelle, c’est forcer les choses. Quelques unes dans une vie, parce qu’elles dégagent je ne sais quoi, je veux bien mais en faire une activité quotidienne c’est vraiment bizarre selon moi
Bla, bla, bla... et bla, bla, bla : trouve-toi une journaliste, elle fait déjà des piges, pour pas grand chose. Ça y est, je suis coach...
Quand la belette - et plus encore celle contemporaine - à déjà un idéal pré-construit dans son esprit, tu peux jacter tant que tu veux - dans un laps de temps très court -, c’est frit. Seules les disponibles (ce qui ne signifie pas, libres), les endormies ou les curieuses frivoles se laissent désormais embarquer par le premier venu qui n’a rien à offrir d’autre que sa tchatche. Jusqu’où ? Là est la question.
La « Sociologie du dragueur » est intéressante pour l’étude qu’elle en fait.
Coach en séduction, c’est juste de la PNL pour les pauvres gus qui rament aux culs des belettes : comme un attrape-nigauds qu’il faille ou non payer, du reste, puisqu’il manque un « truc » de base à ses gars-là : soit-il psychologique ou mécanique, tel que de ne pas avoir la bonne rallonge pour le marteau-piqueur. Et, quel que soit le gonze de ce panel-là, même s’il l’acquiert avec force d’apprentissage, de courage et de langage, s’il n’est pas chargé de testostérone, les phéromones bombardant à tout-va à l’heure où la donzelle est réceptrice, l’ouvrier de chez Renault avec la tête de Sim, sans en avoir l’humour, la notoriété et le compte en banque, peut aller se rhabiller avec la veste qu’il va prendre et les costards que les Pierpoljack vont lui tailler.
Pour ce qui me concerne, j’ai un frangin et un pote qui présentent bien mieux que moi (sauf en costard), les yeux bleus en prime pour noyer les nénettes et qui ne s’en sortent pas du tout : on a beau leur expliquer avec les exemples tirés de l’expérience (filles ou garçons) ; rien. Des fois je me demande s’ils ne font pas un concours de râteaux puisqu’ils se connaissent. (Bien évidemment, pour ceux-là, les gonzesses - faciles - sont toutes des putes : car eux ne choisissent que les difficiles, nous l’aurons bien compris ; la femme de leur vie : ah, ah, ah !).
D’autres plus patibulaires, qui lèvent comme ce n’est pas permis, « ténébreux » prédateurs du consentement chez lesquels la bonne femme lit d’avance et dans le regard, ce qui va lui arriver quand elle va se retrouver la tête dans l’oreiller... Si tant est qu’il y ait un oreiller ! Piquant par effet de vases communiquant, celles des deux zouaves précités, donc et dans la culotte desquels on ne trouve pas de main d’aucune sœur, si ce n’est la leur.
C’est presque du gâchis tant il faut en virer, le temps manquant à « l’affaire ».
Du style, de l’humour, très bien écrit, et ce qui ne gâte rien, tellement vrai du début à la fin -THE top, quoi ! - et si vous êtes comme ça dans la vraie vie, elles doivent tomber comme des mouches, et là, je parle d’expérience... ;-)
Mais le top du Top se trouve dans cette phrase, que ces pauvres dragueurs aux innombrables râteaux devraient méditer afin de la connaître par cœur et de l’imprimer une bonne fois pour toutes : "Bien évidemment, pour ceux-là, les gonzesses - faciles - sont toutes des putes : car eux ne choisissent que les difficiles, nous l’aurons bien compris ; la femme de leur vie : ah, ah, ah !)."
Excellentissime, et ô combien pertinente !!
J’ai vraiment ri, pas si évident que ça par les temps qui courent - Système, retraites, 49-3, virus, Macron et Cie, impasse électorale... - MERCI, et BRAVISSIMO !!
@ FREDERIQUEFR,
J’aurais plutôt dit comme des « papillons », de sorte à ne pas se faire vaner autrement (concernant les mouches), mais plus encore parce que mon activité gravite autour de l’image (au féminin), qui s’occupe donc de lumière autour de laquelle virevoltent ces éphémères dans l’espoir de briller plus encore. En second rideau, vient l’exacerbation du dojo où frayent les mamans qui nous confient leurs bambins : là, je n’ai pas non plus besoin de faire un dessin. L’humour reste la cerise sur le gâteau lorsqu’il ne confine pas au cynisme ou à l’ironie qu’elles méritent souvent : et les voilà alors qui vous détestent au point de resserrer plus encore les liens.
C’est vous dire si l’on rigole des coaches...
Pour « la femme de leur vie », j’entendais la future (qu’ils ne choperont peut-être jamais) bien que cela vaille pour les deux sens de l’expression. Enfin, vous m’avez fait rire de mes propres âneries, c’est vous dire l’émulation.
je dois vous dire que pour moi cela ne s’est jamais passé comme pour vous, à par une fois où je me suis laissé aller à mes instincts et où je me suis ramassé une grosse tôle, c’est vieux, c’était à salbris, bidas, en 68.
cela dit j’ai perdu mon pucelage à 14ans avec Léone 26 ans à l’époque, une espagnole qui bossait de l’autre côté du tapis roulant sur la chaine d’empaquetage des yaourts bulgares chambourcy ...... grand souvenir !
_ l’usine était juste en face du ceg et nous attendait pour les vacances scolaires et plus pour les mauvais élèves.
à part ça, et pas comme alain soral and Co au "tableau de chasse" impressionnant", je n’ai fait que répondre qu’à quelques avances féminines et me félicite de ces instants magiques dans les bras l’un de l’autre.
Blablablablabla.
Heureusement que nos ancêtres n’ont pas attendu les cours de séduction pour s’encanailler, bientôt il faudra des cours pour se torcher et un permis pour respirer.
On peut cependant dormir tranquille il y aura toujours des mecs pour nous l’expliquer.
Ouf ! On est sauvé.
Perso ma femme je l’ai chopé à la boulangerie, fille d’entrepreneur et moi aussi. Nos sourrirs nous ont tout deux séduits et après quelques bonjour, vous allez bien, comme d’habitude, elle s’était accrochée à moi et moi itou.
Un jour je lui propose un café. On le bois, quelques jours après au lit, et ça fait bientôt 5 ans que ça dure.
Je veux en faire la mère de mes enfants, et j’ai jamais eu besoin de courir partout pour baiser, la baise étant à mon goût, parfaitement agréable dans bien des sens, mais source de ressentiment personnel quand c’était pas la bonne et qu’on le savait bien.
Après je l’avoue, je suis le premier à l’avoir fait jouir, j’avais beaucoup de chose à lui apprendre en général. Et j’ai aussi une présence assez forte.
Quand on est/devient un vrai bonhomme, on trouve une femme. Après c’est clair que les maso vont plutôt pleurer ou se morfondre. Les connards baiser pour tenter de moins souffrir. Les vrais hommes ne pas être trop pressés.
On peut rien faire face à la dure réalité, et l’inexorable loi naturelle.
5 ans ?
Vous êtes long pour boire un café... ;-)
Un coup à choper froid.
XD
On a même dû amener le lit au café, une tente et tout. Des fois on nous donne de l’argent ils croient qu’on est clodos mais on fait juste connaissance
@Sedetiam
Mais encore, les papillons ne tombent pas, ils volent, et se brûlent parfois les ailes à venir trop près de la lumière, pauvres papillons...
Quant à la séduction, c’est avant tout une questions de feeling - ce que ni appli ni coach ne remplaceront jamais - et donc d’antennes, dont il faut savoir se servir dans toute rencontre visant à séduire - ne jamais confondre séducteur et séduisant - même si parfois certains jeux/Je peuvent se révéler trompeurs in fine.
.
C’est aussi la part d’inconnu dans la rencontre qui en fait à la fois le charme et le risque - inhérent à toute relation humaine - que certains voudraient aujourd’hui ne plus affronter, d’où la mise en vente de ces nouvelles applis - cf : "Les applis de consentement sexuel" ?! - pathétiques/dérisoires/ insensées/intrusives/dangereuses lancées par des marchands avides, jusque dans ce domaine de l’intime - qui se doit de rester vertueux et sans le moindre risque, of course ! - où l’intuition, la part d’inconnu et le charme - avis aux dragueurs esseulés : il est bien plus important que la beauté ! - en viennent progressivement à être remplacés/dictés par des algorithmes.
Quelle tristesse, et quelle aberration mentale !
Mais le rire étant "le propre de l’Homme" - du moins, tant qu’il peut encore penser par lui-même plutôt que sous les diktats de la machine... - et dopant la production d’endorphines, je préfère nettement retourner à votre humour - votre histoire de mouches, si finement mais si pleinement allusive (LOL) - même si parfois incisif...
@ FREDERIQUEFR,
Pour les Applis et au gré de la modernité des matériel et des matériaux, rien ne vaut - pour la frivolité - de s’inscrire dans les pas de Milo Manara, renvoyant à l’œuf originel, fétichiste celui-là : je vous assure, (enfin l’on rassure tous les disciples des coaches et autres applis) que lorsque vous avez celle-ci installée et que votre rencontre - ovipare un instant - est la réceptrice des impulsion envoyées en tout lieu et quel que soit l’instant, alors les applis de consentement et tous les coaches de la planète deviennent obsolètes, car l’on n’est plus là à balbutier l’éternel et timide : « Vous habitez chez vos parents ? », mais plutôt à affirmer un certain : « Tu ne vas plus savoir où tu habites... »
Et là, le consentement est enregistré par Gogole en longitude, en latitude ; et même en altitude pour le coup...
Cependant, à faire l’œuf, il s’en trouve à vouloir s’installer, à l’issue : aussi prenons garde et rappelons l’essentiel à ces oisillons, afin qu’ils aient pleine conscience de leurs actes : « Lorsque l’on décide de mettre le doigt dedans (l’engrenage) il peut s’avérer que nous l’ayons nous-mêmes dans le pignon »(Ou le « p » succède à la voyelle initialement prévue). Les maris de Madame Michu, qui mettent les patins en rentrant - sobres -, ne le savent que trop.
Aussi, parfois, les non-chasseurs ou les mauvais chasseurs n’ont pas idée de la chance qu’ils ont. Plus loin, la question qui devrait être posée à toute entité du sexe opposé est celle-ci (au-delà de l’aspect social et professionnel pour ceux qui n’en maîtrisent pas les travers, par manque d’autonomie ou d’indépendance relative certes, mais qui devrait être élevée) : « Qu’est-ce que tu vas m’apporter de mieux que ma complète sérénité et ma totale liberté ? »
Même les plus capables, les plus intelligentes, les plus dociles, les plus avenantes et équilibrées bloquent sur cette question : les féministes les moins revêches un peu plus.
Alors les plus « difficiles » que nous avions évoquées précédemment...
@Sedetiam
De "Tu ne vas plus savoir où tu habites".
Si la subtilité des termes de ce texte doublée de l’indéniable sensualité d’un Manara ne peuvent effectivement que mener l’objet de la conquête à percevoir cette phrase prometteuse - sans même qu’elle soit prononcée... - tout en prenant subtilement conscience de "l’altitude enregistrée par Gogole" (LOL), je ne suis pas très sûre qu’un petit oisillon tout juste tombé du nid et s’essayant à la drague/ possession - même momentanée - dudit objet, soit à même de faire passer ce genre de message, qui ne peut être que le fait de l’expérience et/ou du vécu.
De "Qu’est-ce que tu vas m’apporter de mieux que ma complète sérénité et ma totale liberté ?"
Il me semble logique que les oiselles d’aujourd’hui - qui se veulent plutôt oiseaux de proie - à la recherche du Prince Charmant - quoi qu’elles en disent - lequel se doit d’être à la fois mâle protecteur et carpette devant se plier à toutes leurs exigences les plus absurdes et leurs injonctions les plus contradictoires, ne puissent pas répondre à ce genre de question, dont youporn, tinder et autres speed datings - les "toujours plus vite" de cette société de consommation à outrance - les éloignent irrémédiablement.
Pourtant, en se posant un instant, elles pourraient répondre par "Un subtil mais indéniable petit plus à ta complète sérénité et à ta totale liberté faisant écho aux miennes"...
Mais encore faudrait-il pour cela qu’elles cessent de chercher fébrilement et avidement le définitif programmé d’avance - l’injonction du "se caser" - chose bien difficile pour qui ne cultive que le nombre de ses likes, le "regardez-moi" photoshopé, et n’a que peu de vécu, quand elles ne font pas partie des harpies féministes, ce qui relève alors de la quadrature du cercle.
Les uns comme les autres ne sont donc pas sortis de l’auberge, d’autant moins que tout est fait pour les abrutir et les tirer vers le bas, pauvres gibiers totalement et irrémédiablement inconscients des buts mercantiles de ceux qui ne voient en eux - et plus que jamais - rien de plus que "du temps de cerveau disponible"...
Quant aux histoires de voyelles, et autres madame Michu, LOL, et quelle plume, toucher(é) le ciel !
Parlant de sérénité et de liberté, la plus grande problématique des rapports de filles à garçon tient, le plus souvent, en un point crucial : ce que le gars va exacerber l’essentiel de ses dons à l’heure de la rencontre, jusqu’à en rajouter parfois, ce que la fille va enregistrer - exprès - comme acquis éternel et servant de base (alors qu’elle sait que c’est un jeu de séduction), tandis que l’autre est dans l’excès d’une attitude qu’il ne peut tenir au quotidien. Plus loin, en l’observant attentivement et au gré des ses interactions avec le monde extérieur, la fille va imaginer (consciemment ou non) un film doté d’un scénario auquel elle va prêter un rôle à sa moitié nouvellement arrivée : film commun dont elle s’accapare le script à elle seule, cependant.
Le gus croyant que tout est justement arrivé, n’en croit pas ses yeux, fait revenir dans un temps très court son naturel au galop : l’on finit par ruer dans les brancards et quelques années plus tard on entend s’exprimer les voix féminines dans les chaumières : « Tu as changé ! »
Le gaillard pense alors que c’est parce qu’il a pris 5 centimètres de brioche tandis que la « réalité » nous apprend qu’il n’est jamais arrivé à la page 17 du scénario préalable, qu’il n’a jamais lu, tandis que la fille s’y trouve (le croit-elle) : c’est en cela qu’il aurait « changé ». Et comme par ailleurs il n’est plus dans la phase de rencontre où il a coutume de mettre tous ses talents en exergue, on retrouve le Ducon de base tout droit sorti de chez sa mère qui s’étonne : quel que soit le niveau social dont il dispose, du reste.
C’est ainsi que l’un et l’autre ne se retrouvent plus à la même page et ne peuvent d’ailleurs s’y retrouver, dans la mesure ou le « contrat » originel est pipé.
Et les ingénieurs de peu de génie de nous pondre des applications ?
La meilleure des femmes est, pour moi, plurielle : une pour sortir, une pour jacter, une pour se confier, une pour partir en vacances, la femme de ménage (rémunérée), etc. Sans parler de celles qui gravitent autour de l’objectif. Celle qui voudrait s’installer au sein de ce succédané de harem en mouvement, ne pourrait que souffrir et, in fine, me casser les pieds parce que son film ne se déroule pas comme elle le souhaite : d’autant que je suis fidèle à toutes.
Et l’on sait que, pour les filles, ne serait-ce que l’ex de celui qu’elle rencontre est une pute à tout jamais... L’on devrait d’ailleurs la refiler aux deux précédents zigomards, chasseurs de difficiles... ;-)