Le plus étonnant, mais qui n’étonnera plus personne dans cette France socialo-sioniste de plus en plus rance, c’est que les comptes véritablement haineux d’extrême gauche ne sont pas touchés par cette furia répressive. On peut lire partout et en permanence des menaces de morts et des insultes à l’encontre des représentants et des symboles de la droite nationale ou identitaire.
quelle bandes d'ordures ces islamo-gauchistes !! mon pauvre et bon Jésus piétiné et ma douce Marie....qqu'un peut essayer de trouver d'où vient cette photo et les noms de ces fumiers ?? j'aimerais m'occuper personnellement de cette pute immonde et celui du milieu !! merci d'avance !! pic.twitter.com/KK1ooEUiNW
— ViveLaFrance (@lafrancendeclin) 22 décembre 2017
Pendant que les comptes des patriotes sur Twitter ou sur Facebook sautent les uns après les autres pour cause de « haine », la « journaliste » d’i24news Noémie Halioua fait en toute impunité l’amalgame entre la fête des chrétiens et la colique :
Joyeuse gastro à tous !
— Noémie Halioua (@NaomiHalll) 24 décembre 2017
Que fait la DILCRAH ?
Il est vrai que l’exemple vient d’en haut avec les socialistes qui ont été au pouvoir pendant cinq ans et la gauche libérale-libertaire qui a repris le flambeau, en renouvelant crédits et confiance à l’organe de répression juridique et médiatique qu’on appelle pudiquement la DILCRAH. À la vérité, un organisme soviétique de censure et de délation, qui ferme les yeux sur les exactions de la gauche culturelle aux commandes, et pour cause.
"Je suis toujours surpris par le #débat sur le ton. Chacun a ses mots ! Moi je suis engagé et rendre gorge ce n'est pas étrangler quelqu'un, c'est lui faire recracher ses mots. Je le redirai" @manuelvalls pic.twitter.com/sneZbXwyBm
— 24h Pujadas (@24hPujadas) 24 décembre 2017
Le seul avantage dans cette parenthèse antiraciste et antifasciste de pacotille, c’est qu’elle va faire croître le sentiment national qui va bénéficier d’un effet martyr turbo. Ceux qui doutaient encore que la France et les Français étaient under attack en seront pour leur naïveté, et pour leurs frais, puisque la confiscation de la pensée va de pair avec la confiscation de l’argent. Les Français ont moins le droit de dire et moins le droit de posséder. Nous voici dépossédés sur deux niveaux, le symbolique et le concret.
Quant à la gauche, qui pense avoir gagné le débat d’idées en l’interdisant, elle creuse sa tombe définitivement, puisque les vrais Français ne lui pardonneront jamais cette forfaiture. Depuis que ce rebut du socialisme a accepté de trahir le monde du travail, elle sert d’outil de domination qui ne dit pas son nom à une oligarchie qui ne dit pas son nom.
Curieusement, après l’élimination de l’opposition nationale, que ce soit par le système électoral ou par la voie judiciaire, et maintenant par la censure des réseaux sociaux, il ne reste en face du macronisme triomphant que l’extrême gauche de théâtre, soit une opposition aussi bruyante qu’inoffensive.
On peut dire qu’avec l’élection truquée de Macron, l’oligarchie en France – et non pas l’oligarchie française – a réussi un triple coup de Jarnac : remplacement de gouvernance et remplacement d’opposition sur remplacement de population !
Ou comment tenir le pays de haut en bas et de gauche à droite...
« Génération identitaire », « Pont d’Arcole »... les têtes tombent sur Twitter. Le réseau social applique depuis quelques jours ses nouvelles conditions d’utilisation. Plus strictes envers les contenus haineux, celles-ci ont déjà engendré la suspension de plusieurs comptes d’extrême droite, de quoi susciter la compassion de plusieurs internautes et notamment des cadres du Front national.
#Twitterpurge
Mais cette fois, le réseau social est allé plus loin. Trois comptes britanniques ont déjà disparu : ceux du parti politique Britain First, de son leader Paul Golding et de sa vice-présidente Jayda Fransen, dont les tweets antimusulmans avaient été relayés par Donald Trump.
La fachosphère française n’est pas en reste puisque plusieurs de ses comptes emblématiques ont été suspendus : celui du groupuscule Génération identitaire a été suspendu le 20 décembre, et, depuis lundi, le dénommé Pont d’Arcole (@PtdArcole), twitto nationaliste qui comptait plusieurs dizaines de milliers d’abonnés, n’existe plus non plus sur Twitter.
Cette interdiction stricte des contenus qui « glorifient la violence ou les auteurs d’actes violents » et les « images haineuses », à savoir des logos et symboles « hostiles et malveillants », pourrait encore toucher des dizaines de comptes.
#SoutienAPontdArcole
Ces suppressions ont relancé le débat autour de la liberté d’expression et de la censure, porté en partie par le Front national, dont certains cadres n’ont pas pu s’empêcher de manifester leur mécontentement en 280 caractères, volant au secours de Pont d’Arcole avec le hashtag #SoutienAPontdArcole.
Quand des cadres du #FrontNational organisent une campagne contre la censure d’un compte anonyme demandant la dissolution des femen dans l’acide chlorhydrique. #SoutienAPontdArcole #FN #Champions pic.twitter.com/tDuyREKcCn
— Le vrai FN (@LaBoutiqueFN) 26 décembre 2017
Comme Stéphane Ravier, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, sénateur des Bouches-du-Rhône et maire du 7e secteur dans les quartiers nord de Marseille.
Après la censure du compte de Génération identitaire, celle de Pont d’Arcole ! Faut-il être un petit mouton du politiquement correct pour pouvoir désormais s’exprimer sur Twitter ? Inacceptable dans une démocratie saine ! #SoutienÀPontdArcole
— Stéphane Ravier (@Stephane_Ravier) 26 décembre 2017
Ou encore Jean Messiha, haut fonctionnaire proche de Marine Le Pen et candidat malheureux du Front national lors des dernières législatives, qui invite tous ses abonnés à « dénoncer ce véritable scandale de la censure »...