Attention, chers lecteurs, la conclusion du Figaro contient une grosse fake news.
Au niveau national, les sondages donnent toujours au coude-à-coude Kamala Harris, qui deviendrait la première femme noire présidente des États-Unis, et Donald Trump, candidat pour la troisième fois à la Maison Blanche.
Hitler finds out about Trump's "Nazi" rallies in the future. pic.twitter.com/ID2NQtYQTE
— Chanah Angelica Kamen (@AngelicaKamen) October 29, 2024
La clé se trouve dans la vidéo de Candace, traduite et commentée par La Voix de la Louisiane.
Les origines de Kamala Harris remises en question
L’histoire familiale de Kamala Harris, souvent mise en avant durant sa carrière politique, fait l’objet d’une controverse croissante. Une enquête menée par la commentatrice conservatrice Candace Owens prétend avoir découvert des incohérences majeures dans le récit de Harris sur ses origines.
Selon Owens, des documents généalogiques et des témoignages familiaux remettent en question l’identité de l’arrière-grand-mère de Harris, Iris, ainsi que l’histoire de sa grand-mère Beryl. L’enquête suggère que Harris aurait potentiellement fusionné les identités de travailleurs agricoles avec celles de ses véritables ancêtres, présentant ainsi une image potentiellement trompeuse de son héritage.
Ces allégations, si elles s’avéraient fondées, pourraient avoir des implications significatives sur la façon dont Harris a présenté son identité raciale tout au long de sa carrière politique. L’enquête soulève également des questions sur l’authenticité de certaines anecdotes familiales partagées par Harris, notamment concernant son implication dans le mouvement anti-ségrégation.
Alors que le débat sur ces révélations continue, il est clair que cette controverse alimente des discussions plus larges sur l’identité raciale en politique et l’importance de la transparence dans les récits personnels des figures publiques.
Les Américains, après ce nouvel axe d’attaque du camp Kamala, s’en sont donné à cœur joie.
« C’est profondément troublant. Adolf Hitler était connu pour s’asseoir à une table et dîner. Donald Trump a également été photographié assis à table et en train de dîner. Est-ce juste une « coïncidence » ou s’agit-il d’un autre appel du pied de ces nazis de MAGA ? »
This is deeply troubling. Adolf Hitler was known to sit at a table and eat dinner. Donald Trump has also been documented sitting at tables and eating dinner. Is this just a “coincidence,” or is it yet another Nazi MAGA dog whistle ? pic.twitter.com/BeJLoT2UmZ
— Matt Walsh (@MattWalshBlog) October 28, 2024
I’m Jewish.
I went to the Nazi rally.
I’m voting for Trump.
Any questions ? pic.twitter.com/JS63jMj6K7
— shaneyyricch (@shaneyyricch) October 28, 2024
Aujourd’hui, la simple défense des intérêts de son pays suffit à faire de vous un nazi. La définition s’est élargie jusqu’à en perdre toute substance : l’accusation a perdu sa force. Comme le montre ce jeune juif avec sa copine, nazi à toutes les sauces est devenu un running gag.
En revanche, si l’on veut trouver de vrais nazis, c’est-à-dire des racialistes génocidaires, alors c’est du côté de Tel-Aviv qu’il faut tourner la tête. Là, tout est sur la table, la table d’une loi juive reprise et transformée en arme par des talmudistes malades de haine.
John Kelly, son ancien chef de cabinet à la Maison-Blanche, avait estimé que son ex-patron répondait à la définition d’un fasciste, une accusation reprise par la candidate démocrate Kamala Harris.
Donald Trump a affirmé lundi 28 octobre être « le contraire d’un nazi » après plusieurs jours de polémiques autour des penchants potentiellement autoritaires du candidat républicain à la Maison-Blanche. À une semaine d’un scrutin particulièrement incertain entre Kamala Harris et Donald Trump, ce dernier est sous le feu des critiques pour d’anciennes déclarations qu’il aurait tenues et après un meeting à New York marqué par des propos racistes. « La nouvelle ligne de Kamala (Harris) est que tous ceux qui ne votent pas pour elle sont des nazis. Nous sommes des nazis », a lancé Donald Trump à ses partisans lors d’un meeting à Atlanta dans l’État clé de Géorgie. « Je ne suis pas un nazi, je suis le contraire d’un nazi », a-t-il ensuite martelé.
La semaine dernière, John Kelly, son ancien chef de cabinet à la Maison Blanche, avait estimé que son ex-patron répondait à la définition d’un fasciste, une accusation reprise par la candidate démocrate Kamala Harris. Selon John Kelly, l’ex-président aurait également dit qu’Adolf Hitler avait « fait de bonnes choses ».
Dimanche, c’est son meeting au Madison Square Garden de New York qui avait créé la polémique, après les déclarations d’un humoriste partout dénoncées comme racistes. Porto Rico, territoire américain des Caraïbes, est « une île flottante d’ordures au milieu de l’océan », a lancé Tony Hinchcliffe. « Cette plaisanterie ne reflète pas l’opinion du président » Trump, a fait savoir une de ses porte-parole.
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« Nous pouvons tous constater que Donald Trump est encore plus instable et plus déséquilibré, et maintenant il veut un pouvoir sans contrôle, et cette fois-ci il n’y aura personne pour l’arrêter », a ajouté la vice-présidente. Ces derniers jours, la tension est encore montée d’un cran, alimentée par la crainte que l’ancien président Donald Trump ne refuse à nouveau de reconnaître sa défaite, comme en 2020, en cas de victoire du camp adverse. Et s’il venait à gagner il a promis un grand programme d’expulsion des migrants et de s’en prendre aux « ennemis de l’intérieur ».
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