« La vaccination, ça ne se discute pas » disait déjà le 29 juin 2015 Marisol Touraine, ministre de la Santé sous la présidence de François Hollande. Il semble pourtant que tout puisse se discuter et en particulier ce qui concerne notre santé et touche directement notre corps.
D’un point de vue de la santé publique, ce qui est vrai pour un médicament l’est encore davantage pour un vaccin. En effet, là où le médicament est administré à certains malades, circonscrivant le désastre à quelques cas si d’aventure la molécule s’avérait dangereuse, le vaccin est inoculé par définition à une population en bonne santé et à un nombre maximum de patients (l’entièreté de la population selon les fantasmes vaccinateurs de nos gouvernements – et leurs donneurs d’ordre les laboratoires pharmaceutiques) !
On n’enquêtera donc jamais trop sur un produit qu’on entend nous injecter dans le corps (avec ses excipients et ses adjuvants) pour modifier non seulement notre réponse immunitaire, mais, dans le cas des nouveaux vaccins à ARN, modifier potentiellement notre matériel génétique par transcriptase inverse.
Enquête sur les vaccins contre le Covid, le documentaire que nous vous proposons ci-dessous, a interrogé diverses personnalités :
Dr Laurent Alexandre, médecin, haut fonctionnaire, entrepreneur.
Dr Louis Fouché, médecin-anesthésiste.
Christophe Barbier, journaliste et éditorialiste.
Alexandra Henrion Caude, généticienne.
Serge Aumont, délégué FO chez Recipharm.
Maître Carlo Alberto Brusa, avocat.
Olivier Babeau, professeur, économiste et essayiste français.
Pr Henri Joyeux, médecin, écrivain, professeur.
Jean Leonetti, député, ancien ministre.
Dr Éric Chabrière, biochimiste.
Censuré par Dailymotion, par la plateforme de financement Ulule ou encore Facebook, déréférencé par Google et YouTube, ce documentaire est à visionner rapidement avant sa très probable prochaine censure.
Barbier : « Le jour où il sera prouvé dans les faits que les pays qui ont vacciné massivement se sortent de l’épidémie, tout le monde voudra son vaccin pour reprendre une vie normale. »
Henrion-Caude : « Le but même du vaccin à ARN est de modifier votre patrimoine génétique. Si on vous l’injecte, c’est parce qu’on souhaite que votre patrimoine génétique soit doté d’une nouvelle fonction. Ce qu’il se passe dans les faits, c’est que le patrimoine génétique acquiert la possibilité de se mettre à produire une protéine qui n’est pas à lui d’habitude, qui est une protéine de virus. […] Ça veut dire qu’on est dans une phase tout à fait, complètement expérimentale. Et donc il y a des tas d’interactions qu’on ne peut pas prévoir. Et donc à mon avis c’est dans cette incapacité que nous avons à prévoir qu’il y a danger. »