L’imbuvable Guillaume Erner lance la pastille Avec sciences animée par Alexandra Delbot.
Nous sommes sur France Culture, autant dire le summum du gauchisme politico-culturel, mais le culturel est éminemment politique.
Eh bien cette station pseudo-publique va verser dans le racisme, au vrai sens du terme.
Inutile d’ajouter que ces deux propagandistes subventionnés croient dur comme fer à la pandémie de rentrée.
L’âge, le sexe ou les comorbidités rendent individuellement plus susceptibles à des formes graves de la maladie. Mais alors que la majorité des études scientifiques sont menées sur des occidentaux, qu’en est-il des autres populations ?
Face au COVID-19, nous ne sommes pas égaux, nous le savons bien à présent, plusieurs facteurs déterminent le risque de présenter une forme grave de la maladie. Il y a l’âge d’abord, ensuite le sexe, le fait d’être un homme et finalement des comorbidités, comme le diabète ou l’obésité.
Mais qu’en est-il des différences entre les populations ? En fonction de nos origines, de l’environnement dans lequel nous évoluons et dans lequel nous avons évolué ? C’est une question centrale pour mieux comprendre cette maladie, mais aussi les infections émergentes en général.
D’autant que la très grande majorité des études médicales sont menées sur des occidentaux caucasiens, donc blancs. Toutes les autres origines ethniques restent sous-étudiées : trois quarts des études en génomique humaine ou en immunologie sont faites sur des personnes européennes alors qu’elles ne représentent que 16 % de la population mondiale, d’où la nécessité d’inclure davantage de diversité.
Alors dans cette étude parue dans Nature, les scientifiques ont comparé trois populations : une d’Europe de l’ouest, une d’Afrique centrale et une autre d’Asie de l’est. En exposant leurs cellules sanguines au SARS-Cov-2, ils ont regardé si leur immunité réagissait différemment en fonction de leur origine ethnique et géographique… et sans surprise, c’est le cas.
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