En bon militant LFI, Guillaume Meurice se doit de défendre le dangereux humoriste islamiste Merwane Benlazar, qui a jeté l’éponge sous la pression (israéliste). Prions pour que l’expulsé ne revienne pas chez Lemoine & Cohen avec une ceinture de bombes. Ou un couteau. Rouillé.

Pourtant, Merwane, malgré son habit et sa barbe qui terrorisent les israélistes et les bourgeois, c’est-à-dire les employés de CNews, joue avec les codes de l’Arabe et du musulman intégriste.

L’affaire est évidemment devenue politique. Un député LFI s’en prend à Bolloré et l’extrême droite, qui auraient eu la peau de Merwane grâce aux légions racistes sur les réseaux sociaux.

Le montage suivant nous fait comprendre le risque que fait peser un seul chroniqueur islamiste sur le service public, même au milieu de 150 chroniqueurs israélistes : Anne-Élisabeth, pourtant israéliste jusqu’au bout des seins, devient ici une fatma en burqa au contact de l’islamo-comique.

En fait, ce qui est reproché à Merwane, plus que le fait de porter la barbe ou une ceinture de bombes sur scène pour obliger le public otage à rire, c’est d’avoir été sexiste sur son compte Insta.

Aujourd’hui, l’antisémitisme est entré dans les mœurs, grâce ou à cause de la puissance du groupe LFI à l’Assemblée. Mais si on peut toucher aux juifs, globalement depuis le génocide en cours, on n’a pas le droit de toucher aux femmes ! Les femmes sont en train de remplacer les juifs dans l’échelle d’intouchabilité.

On a bien lu les texticules : on dirait plus des vannes (« ma femme, elle courera dans le salon ») que des sourates du Coran, ou alors un mélange des deux. Après, savoir le pourcentage de chaque...

Dans son sketch, Merwane déconne sur sa femme qui sort... à la maison. Alors, humour ou propagande islamiste ? Lard ou cochon ?