Egalité et Réconciliation
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Survivre à la malbouffe – Conférence de Piero San Giorgio et Frédéric Smet à Nancy

E&R Lorraine recevra Piero San Gorgio et Frédéric Smet le samedi 20 septembre 2025 à 15 h pour une conférence intitulée « Survivre à la malbouffe ».

 

Plus que quelques jours pour réserver votre place à notre conférence de rentrée ! Le thème ? Survivre à la malbouffe ! Au cœur de nos vies quotidiennes, l’alimentation est un facteur majeur de la résistance, que ce soit pour nous ou nos enfants. Comment y résister, s’adapter, vivre avec ? Comment rester physiquement performant dans un monde où s’alimenter sainement devient un parcours du combattant ?

Frédéric Delavier étant dans l’incapacité d’assurer la conférence avec Piero San Giorgio, c’est Frédéric Smet, un expert en nutrition et musculation, qui le remplace.

Préparez-vous, et venez comme vous êtes !

Piero a un message pour vous :

 

 

Ce sera l’occasion de vous procurer le dernier livre de Piero San Giorgio : Gros - Survivre à la malbouffe.

 

L’annonce de Fred :

 

 

Informations importantes

- Entrée : 15 euros

- Inscription obligatoire sur la billetterie en ligne racinesdapres.fr

- L’adresse exacte vous sera communiquée la veille par courriel

- Présence d’un stand Kontre Kulture (avec notamment les ouvrages de Piero, qu’il dédicacera)

 

Le programme :

14 h 00 : Accueil du public (ne venez pas à 15 h !)
15 h 00 : Début de la conférence de MM. San Giorgio et Smet
16 h 15 : Pause / buvette / stand de livres
16 h 35 : Questions du public
17 h 45 : Séance de dédicaces
18 h 30 : Fin de l’événement

 

Contre le gavage des élites

 






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40 Commentaires

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Suivre les commentaires sur cet article

  • La meilleure manière de résister à la malbouffe, c’est d’apprendre à cuisiner des petits plats simples avec les ingrédients à disposition (une sorte de marmiton mais dans la tête de chacun de nous).
    L’apprentissage doit se faire dès l’école au plus tard à partir de 12 ans. Ils faut que ça devienne une matière obligatoire à l’école comme le sport. Et au bac une matière optionnelle qui permet de gagner des points facilement comme le latin. S’il faut réduire le temps d’enseignement de l’Histoire-Géo au détriment de travaux pratiques de cuisine, et bien faisons le, bien manger vaudra toujours mieux que la merde de propagande de régime enseignée sous forme d’histoire-géo.
    Quand on sait cuisiner, on économise plus de 70% du budget bouffe (... oui, j’ai fais des statistiques et on est autour de ce chiffre) et c’est meilleur pour la santé.
    Un gouvernement bienveillant et soucieux de ses citoyens doit considérer ce sujet comme un problème majeur de santé publique et prendre ce genre de mesures simples et concrètes.

     

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    • 70 % ? Humm...vous y aller fort hein...mais sur le fait de devoir cuisiner pour bien manger dans la forme et le fond c’est certain. Les cours de cuisine nous en avions au collège dans les années 70. Et la bonne nouvelle c’est que l’on peut cuisiner tout en écoutant des vidéos intelligentes, ouf, car oui cuisiner prend du temps, et demande de l’amour pour soi et son entourage. C’est une culture du partage.

       
    • En Chine dès la maternelle ils apprennent à cuisiner et bricoler.
      En Russie ça existe encore un peu, les filles apprennent la cuisine et les garçons le bricolage, et ils vont le généraliser à nouveau.
      En France à l’époque de ma grand-mère cela existait aussi, elle a appris la cuisine et la couture à l’école et cela lui a bien servi toute sa vie.

      Mais en France actuelle pas question, les filles à la cuisine ce serait le retour aux heures les plus sombres de l’histoire, quasiment le nazisme ! Et puis c’est dangereux de rendre les gens autonomes.
      Par contre enseigner aux garçons à jouer aux poupées et aux filles au camion, ca oui, c’est le Progrès qui nous emmène vers un futur radieux. Et les gens dysfonctionnels et dépendants c’est plus facile à dominer !

       
  • Les cellules cancéreuses se nourrissent de glucose c’est pour ça qu’ils mettent du sucre partout... Parce que c’est leur projet (génocidaire)...

     

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    • Le cancer fait vivre beaucoup de gens !

       
    • Ou alors parce que c’est une source de calories et exhausteur de goût bon marché ?

      En cette période de crise terminale du mode de production capitaliste, c’est la baisse tendancielle du taux de profit qui pousse à la baisse de qualité générale de chaque chose de la vie, comme de la vie elle même : et tout ça se produit nécessairement chaque jour dans tous les domaines avec ou sans le concours de complots.

      Lorsque le capital en crise a vraiment besoin de liquider une grande partie de la population de manière immanente, il ne se fatigue pas à comploter la création de cancer par l’ajout de sucre dans de la nourriture, par la baisse de la fertilité par des chemtrails, ou autres moyens tordus à long terme : il produit directement la première guerre mondiale et la seconde guerre mondiale dont les effets sont immediats.

       
    • A Tocsin,

      Mettons que le capital est pour but de faire du profit. Ceux qui "possèdent" le capital ont les banques et leur but ce n’est pas d’avoir plus de pognon... il le fabrique...
      Il faut arrêter de croire que leur but c’est l’argent. Ces gens sont fous. L’argent est un moyen pas une fin.

       
    • @tocsin :
      pour voir au-delà de la recherche de profit,
      commencez par séverac, "guerre secrète contre les peuples",
      ensuite : tant d’autres.....

       
  • Fais-toi gros ...... Quand tout s’effondrera en Europe car c’est sûr , cela va faire mal .... Tu auras des réserves et tu pourra maigrir pendant longtemps tandis que les autres mourront de faim ......Un peu de jugeotte que Diable ....... je ne plaisante pas , hélas !

     

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    • C’est pour protéger notamment les gros qu’on a été confinés et vaccinés !

       
    • Conception érronée ...
      Les « gros » ne survivent pas forcement mieux en période de
      famine ou de guerre.

      Surtout si il faut faire plus de 30km par jour avec un apport
      energétique quasi nul pendant quelques jours.

      Le probleme est plus de se procurer de la nourriture que
      d avoir des reserves de gras.
      Donc il faut bouger, beaucoup, et vite.... avec un apport minimum.

      L experience demontre que les obeses n ont quasiment aucune chance
      de boucler un stage de survie.
      Ils seront en hypoglycemie avant les autres... et n auront pas les moyens
      de se déplacer suffisament.

       
    • Ou alors tu te feras bouffer... :)

       
    • L’être humain n’est pas fait pour être gros ou obèse. Etre gros résulte avant tout de la sédentarité et ou d’un manque d’activité physique qui conduit à un moment donné, à une accumulation de masse adipeuse. Je vois mal un gros ou un obèse échapper à une quelconque prédation ou parvenir à se défendre rapidement en cas d’agression. Trop lourd, trop lent, essoufflé, Il sera le premier à être éliminé.
      Nous chassons, pêchons, cueillions, cultivons ou nous élevons, nous transformons et conservons les aliments pour nous nourrir... et cela demande du temps et des efforts. Efforts qu’un obèse pourra difficilement fournir. l’alimentation industrielle, " le prêt à manger" va bouleverser toutes ces habitudes.
      Etre habitué à manger tout le temps, c’est avoir un index glycémique toujours élevé qui donne en permanence l’envie de s’empiffrer, et être en hypoglycémie de manière plus fréquente pour faire simple. Je remarque qu’à ce titre que les gens en surpoids ont beaucoup de mal à résister à l’envie de manger.
      Si l’on veux supporter la faim, il vaux mieux faut s’habituer à manger le moins sucré possible et pas trop gras. Personnellement, je ne mange que deux fois par jour et si dois rester sans manger toute une journée juste en prenant un thé, cela ira je peux continuer à être en activité sans trop ressentir les effets de l’hypoglycémie. Après chaque individu à un métabolisme différent.

       
  • Tout à fait, il faut bien manger comme Gérard Larcher : à la campagne, un 1/4 de Gérard Larcher permet de faire du boudin, de la poitrine fumée, des côtes de porc, du jarret... qui permettent de nourrir une famille de 4 pendant une année !

     

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  • Survivre à la malbouffe, c’est pas gagné, comme le comprendront ceux qui ont écouté l’entrevue donnée par Jean-Marc Sabatier à Tocsin radio. relayée par E&R hier.

    Pour échapper au risque d’être contaminé par l’ARNm de canards vaccinés il suffit d’une longue cuisson à hauite température (ce qui est classique pour le canard), mais avec des laitues ça sera plus difficile, à moins d’en faire des soupes (ce qui détruit aussi beaucoup de vitamines).

    Pour éviter de se faire refourguer des "vaccins" ARNm via l’alimentation va-t-il falloir tout faire cuire à plus de 100 degré celcius, et consommer des suppléments alimentaires pour les vitamines (via lesquels Big-pharma tentera également de nous baiser) ? Les fermier artisanaux se feront-ils contaminer leur récolte, comme ce fut le cas avec les semmences OGM ?

     

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  • La malbouffe est partout avec les pesticides, la cadnium, les plastiques, les OGM, les polluants éternels et les animaux piqués à l’arn. Survive qui pourra...

     

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  • Résister à la mal bouffe, c’est retourner à une alimentation principalement végétale, et la plus bio possible.
    Sinon, en pis aller, même une alimentation faite principalement de fruits et de légumes, même de chez lidl aux pesticides, c’est déjà un acte subversif, tant on nous les brise avec la viande, les protéines et autres âneries.

    Sur la question de faire la cuisine, ce n’est pas si simple : on peut faire à cuisine soi même, acheter tout chez ses producteurs locaux plus bio que bio, et manger comme un sac ; se cuisiner des Burger ou des pizzas légumesdu soleil, ou des pasta au sel de Guerande, ca vaut rien, ou si peu, du point de vue micro nutritionnel.

    Car le pb central, c’est l’apport en vitamines et minéraux dont notre alimentation carnee, gorgée de sucre (même celui danS le pain (glucide complexe)) et cuite (la cuisson tue les vitamines) manque cruellement.

    Et aux ayatollah de la coste de bœuf, vous pouvez bien faire et manger ce que vous voulez, ca m’est égal, et il ne s’agit pas de juger selon l’alimentation.

    Il y a juste des principes objectifs

     

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    • "il y a des principes objectifs"...j’adore ce genre d’arguments. Vous venez faire votre laïus pro végétarien sur un article qui décrit les problèmes de la nourriture industrielle...ne confondez pas tout. Chez les petits producteurs locaux on trouve d’excellents produits carnes, pour accompagner les légumes :)

       
    • Je ne suis pro rien du tout, je mange des produits animaux, et très ponctuellement de la viande.

      Précisément le pb est double : le manque de micro nutriments dans l’alimentation actuelle qui fait la part beelle aux produits transformés et aux produits carnés. Et quels sont les aliments où ces micro nutriments sont présents en masse et directement assimilables ? Dans les végétaux.

      Donc tu es hors sujet. Et il ne suffit pas de dire que je serais provegetarien pour me répondre. Quand je parle de principes objectifs, qques recherches sans biais te les montreront si tu veux voir. Car Où sont les arguments qui démontrent que l’homme est physiologiquement un mangeur de viande comme le chien ?

      Nada. Donc qui fait un laïus ?

       
    • @ricco :
      toi qui sembles aimer les systèmes, étudie l’ayurveda,
      tu découvriras que les métabolismes humains, tout comme leurs besoins, sont multiples :
      certains doivent majoritairement être végétariens, d’autres majoritairement carnivores.....
      étonnant, non ?

       
    • @ ricco...CQFD...va donc trouver du collagène et suffisamment de protéines dans les végétaux...que j’adore, mais sans penser que la viande c’est "mal"...

       
    • Ah et au fait il y a plus de vitamines dans le gras animal que dans les huiles végétales...huiles pour la plupart trop riches en oméga 6 délétères pour nos mitochondries...

       
    • [quote]Ah et au fait il y a plus de vitamines dans le gras animal que dans les huiles végétales...huiles pour la plupart trop riches en oméga 6 délétères pour nos mitochondries..[/quote]

      Bien, c’est bien. C’est vraiment bien. Ya plus de vitamines, et ca, c’est bien ! Mais quid du caractère assimilable ? Donc, ya plus de vitamine C dans le camu camu que dans tous les fruits courants, donc il faut privilégier ce fruit amazonien introuvable et hors de prix ? Evidemment que non. Au-delà du prix et de la disponibilité, il faut envisager la facilité avec laquelle le corps assimile les nutriments : et désolé, dans les végétaux, c’est assimilable le plus facilement.

      [quote]toi qui sembles aimer les systèmes, étudie l’ayurveda,
      tu découvriras que les métabolismes humains, tout comme leurs besoins, sont multiples :
      certains doivent majoritairement être végétariens, d’autres majoritairement carnivores.....
      étonnant, non ?[/quote]

      Ah ? donc les besoins peuvent être différents selon les individus et les conditions de vie ? ah ! bien, ça aussi, c’est bien. Non, c’est vraiment bien.
      Evidemment qu’un Inuit va te rire au nez si tu lui files de l’ananas et du kiwi pour l’aider à survivre sous la neige par - 50. D’ailleurs, on pourrait reparler des pb de santé évidents liés à leur régime alimentaire et à leurs conditions de vie. Evidemment, qu’une vie polynésienne est plus adaptée à la consommation régulière et élevée de fruits juteux et colorés.

      Mais avoir des besoins particuliers à un moment donné ne signifie pas que ces besoins sont éternels. Les besoins changent à mesure que le terrain physiologique change et que les conditions de vie (climat, ensoleillement) changent. Pourquoi, à ton avis, a t on tendance à consommer plus de fruits en été qu’en hiver ? Mais c’est pas parce qu’une raclette peut être un besoin hivernal qui permet de lutter, ne serait-ce qu’émotionnellement, contre le froid et le manque de lumière, que la raclette n’entraine pas une cascade de pb physiologique dans le corps.
      Ce que je veux dire, est qu’il existe des principes objectifs et observables de la physiologie humaine qui induit un certain type d’aliment comme le plus adapté. Ca ne veut pas dire que manger les autres est inadapté, ca l’est juste moins, et donc cela entraine des réactions de compensation du corps. Mais les besoins différents selon les individus ne contredisent en rien mon propos. Il faut raisonner en dialectique.

       
    • @ricco...tu sembles tellement avoir besoin d’avoir raison que je ne vais pas répondre à chacun de tes arguments pourtant légers du point de vue de l’honnêteté intellectuelle.l’essentiel est que chacun trouve la façon de se nourrir qui lui convient le mieux physiquement et mentalement. Pour conserver un équilibre cependant évitons d’être trop sectaires...

       
    • [quote]l’essentiel est que chacun trouve la façon de se nourrir qui lui convient le mieux physiquement et mentalement. Pour conserver un équilibre cependant évitons d’être trop sectaires...[/quote]

      C’est exactement ce que je viens de dire en prenant l’exemple des Inuits et de la raclette en hiver. Les besoins sont différents selon les conditions de vie, les saisons et surtout, selon l’état global du terrain physiologique de la personne. Je pourrais même parler de la candidose qui implique que la personne digère fort mal les fruits, a fortiori très sucrés (bananes, raisins etc), et dont les besoins seraient plutôt un régime cétonique (donc avec des produits animaux, mais pas forcément la sainte côte de boeuf), ou fondé sur les légumes plutôt cuits à la vapeur (et je ne mentionne ici que des tendances possibles, ce n’est pas à suivre à la lettre, mais à adapter par l’expérience concrète). Mas à ton avis, que se passera-t-il quand la candidose, qui est en réalité une dysfonctionnement des intestins, sera résorbée ? Eh bien, la personne digérera les fruits très bien ! ah ! les besoins du terrain physiologique changent, quel miracle de la nature !

      Et parler d’aliments plus riches en tel ou tel nutriment, je le répète, n’a aucune pertinence, car se posent le pb du caractère assimilable de ce nutriment inclus dans l’aliment en question, et le pb de la disponibilité sur le marché et du prix de ce même aliment.

      [quote]tu sembles tellement avoir besoin d’avoir raison que je ne vais pas répondre à chacun de tes arguments pourtant légers du point de vue de l’honnêteté intellectuelle.[/quote]

      Conséquence logique : allégation gratuite sans fondement, qui ressemble à fort à de l’inversion accusatoire, où tu refuses d’admettre la vacuité de tes arguments (notamment quand tu mets en valeur un produit animal au détriment de produits végétaux (mais lesquels ?) sous le prétexte qu’il y a plus de tel nutriment), et où tu refuses d’admettre que je vise simplement, dans une démarche dialectique, à comprendre pourquoi on peut avoir des besoins totalement différents alors même que nous avons tous la même physiologie globale.

       
    • @ ricco....nous avons tous des besoins différents mais tu préfères que tous finissent par manger surtout des fruits et des légumes... :)...désolée mais je ne descend pas du singe, mes aïeux étaient des chasseurs cueilleurs...Portes te toi bien.

       
  • C’est maintenant que je peux râler sur les prix des maisons à la campagne qui empêche le retour à la terre. Si important, dont tout le monde parle...
    Mais personne ne baisse son prix ....mais ça lutte contre le système.

     

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    • Propos un peu général et flou ..tous les prix immobiliers ont augmentés, si vous aviez acheté une maison accepteriez vous de la revendre a perte, ou même en dessous du prix du marché ? Les prix immobiliers dépendent de l’offre et de la demande. On peut vraiment le déplorer, mais c’est humain. Il y a encore des régions où les prix sont abordables, et je connais 2 exploitations , une de volaille et l’autre de porcs...dans le 36, bio et marchant du feu de dieu depuis très longtemps ..qui ne trouvent pas de repreneur et vont donc fermer suite a la retraite des exploitants...Donc il est possible de s’installer mais il faut vouloir bosser...

       
    • @extatiebaba
      Je vous ferais remarquer que nous vivons dans un pays où le logement est un outil spéculatif mais l’avortement constitutionnellement sacré par la république du capital est intégralement remboursé pour tous.tes.
      On a les besoins vitaux qu’on mérite.

       
  • #3561654

    Survivre à la malbouffe:facile à dire,difficile à faire :
    - éviter les produits industriels le plus possible ;
    - avoir du temps :
    pour cuisiner soi-même ;
    pour manger cru autant que possible ;
    effets garantis:perte du surpoids,digestion facile,le rééquilibre se fait naturellement,l’envie de sucre passe,on reste actif...
    Bref,tout concoure de la sorte à avoir un esprit sain,discipliné,attentif dans un corps sain...

     

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    • Je cuisine tous mes repas. Comment vous faites pour manger dehors ? C’est impayable. Et je ne prends que deux repas par jour. Finalement, l’occupation allemande a eu du bon ! Tout le monde à la diète et au vélo. Blague à part, dans la zone d’occupation italienne, là où les Auvergnats de Pologne dominaient le marché noir de part la gabegie des ritals, la mortalité des gamins était effrayante .L historien Amouroux en parle dans son ouvrage en 12 tomes sur l’occupation. Ce sont par dizaine de mille que les gosses crevaient. Le litre d’huile valait 1000 eur en équivalent.