30 ans après SOS Racisme, nous voici à l’heure de SOS Socialisme. Le parti mourant de la trahison sociale envoie tous ses petits employés faire la retape anti-FN. Il y va de la survie des agents mondialistes du spectacle.
C’était le 6 avril 2017 sur France Inter, la station antifrançaise, et Stéphane Guillon revenait via l’émission d’Augustin Trapenard, l’agent mondialiste auparavant en charge de la « littérature » au Grand Journal.
Stéphane Guillon, qui n’arrive toujours pas à quitter son personnage de sous-Luchini (la copie et l’original), ose un billet contre le Front national et ses dirigeants. Avec son nouveau look de grand-mère, il tente de se donner une consistance de résistant alors qu’il est le plus pur produit du Système : un propagandiste du socialo-sionisme sous des habits de subversif.
Ce travail de sape de la lucidité est évidemment grassement rémunéré par les fenêtres de tir que sont les émissions de télé ou de radio. Il en faut de l’argent pour oublier la lâcheté physique, la trahison des petites gens et la honte du collaborateur.
Personne ne tondra Guillon à la Libération nationale, il se cachera tout seul sous les pierres, celles qu’il a achetées à Sèvres avec son argent sale, celui de la délation des juifs du jour.
Mamie Nova de l’humour collabo
Chaque époque a ses délateurs, plus ou moins professionnels. Aujourd’hui la Kommandantur a un nouveau nom, que nous ne citerons pas, et elle a les moyens d’acheter les consciences. Cependant, les employés de cette vile entreprise doivent savoir une chose : sont-ils déjà en janvier 1943, date de la défaite allemande à Stalingrad ?
C’est la date à laquelle beaucoup de collabos ont réfléchi, et trouvé la résistance intéressante. On souhaite à Stéphane Guillon de bien calculer son coup, car le boulet de l’Histoire pourrait passer tout près de sa tête. C’est une image, voyons. Le combat est idéologique. Mais si la gauche/droite mondialiste au pouvoir perd ces élections, alors le Système peut connaître un drôle de Stalingrad.
On aura alors peut-être la chance de voir d’autres têtes, d’entendre un autre humour, moins lèche-cul, et des penseurs plus profonds que les escrocs qu’on nous impose. Le problème n’est pas qu’un Guillon soit possible – il y aura toujours des larbins de la dominance, on appelait ça des kapos en 1942 – mais qu’on n’ait pas l choix. Le Parti unique, c’est aussi l’Humour unique.
« Ça les migrants c’est nein ! »