Une vidéo de Raphaël Zacharie de Izarra en hommage au combat mené par Alain Soral :
Soral la cible officielle, pour ne pas dire quasi étatique, de la France corrompue résiste encore et toujours, dans une relative indifférence générale. Avec cette vaillance, cet éclat, cette intégrité propres aux grands hommes. Vertus qui, selon moi, feront de lui une gloire de l’Histoire. Aujourd’hui pestiféré, demain réhabilité. C’est le lot des diseurs de vérités que de recevoir les médailles après avoir encaissé les coups.
Cet astre qu’on tente d’éteindre a le tempérament des âmes d’envergure qui ont choisit leur destinée : la sienne sera âpre et mythique.
Tourmentée et biblique.
Je perçois Soral comme un soleil qu’on maudit, un Christ qu’on persécute, un évangile que l’on veut brûler.
Ce siècle immoral déteste ceux qui parlent droit, clair, vrai. C’est bien pour cela que tous les incrédules veulent crucifier cet aigle.
La Justice aux ordres du Mal ne cesse d’accabler cet innocent. Certes, calvaires des âges barbares et autres bûchers de l’Inquisition ont été remplacés par la "peine d’écu" de notre monde civilisé, mais l’iniquité demeure la même. L’enclume des menteurs écrase toujours la plume du juste.
Pour ne pas dire du saint car il faut être royal pour supporter avec hauteur tant de misères et d’injures.
L’emballage du totalitarisme change mais le contenu est aussi amer. Procès après procès, cette république cherche à détruire son propre porteur de flambeau. Elle s’acharne sur ce martyr de la cause supérieure. Elle oppresse économiquement cette voix, cette pensée, ce souffle dans le désert.
Il ne ploie cependant pas. Dans l’insensibilité médiatique.
Soral est de fer, la postérité en fera de l’or.
Mais je sais que déjà, il est de lumière.