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Anne-Laure Bonnel présente son documentaire
Silence dans les Haut-Karabagh
Je le justifie parce que je suis rentrée le 12 décembre, j’ai alerté énormément de journalistes – d’ailleurs vous êtes les seuls à m’interviewer au-delà des amis cités au début de notre rencontre –, personne n’a réagi. Tout le monde savait, personne n’a réagit. Donc à un moment donné, il ne reste plus qu’une solution, c’est l’électrochoc. Et je sais que ça va faire un électrochoc.