En 1959, âgé de 17 ans, le jeune Robert enregistre cette chanson – I got a new girl – destinée à une jeune adolescente.
Mais franchement, on n’est pas sérieux quand on a 17 ans ! Bon, elle en avait 12.
Attendez, on s’est trompés : Bob aurait agressé une fille de 12 ans... en 1965. En 65, Bob est déjà une star et il a 24 ans. Là, 24 sur 12, c’est plus pareil. C’est comme si une prof de français de 39 ans chopait son élève de 15 ans (le rapport 39/15 est quasiment pareil que 24/12). Mais c’est pas encore prouvé. Donc on n’incrimine pas. On attend que la justice dise la vérité, pardon, le droit.
La plainte déposée vendredi affirme que Bob Dylan a agressé la plaignante, dont seules les initiales J.C. sont mentionnées, sur une période de six semaines entre avril et mai 1965.
Le chanteur « a abusé de son statut de musicien pour fournir de l’alcool et des drogues à J.C., et pour l’agresser sexuellement à plusieurs reprises », soutient la plainte qui accuse également le chanteur d’avoir physiquement menacé la jeune fille.
Le montant des dommages-intérêts réclamés n’y est pas précisé. Certaines des agressions présumées auraient eu lieu dans l’appartement que Bob Dylan possède à New York, dans le célèbre Chelsea Hotel, selon la plainte. La plaignante affirme que Dylan lui a causé « de graves dégâts psychologiques et un traumatisme émotionnel ».
Dans un communiqué, son porte-parole a déclaré que « l’accusation vieille de 56 ans est fausse et sera vivement combattue ». La plainte a été déposée un jour avant la date limite prévue par une loi de l’État de New York qui permet aux victimes d’abus sexuels de poursuivre leurs agresseurs présumés, quelle que soit la date à laquelle l’acte aurait été commis.
Lire l’article entier sur lefigaro.fr