C’était le 23 mars 2020, à Rennes, une semaine après le début du confinement de la population décidé par les autorités sanitaires et politiques. Encore heureux que les policiers ne l’aient ni gazé ni gomme-cogné. En même temps, comme dirait notre Président, il était en règle, donc il n’a pas été verbalisé. De l’humour au plus haut degré...
Superbe action d'un jeune artiste belge, Maxime Matthys, qui s'est baladé dans les rues de #Rennes, avec scotchées sur lui, 150 #attestationdedeplacement. Au travers de sa performance artistique, il entendait questionner sur le #confinement et la quarantaine.
1/2 pic.twitter.com/YVYve7n033
— Cerveaux non disponibles (@CerveauxNon) April 12, 2020
L’humour du confinement aide à supporter la peine de prison ferme de plusieurs mois infligée aux Français et aux Européens.
Mais on sent que ça peut très vite partir en sucette, que bientôt, l’humour ne suffira plus... Les médias mainstream veulent nous faire croire, comme toujours, que le risque du confinement ce sont les violences conjugales, les violentes faites aux femmes (ou aux enfants), la fameuse comptabilité idiote des féminicides, mais en réalité, le risque est bien social et politique. Toujours la pseudo résistance féministe sert à cacher une réalité plus dérangeante pour le pouvoir.
Si l’on tape « violence sociale confinement » ou « violence politique confinement » sur Google vidéos, on tombe immanquablement sur les violences... conjugales ! Heureusement, il y a encore des Français lucides qui sortent du piège sociétal pour aller dans le social dur.
Moralité : l’humour est nécessaire mais pas suffisant. Il faut l’explication. Avec l’humour et l’explication, on est blindés non contre le virus en cours (d’origine inconnue, ou alors un virus sous faux drapeau chinois, comme Xi Jinping le soupçonne), mais contre la coronapolitique d’intoxication en cours qui punit lourdement les Français, pris dans un chantage diabolique. Pas étonnant quand on sait qui commande...