Les Américains auraient déjà fait 30 films sur Bouvines, la bataille qui a fait la France il y a 806 ans. Ils auraient glorifié ce moment, l’auraient imposé dans toutes les têtes, et pas un petit Américain n’aurait ignoré la grande et décisive bataille de Bouvines.
En France, un écolier sur un million, peut-être, connaît Bouvines. Notre histoire n’est plus enseignée que pour en faire un médiocre torchon de SOS Racisme ou SOS Sionisme. La fierté est un mot qui a disparu du roman national. Même les victoires de Bonaparte, plus proches, sont oubliées. En ne parlons pas de 1914, la Marne, Noyon, Champagne, Cambrai, et enfin la Sambre, tout ceci a été enfoui sous terre par les gauchistes antifrançais qui occupent l’Éducation nationale depuis Mai 68.
Il y a du boulot pour nettoyer notre pays de ces défaitistes, de ces casseurs de moral national qui glorifient l’étranger et salissent la France, mais notre Histoire est plus grande que ces saboteurs. Aujourd’hui, l’ennemi est parmi nous, et il ne se cache même pas ! Si Macron est en guerre, nous le sommes aussi. Mais pas contre le même ennemi.
Voici ce que Louis déclarait à Paris Match en 2010 :
On vous reproche d’être espagnol. Êtes-vous français aussi ?
Les deux ! J’ai un passeport français. Ce qui est dommage, c’est que le nom Bourbon soit tombé dans l’inconnu en France. L’autre jour, je suis allé au consulat français de New York inscrire mes enfants. J’ai fait la queue comme tout le monde, et quand j’ai décliné mon nom, je voyais bien qu’il ne disait rien à la dame qui s’occupait de moi. Il y a deux cents ans, elle n’aurait pas réagi ainsi...La France a-t-elle vraiment besoin d’un roi ?
Pourquoi pas ? Pour moi, la monarchie est une forme de continuité, un lien avec l’Histoire. C’est une notion évolutive, moderne. Avec la mondialisation, on perd parfois le nord... La monarchie est un repère. Vous ne pouvez pas vous construire un futur si vous ne connaissez pas votre passé.
Les enfants, prenez exemple sur le duc d’Anjou, ouvrez vos livres d’histoire aux pages glorieuses, et oubliez ceux qui haïssent la France et qui veulent vous la faire haïr. Ce sera votre devoir de mémoire, désormais !
En attendant le déconfinement du faux roi de l’Élysée, marionnette des forces occultes, apaisons nos différends et écoutons le discours de Louis de Bourbon, qui lui n’a pas oublié l’histoire de France et n’a pas perdu la foi, malgré les coups que la maison France a pris ces derniers temps : terrorisme sous faux drapeau islamiste, terrorisme policier anti-Gilets jaunes, et terrorisme bactériologique du Big Pharma, tous dirigés contre le peuple pour le faire se tenir tranquille.
C’est Valeurs actuelles qui a eu la primeur du discours du descendant des rois de France, enfin du Roi-Soleil, un Bourbon, né Louis et surnommé Dieudonné !
Comme il l’avait fait pour la nouvelle année, Monseigneur Louis de Bourbon, Duc d’Anjou, chef de la maison de Bourbon, a tenu à s’adresser aux Français dans l’épreuve, à l’occasion des fêtes de Pâques.
Chers Français,
Rappelons-nous : Pâques 2019 et la France pétrifiée par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris. Pâques 2020, une épreuve d’une toute autre nature dans un domaine où l’on ne l’attendait pas, atteint la France qui, avec l’Italie et l’Espagne, se partage le record des décès en Europe. Tous les continents sont frappés. Une mondialisation du risque !
Hier c’était l’âme du pays qui était touchée, et aujourd’hui ce sont les hommes et les femmes ; les enfants et les vieillards. Selon les mots forts prononcés par le Saint-Père dans son homélie du 27 mars, « nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse ». Devant le danger saurons-nous réagir et à l’ombre de cette cruelle épreuve, refonder nos actions sur plus de bon sens et redonner du sens à nos vies ?
Réagir, au-delà de la compassion que l’on a vis-à-vis des milliers de victimes et de leurs familles affrontant la mort souvent en grande solitude et sans secours spirituel ; au-delà de l’admiration vis-à-vis des soignants aux moyens parfois si dérisoires et de tous ceux qui se dévouent souvent en prenant des risques pour que le pays continue à vivre ; au-delà des encouragements adressés à ceux qui, confinés, doivent assumer une vie familiale bouleversée et exercer leurs activités dans des conditions précaires ; au-delà de l’angoisse face aux situations désespérées que nombre d’artisans, de commerçants, d’entrepreneurs auront à affronter après le brusque arrêt de la vie économique.
Les Français courageux et fidèles à l’image de l’idée qu’ils ont de leur pays – celui du baptême de Clovis, celui de la justice de Saint-Louis, celui des quinze siècles de gloire et d’honneur -, doivent faire front animés d’une énergie à toute épreuve. Ils doivent résister pour sauver leur pays, retrouver l’esprit de Bouvines. Si l’oriflamme de saint Denis n’est plus élevée pour précéder les combattants, son esprit doit être là. Vivant.
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